Technologies Cachées Libérées

DOSSIER : NIKOLA TESLA & L’ÉNERGIE LIBRE DU POINT ZÉRO

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Tout sur la vie, sa formation, ses inventions et ses penchants, son intelligente sensibilité

L’histoire de la science n’a pas toujours rendu l’hommage qu’ils méritaient à ses acteurs principaux. Au contraire, elle a souvent fait la part belle à des imposteurs, des opportunistes dénués de scrupules ou à de véritables plagiaires. Nikola Tesla a été l’un des plus grands inventeurs que le monde ait jamais connus. Nous lui devons l’énergie électrique – le courant alternatif en particulier – que nous utilisons tous les jours, mais aussi d’autres découvertes très nombreuses comme les ampoules fluorescentes (nèon), la radio, la télévision, le radar, la turbine, les robots, les appareils électro-thérapeutiques, autant d’innovations qui ont trop souvent été attribuées aux stars des livres scolaires : Edison pour l’énergie, Marconi pour la radio.

Nombre de personnes connaissent vaguement ou ont entendu parler de sa carrière, pluridisciplinaire mais contrariée, et sa mémoire est aujourd’hui encore occultée, comme celle de tous les génies incompris.

Nikola Tesla : Si j’avais la chance d’atteindre un de mes idéaux, ce serait au nom de l’humanité. Le scientifique n’a pas pour objectif un résultat immédiat. Il n’espère pas que ses idées progressistes soient facilement acceptées. Son devoir est d’asseoir les bases pour ceux qui viennent et de montrer le chemin.

source : Alcyon Pléiades 124

LE RAYON VIOLET ET L’OZONOTHÉRAPIE : UNE DÉCOUVERTE QUI POUVAIT CHANGER LE COURS DE LA PRATIQUE MÉDICALE DEPUIS LE DÉBUT DU XXÈME SIÈCLE.

LES INVENTIONS MÉDICALES DE NIKOLA TESLA, LEUR ESSOR, ET LA CENSURE BRUTALE APPLIQUÉE À LA FIN DES ANNÉES TRENTE...

Pour le grand public, le nom de Tesla se confond avec l’actualité récente la plus médiatisée, à savoir la voiture électrique mise au point et commercialisée par Elon Musk et la compagnie Tesla fondée en 2003. Après le Roadster de 2008, sont venus le SUV Model X en 2015, puis le Model 3, modèle grand public. Dans le vacarme du battage médiatique, on oublie de souligner que, ni plus ni moins, la voiture électrique contemporaine repose sur les brevets déposés par Nikola Tesla à partir de 1899, entre autres le moteur à induction électrique asynchrone et l’alternateur polyphasé. Plusieurs centaines de brevets sont reproduits en intégralité sur le site TeslaUniverse.org. On trouve des indications précises sur ces épisodes fondateurs dans le livre de Jeane Manning, Energie libre et technologies, traduit aux Editions Louise Courteau. La page wikipedia, même si ce site est contestable de façon générale, offre aussi d’importantes références. De nombreuses vidéos sont accessibles.

Rival de Thomas Edison, à qui on attribua à tort certaines de ses découvertes, Tesla inventa, outre le courant alternatif, l’ampoule sans filament, la radio, le laser, la robotique, la commande à distance, le radar, et déposa plusieurs centaines de brevets. Le brevet sur le courant alternatif, déposé en 1888 fut racheté peu de temps après par la compagnie Westinghouse. En 1891, il expose sa lampe à pastille de carbone, qui préfigure l’accélérateur à particules et le microscope électronique. Alors qu’il mettait au point son brevet sur la radio sans fil, son laboratoire brûla mystérieusement en 1898, détruisant le fruit de milliers d’heures de travaux. Tesla met au point le radar vers 1900, qui sera redécouvert des dizaines d’années plus tard. L’invention de la radio sans fil ou radio télégraphe, initialement attribuée à Marconi, fut restituée à Tesla en 1943 par la Cour Suprême des Etats-Unis, quelques mois après la mort de Tesla.

À Colorado Springs, Tesla travailla sur ce qu’on appelle l’énergie libre à partir de l’énergie contenue dans l’atmosphère. En note un extrait d’une réflexion de Tesla sur ces expériences réalisées à 1800 mètres d’altitude, près du Mont Pike, dans les Montagnes Rocheuses. Au cours de l’été de 1899, Tesla construisit un dispositif extrêmement ambitieux, qui fut financé par plusieurs investisseurs locaux. Il avait choisi les montagnes Rocheuses à cause de leurs fréquents orages électriques, et l’idée de Tesla était de se brancher sur les nuages très chargés à partir de la terre. Il avait déjà mis en évidence que les éclairs de ces orages semblaient se décharger selon une forme d’onde stationnaire particulière qui encerclait la planète entière.

C’est un projet qu’il développa quelques années plus tard avec la Tour Wardenclyffe. Un document peu connu encore, mis en ligne en Juin 2017 par le site Midnight in The Desert (créé par le célèbre animateur radio Art Bell, décédé en Avril 2018) suggère que Tesla émit un rayon d’une puissance si prodigieuse que des civilisations galactiques furent « alertées ». Ces indications font partie prétendument d’extraits d’interrogatoires d’une entité extraterrestre de type anthropomorphe récupérée sur le crash d’Aztec, survenu en Mars 1948 au Nouveau-Mexique. Tesla serait ainsi parvenu à « harnacher » les énergies colossales du champ électromagnétique de la Terre dans un puissant faisceau qui aurait été dirigé « vers les étoiles ».

Effets bénéfiques de l’électricité sur la santé : Premières découvertes de Nikola Tesla avec ses « bobines » à haut potentiel. 

On pourrait écrire sans fin sur les inventions de Tesla qui les visualisait souvent dans ses rêves. Ce dossier présente quelques-unes des découvertes les plus méconnues du « génie serbe » (né en Croatie en réalité). Rival de Thomas Edison dans la production de l’énergie électrique, il s’intéressa très tôt à la médecine, en particulier à travers des découvertes « fortuites » dans ses laboratoires où il testait des courants à haut voltage. Nous résumons le succès de ces médecines révolutionnaires par l’ozone entre 1910 et la fin des années trente, et rappelons dans ses grands traits le « coup de force » des lobbies financiers de l’industrie pharmaceutique, qui dès 1940 interdirent aux Etats-Unis les médecines recourant aux champs électromagnétiques, selon les applications conçues par Nikola Tesla.

Ce dossier sur « l’ozone » est donc un témoignage puissant sur la « suppression » de thérapeutiques efficaces et l’instrumentalisation des systèmes de santé pratiquées jusqu’à ce jour. A l’heure où nombre d’entre nous luttent contre les vaccins obligatoires, et où des dossiers brûlants relatifs à la santé publique font l’actualité (compteurs Linky, Wifi 5G, eau chlorée, chemtrails, nanoparticules, aluminium, glyphosate et néonicotinoïdes tueurs d’abeilles…), cette contribution est une brique versée au débat. Espérons que nombre d’entre nous s’en empareront pour faire craquer la noix, dans le dessein d’affranchir nos systèmes de santé de la prédation dont ils sont l’objet depuis les années 1940. 

Ce dossier fut rassemblé grâce aux travaux de Tesla Magazine. Qu’ils en soient remerciés, en premier lieu son producteur Bob Connolly.

Bob W. Connolly, canadien, producteur du magazine Teslamania, a voyagé dans le monde entier pendant une période de trois ans en vue de réaliser un documentaire sur les inventions médicales de Nikola Tesla.

Son film « The Healing Field » a été présenté à l’édition 2015 du Salon International de Médecine Alternative (Total Health Show) salon annuel qui s’est tenu du 17 au 19 avril 2015 au Convention Centre de Toronto. Dans ce parcours exploratoire, Connolly a visité en particulier le Musée Tesla à Belgrade (Serbie) où sont présentées des inventions médicales reposant sur l’ozone émise au moyen de champs électromagnétiques, plus spécifiquement par la lumière ultraviolette. Le réalisateur assista à cette occasion à des démonstrations dans lesquelles des enfants étaient exposés aux étincelles émises par ces champs à très haute fréquence, qui dégageaient cette odeur particulière de l’ozone. Jason Quitt rapporte dans son livre Connaissances Interdites un épisode historique lors duquel, au début du XXème siècle, Nikola Tesla, pendant plusieurs mois, exposa à ces émissions d’ozone des classes d’un établissement scolaire, avec des résultats spectaculaires, au plan physiologique (croissance des mineurs) de même que dans l’épanouissement des facultés cognitives).

L’importance historique de ces découvertes et applications autour de 1910 est telle que Connolly écrit en préface à l’édition spéciale de Tesla Magazine (Février-Mars 2015) que cette expérience vécue à Belgrade changea le cours de son existence. Le cœur de cette expérience réside dans la prise de conscience que la censure systématique appliquée par la science et les médias officiels autour du nom de Tesla fut causée, plus encore que par ses recherches sur l’énergie libre, par ses applications médicales fondées sur le recours aux fréquences électromagnétiques. Nous prendrons pleinement conscience de toutes les implications de ce déroulement historique quand le documentaire The Healing Field sera diffusé en langue française. Pour comprendre ce déroulement, nous devons faire retour sur la biographie de Tesla, et présenter aussi clairement que possible les principes de la médecine par l’ozone.

UN JEUNE INGÉNIEUR D’ORIGINE SERBE PLEIN D’ESPOIR ET D’ILLUSIONS…

Cela se passait à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Tesla, né le 10 Juillet 1856 dans un village de Croatie, n’était encore qu’un brillant ingénieur d’origine serbe (ou croate ?) qui avait émigré aux Etats-Unis en 1884. La « guerre du courant électrique » faisait rage depuis quelques années entre Thomas Edison, partisan du courant continu et le jeune Nikola Tesla qui défendait les vertus du courant alternatif, dont il était l’inventeur. Le courant alternatif finit par s’imposer, au grand dépit d’Edison qui n’avait pas répugné aux manœuvres les plus basses pour discréditer son adversaire du moment. La scène rapportée se déroule dans un bureau fastueux de l’un des investisseurs les plus puissants de l’époque, le banquier J.P. Morgan. 

Nikola Tesla & Thomas Edison

Alors qu’il recevait le jeune inventeur pour qu’il lui présente un ou plusieurs de ses brevets sur la toute nouvelle source d’énergie, Morgan aurait conclu l’entretien par cette observation éloquente et probablement rédhibitoire dans l’esprit d’un oligarque : « Très intéressant, vraiment, votre procédé ; cependant, une question, jeune homme : Où pose-t-on le compteur, sur votre machine ? ». 

Le lecteur aura compris que les fonds que le banquier new-yorkais était en mesure de mobiliser ne furent jamais investis dans les projets et initiatives du jeune ingénieur arrivé à New York quelques années plus tôt. Dans l’esprit de Tesla, la découverte devait permettre d’offrir une « énergie libre » aux sociétés modernes, et non pas de ponctionner les foyers modestes pour accroître les pouvoirs de l’oligarchie financière. Une telle anecdote nous fait toucher du doigt une clé décisive pour approcher la singularité de la trajectoire de Tesla : Loin d’adhérer à la culture du profit qui « battait son plein » au tournant du XXème siècle, avec l’expansion des groupes multinationaux, Tesla était habité par un idéal de partage et de service à l’humanité toute entière.

Une éthique aussi élevée et exigeante était évidemment incompatible avec les visées des groupes dominants qui avaient la main mise sur la société et l’économie américaine à la fin du XIXème siècle. Nous verrons plus avant que l’opposition féroce de ces groupes à toute entreprise de nature « philanthropique » se déchaîna avec une violence accrue au moment où Tesla développa une médecine révolutionnaire fondée sur l’ozone (conception du fameux Rayon Violet) et l’application de champs électromagnétiques. Tesla fonda la Tesla Ozone Company en 1910, à l’époque où les géants de la finance recyclaient une partie de leurs avoirs dans la recherche et l’industrie pharmaceutique. La Fondation Carnegie et la Fondation Rockefeller s’allièrent dans les années vingt et trente pour imposer leur emprise sur le secteur médical aux Etats-Unis.

La Fondation Rockefeller fonda entre autres la Faculté de Médecine de l’Université de Chicago, qui fut longtemps l’une des plus importantes aux Etats-Unis. Dès la fin des années trente, les médecins couraient le risque de perdre leur licence s’ils pratiquaient des thérapies autres que celles recommandées par l’industrie pharmaceutique, financée elle-même par les mêmes groupes. La santé publique n’était déjà plus qu’un marché comme un autre, une proie pour les pouvoirs les plus cupides.

Nikola Tesla_Le génie du tonnerre_Les Archives Oubliés

On prétend que Tesla, tout au long de son existence a déposé un nombre considérable de brevets, qui s’élèverait à plus de mille, selon le chercheur canadien Jacques Owen. Nombre de ces derniers auraient été « confisqués » après sa mort par des autorités qui jusqu’à ce jour « demeurent dans l’ombre » selon une expression consacrée. Les militaires sont souvent mentionnés comme s’étant approprié les technologies les plus « sensibles » qui auraient été découvertes et développées par Tesla. Il est souvent rapporté que la nuit même qui suivit son décès, la suite où l’inventeur résidait depuis 1917 au 33ème étage, chambres 3327 et 3328 du New Yorker Hotel, fut visitée par des agents des services spéciaux et intégralement vidée de tous ses contenus, meubles, effets personnels et documents. Rappelons ici que Tesla s’éteignit le 7 Janvier 1943, quelques mois après l’Expérience de Philadelphie, pour laquelle il avait été initialement le principal conseiller scientifique (aux côtés d’Albert Einstein) avant de se retirer en avertissant énergiquement des dangers de cette expérience qu’il vouait à l’échec, et dans laquelle risquèrent leur vie des centaines de militaires de la Navy. Nous sommes en droit de nous interroger sur cette coïncidence de dates : Le résultat désastreux de la tentative de téléportation du USS Eldridge dans la baie de Philadelphie a-t-il d’une manière ou d’une autre un lien avec le décès subit de l’inventeur, dans sa suite de l’Hôtel New Yorker, au 481, 8th Avenue ? 

Quoi qu’il en soit de tous ces brevets qui semblent avoir suscité une telle convoitise, l’une des inventions les plus connues du public fut la Tour Wardencliffe que Tesla fit construire en 1901 sur l’île de Long Island, à New York. 

Tesla investit dans ce projet grandiose une grande partie de sa fortune patiemment accumulée, et fut toutefois contraint de renoncer au projet, en l’absence de soutiens financiers extérieurs. Tous les investisseurs potentiels avaient en effet successivement décliné la proposition. La Tour fut démantelée en 1917 et les matériaux revendus à une déchetterie. Cet épisode pourrait n’être qu’une anecdote de plus dans la carrière de l’inventeur. En l’occurrence, l’histoire de la Wardencliffe Tower nous confronte à un questionnement, un « secret » qui est devenu récurrent dans l’étude des recherches et inventions de Tesla, à savoir la recherche de l’énergie libre, gratuite, inépuisable, et accessible à tous.

Ici encore, nous nous heurtons au même obstacle historique et sociologique, manifeste dans l’épisode de la rencontre avec J.P. Morgan. Quel rapport pouvons-nous établir entre « La Tour » et l’observation strictement comptable du banquier John Pierpont Morgan ? Rappelons que ce dernier fut le principal soutien de son rival Edison et un des investisseurs de la General Electric compagny au début du siècle. Le lien réside dans la nature de l’énergie qui était mobilisée par Tesla dans son invention gigantesque. Ni plus ni moins, il semble que Tesla soit parvenu à canaliser l’énergie contenue dans le champ électromagnétique de la Terre pour générer des voltages d’une intensité fabuleuse.

Beaucoup de gens connaissent ces photographies saisissantes où l’on voit Tesla assis en train de lire au milieu de son installation, qui au même moment est traversée d’éclairs très spectaculaires. Les découvertes sur le champ électromagnétique terrestre sont évoquées également par Anadi Martel, dans un article du numéro spécial de Tesla Magazine. L’auteur reproduit un extrait précieux d’une description par Tesla lui-même des effets lumineux produits par ses expériences. Il ne s’agit pas ici des éclairs gigantesques dans la Tour, mais d’expériences avec une ampoule sans fil alimentée par des voltages puissants et des champs magnétiques à très hautes fréquences. C’est donc ici un thème-clé pour comprendre l’échelle des découvertes en jeu : Tesla aurait découvert et « dompté » une énergie universelle, inépuisable, omniprésente, accessible à tous et partout sur la planète, une énergie qu’il se proposait bien entendu de léguer à ses contemporains. Les banquiers de Wall Street qui avaient la mainmise sur l’économie et la société américaine depuis le début du XXème siècle n’allaient pas le permettre.

Dès les premières années du siècle, Tesla avait fait face aux manœuvres sordides de son concurrent Thomas Edison, défenseur du courant continu. Quand il fut temps pour lui de se lancer dans l’entreprise de la Tour Wardenclyffe, qu’il éleva à Long Island, New York, il comprit bientôt que la cupidité des pouvoirs en place n’apporterait aucun soutien à une entreprise susceptible de ruiner la pyramide des profits, mais que ces pouvoirs mettraient tout en œuvre pour abattre ses projets « d’énergie libre » à disposition de l’humanité au sens le plus large. Jusqu’à ce jour, et depuis plus de cent ans, à l’exception des centrales nucléaires et d’énergies alternatives telles que les éoliennes et l’énergie solaire, nos sociétés continuent à se fournir en énergie à partir des hydrocarbures qui firent la fortune de John Rockefeller et de la Standard Oil dans la deuxième moitié du 19ème siècle et des centrales électriques par lesquelles s’enrichirent ceux à qui Tesla concéda un grand nombre de brevets avant de finir son existence solitaire dans un hôtel de Manhattan.

LE PARADOXE DE L’OZONE

Magda Havas est chercheur et chargée de cours en Sciences de l’Environnement à la Trent University, en Ontario (Canada). Elle a contribué au numéro spécial de Tesla Magazine sur la médecine Tesla (ou thérapie par l’ozone), paru en Juillet 2015, par un article de treize pages intitulé « The Ozone Paradox ». Dans l’introduction, elle explique que ses découvertes sur la médecine basée sur l’ozone furent totalement imprévues pour elle, et dépassèrent entièrement le cadre d’une documentation de contenus d’enseignements. Ci-après, une caractérisation de l’ozone et de ses principales applications selon Magda Havas.

L’ozone comme stérilisant de l’eau potable

L’ozone est connu comme stérilisant par son application dans l’assainissement de l’eau potable. Plus de deux mille municipalités dans le monde utilisent ce procédé dans leurs services d’eau potable. Montréal, Paris, Los Angeles et Moscou figurent parmi ces métropoles. L’ozone tue les microbes et bactéries présents dans l’eau courante, mais détruit également les produits chimiques potentiellement toxiques présents dans l’eau. La durée de vie limitée de l’ozone n’évite pas le risque de recontamination entre la source et le produit final, et cet inconvénient peut être compensé par une exposition finale aux rayons ultraviolets, qui génèrent l’ozone, et sont par conséquent efficaces pour désinfecter l’eau potable. Tout autant que l’eau, on peut purifier l’air au moyen de l’ozone ou des rayons ultraviolets, qui agissent tous deux comme désinfectants. Les rayons UV ont été adaptés pour un usage domestique, un usage dans les usines, les laboratoires scientifiques et les hôpitaux, dans le but de détruire les agents pathogènes, tels que moisissures, bactéries et virus.

Thérapie par l’ozone

Par-delà sa fonction oxydante pour détruire les microbes, des études récentes par des instituts américains ont montré que l’ozone possède des propriétés thérapeutiques pour diminuer les risques liés aux affections cardiopulmonaires, et aux risques cardiovasculaires et ischémiques (insuffisance de flux sanguin). Dans une autre étude appliquée aux asthmatiques, on a montré que le recours généralisé à l’ozone administré par injection sanguine ou par voie rectale renforçait le système immunitaire et réduisait les biomarqueurs inflammatoires. 

Magda comptait se livrer à une simple documentation historique sur le fameux brevet 588177 par lequel Tesla protégea son premier Appareil de Production d’Ozone (Apparatus for Producing Ozone)En l’occurrence, cet appareil s’avère la plus importante invention médicale de Nikola Tesla, et l’examen de ce brevet renversa radicalement les conceptions académiques de l’universitaire canadienne.

L’ozone comme polluant atmosphérique

Selon la science médicale dominante, l’ozone est un gaz polluant, avec des effets très nocifs sur la santé humaine ainsi que sur les espèces végétales. Le brouillard photochimique, qui frappe de nombreuses grandes villes telles Los Angeles, est formé de constituants chimiques engendrés par la lumière solaire, plus particulièrement les rayons ultraviolets. Les gaz d’échappement des véhicules à combustion interne, en contact avec la lumière solaire, produisent de l’ozone et des oxydes d’azote qui s’associent aux hydrocarbures dans un mélange toxique pour les plantes et pour le système respiratoire des animaux et des humains. Les plantes absorbent l’ozone par leurs stomates au cours de la photosynthèse, et l’ozone détruit la chlorophylle indispensable au processus de photosynthèse. Les feuilles des plantes cultivées brunissent, et ces cultures deviennent impropres à la consommation et à la commercialisation. Les cellules pulmonaires sont également vulnérables à de hautes concentrations d’ozone, en particulier pour les personnes qui souffrent d’asthme, d’emphysème, de bronchite ou de cancer du poumon.

La couche d’ozone dans la stratosphère et la protection contre les UV

Par ailleurs, on sait depuis longtemps que la couche d’ozone, qui protège l’atmosphère et la vie sur Terre contre les rayons ultraviolets en provenance du soleil, a été gravement dégradée par les polluants chimiques, entre autres les tristement célèbres chlorofluorocarbones (CFC) utilisés comme diluants dans les engrais et comme réfrigérants dans les congélateurs et systèmes d’air conditionné. Plus légers que l’air, les CFC s’élèvent jusqu’à la stratosphère où ils dégradent et produisent les « trous » dans la couche d’ozone. Les rayons ultraviolets, dangereux si l’exposition est excessive (ils peuvent endommager l’ADN et causer des cancers) sont toutefois nécessaires à la synthèse de la vitamine D, indispensable à l’organisme et que le corps ne produit pas naturellement.

Comme il est dit plus haut, Tesla déposa en Septembre 1896 le brevet pour son premier générateur d’ozone à usage médical. Ce n’est que dix-sept ans plus tard, en 1910, qu’il fonda la Tesla Ozone Company, qu’il finança avec 400 000 dollars de ses fonds personnels. Il créa avec cette société un grand nombre de machines, parmi lesquelles un générateur d’ozone portable à l’intention des médecins privés et des hôpitaux. L’ozone était produit par les étincelles émises par les courants à haute fréquence qui traversaient les bobines Tesla. Ce furent là les prémisses d’une médecine révolutionnaire qui aurait pu changer le cours de la recherche médicale en Occident, et peut-être réorienter profondément l’histoire de nos sociétés au XXème siècle. Or, jusqu’à aujourd’hui, combien d’entre nous ont entendu évoquer, ne serait-ce qu’une fois, les pouvoirs thérapeutiques de l’ozone ? 

Le dossier présenté ici montre plus avant que les avancées prodigieuses apportées par la médecine par l’ozone furent impitoyablement paralysées (interdites, censurées, méthodiquement enfouies et effacées des écrans) par les prédateurs sans scrupules qui gouvernaient le monde financier à l’époque où un ingénieur philanthrope originaire de Serbie entendait offrir à ses contemporains des thérapies libres de coûts et applicables à un grand nombre de pathologies. Ce n’est guère un secret que ces pouvoirs prédateurs sont tout aussi féroces, malfaisants et omniprésents en 2018. Nous connaissons des victimes récentes de ces groupes, qui s’en prennent à la vie de ceux et celles qui tentent de dévoiler leur emprise de type totalitaire sur les systèmes de santé.

Magda Havas souligne que la plupart des documentaires qui ont été réalisés sur Nikola Tesla contournent et passent sous silence ses inventions médicales et négligent de ce fait un pan entier de son existence. En l’occurrence, elle rappelle les premières expériences et observations « fortuites » que fit Tesla à l’époque où il produisait des éclairs à l’aide de bobines Tesla de grandes dimensions soumises à des voltages très élevés. Ces épisodes sont évoqués également par Jason Quitt dans son livre Connaissances Interdites.

Lors de ses expériences de production d’éclairs, Tesla constata qu’une forte odeur de gaz emplissait son laboratoire. Il identifia ce gaz comme étant de l’ozone, qui en effet était généré par la lumière ultraviolette émise avec les décharges électriques. Les rayons UV transformaient l’oxygène présent dans l’air en ozone. Plus important pour le présent sujet, l’inventeur du courant alternatif observa que l’ozone éliminait les bactéries et champignons présents dans son laboratoire et améliorait sensiblement la santé physique et mentale de ses employés ainsi que la sienne. Tesla expérimenta intensivement sur lui-même, avant d’y exposer ses employés, l’exposition à l’ozone, et ne souffrit pas des effets prétendument négatifs de ce gaz selon la doctrine scientifique officielle. Tesla a probablement inhalé des quantités énormes d’ozone, sur un rythme régulier, dans ses pratiques de thérapie et dans son travail avec des bobines à haute fréquence. Il ne souffrit d’aucun effet secondaire négatif, et soulignons qu’il vécut jusqu’à l’âge de 86 ans, sans jamais consulter de praticiens de la médecine allopathique. Non seulement Tesla avait appris à ne pas redouter l’exposition à l’ozone, mais il alla jusqu’à ajouter à son dispositif un moteur qui propulsait de l’air entre deux bobines à haute fréquence, intensifiant ainsi considérablement l’émission de gaz d’ozone.

Equipements hospitaliers inventés par Tesla dès les années 1920

Tesla conseilla de désinfecter les chambres d’hôpitaux au moyen de l’ozone, en faisant respirer directement l’ozone aux patients à-travers un vaporisateur. Il produisit également une huile d’olive ozonifiée destinée aux médecins dans leurs pratiques quotidiennes. L’électrothérapie par les courants à haute fréquence, ou médecine par l’ozone, conquit bientôt une large audience aux Etats-Unis et s’imposa dès le début des années vingt. Des appareils destinés à l’usage privé furent bientôt mis à disposition du public et des foyers. Le violet ray tube figurait en bonne place dans le fameux catalogue Sears tout au long des années vingt et trente. 

La censure sur l’ozone et les manœuvres des lobbies

Autour de 1900 et dans les premières années du siècle, la médecine était similaire en Europe et en Amérique. Les docteurs utilisaient des techniques holistiques très variées parallèlement aux médicaments chimiques et à la chirurgie. Ces thérapies holistiques incluaient l’homéopathie, les huiles essentielles, les régimes diététiques, les manipulations physiques (ostéopathie), le recours aux fréquences électromagnétiques, la balnéothérapie. Trois évènements se produisirent peu après qui réorientèrent totalement la formation des médecins et entraînèrent l’exclusion de nombre de thérapies non pharmaceutiques. Le premier de ces évènements fut le Rapport Flexner de 1910, commandé par la Fondation Carnegie, et qui affecta la formation des médecins au Canada et aux Etats-Unis.

Rappelons que de cette époque les fondations Carnegie et Rockefeller investirent une part considérable de leur fortune dans l’industrie et la recherche pharmaceutique. Ceux qui allaient fonder en quelques décennies le système mondial que l’on désigne sous l’appellation Big Pharma étaient résolus à interdire tout exercice de la médecine susceptible de contrarier leurs objectifs de profits, entre autres les formes d’électrothérapie défendues par Nikola Tesla. Pourtant, quelques médecins courageux s’élevèrent contre l’American Medical Association (AMA), tels le Dr Gustave Kolischer, en 1932, lors d’un séminaire présenté par l’American Congress of Physical Therapy: « Les courants électriques à haute fréquence de Tesla produisent des résultats hautement bénéfiques dans le traitement du cancer, surpassant tout ce qui pourrait être accompli par la chirurgie ordinaire ». 

La découverte de l’insuline et de la pénicilline écarta les médecines alternatives en Amérique du Nord et en Europe. Le troisième facteur fut la croissance de l’industrie pharmaceutique étroitement liée à la FDA (Federal Drugs Administration), très puissant organisme chargé de la normalisation des produits pharmaceutiques, et à l’American Medical Association (AMA). En 1933, cet organisme dirigé alors par Morris Fishbein, entreprit d’éliminer toutes les thérapies qui faisaient concurrence aux produits pharmaceutiques. C’est à ce moment-là que se mit en place aux Etats-Unis la censure contre la médecine par l’ozone, qui est toujours en œuvre à l’exception d’une dizaine d’Etats. La FDA commença au début des années quarante à saisir les générateurs d’ozone.

En 1963, des auditions au Congrès américain conduisirent à la faillite des fabricants de produits d’électrothérapie légitimes et la FDA imposa des contraintes strictes aux appareils médicaux électromagnétiques. La médecine Tesla disparut entièrement du le monde occidental sous l’emprise des barons de la finance, au premier rang desquels les Rockefeller, dont la fortune était liée originellement à la Standard Oil et à l’industrie pétrolière. Toutefois, l’Histoire « sait se retourner » et c’est en fait de l’ex Union Soviétique, protégée de la prédation capitaliste, que la médecine par l’ozone et le « rayon violet » nous fut « restituée » au moment de la réunification de l’Allemagne en 1990. 

Rôle historique de l’Europe de l’Est dans la préservation des médecines Tesla.

En Allemagne, Europe de l’Est et en Russie, on utilise couramment l’ozone faiblement dosé pour purifier l’air dans les hôpitaux, les usines, les aéroports. Pour comprendre cela, il faut se pencher sur l’histoire européenne récente. Quand l’Allemagne de l’Est fut réunifiée avec la R.F.A. en 1990, un grand nombre de technologies médicales soviétiques qui étaient et sont toujours interdites aux USA furent intégrées au système de santé allemand. Bob Connolly développe cet aspect dans un de ses articles. Les thérapies par les champs électromagnétiques pulsés (PEMF) étaient l’une des technologies que les soviétiques avaient généralisé dans leur système de santé.

Durant les années de guerre froide, l’Union soviétique a adopté les méthodes de thérapie par champs électromagnétiques de Tesla, les préférant aux produits pharmaceutiques et à la chirurgie. Le régime collectiviste finança un système de soins de santé gratuit fondé sur la preuve scientifique plutôt que sur la logique du profit. De nombreux essais avec l’électrothérapie furent menés sur des sélections de population. Tous les hôpitaux et cliniques offraient un type ou l’autre de thérapie par champs électromagnétiques inspirés de Tesla. Les scientifiques spatiaux soviétiques appliquèrent des champs électromagnétiques pulsés (en anglais PEMF pour Pulsed Electromagnetic Fields) pour compenser la perte osseuse typique du séjour prolongé en apesanteur.

Après la chute du mur de Berlin, en 1990, l’Allemagne de l’Est transféra ces technologies médicales. Anticipant les réactions de l’industrie pharmaceutique, les pays neutres de langue allemande tels que la Suisse et le Liechtenstein furent choisis comme sièges sociaux des entreprises. Des versions commerciales « pour le foyer » furent alors produites et commercialisées, comme appareils de « bien-être ». Les dispositifs de commande étaient numériques, munis d’un écran tactile, faciles à utiliser et d’un prix abordable pour les foyers prospères qui voulaient prendre leur propre santé en main. Au cours des vingt dernières années, des Américains nantis ont fait le voyage vers les cliniques de santé privées allemandes, autrichiennes et suisses pratiquant cette forme de thérapie par fréquences. Avec la création de l’Union européenne, ces appareils furent officiellement homologués comme dispositifs médicaux pouvant bénéficier aux familles.

Renaissance de la médecine Tesla

En France, la résistance est féroce, mais ne perdons pas espoir. De nos jours, la médecine par l’ozone est utilisée avec succès par des vétérinaires, des dentistes et des médecins dans dix-neuf pays, quatre provinces canadiennes et quatorze Etats aux USA. Elle est utilisée avec succès depuis plus de cent ans dans la médecine vétérinaire (par exemple dans les soins appliqués aux chevaux de compétition). Dans la médecine dentaire, l’ozone a de multiples applications ; elle détruit les microbes et contribue puissamment à reconstituer l’émail et la dentine. De la médecine vétérinaire, les thérapies par l’ozone sont passées à la prise en charge des athlètes de haut niveau dans des structures dédiées (médecine du sport), en marge de la médecine officielle. Ces pratiques sont conservées rigoureusement à l’abri du regard du grand public.

L’ozone peut être utilisé de façon interne comme antibiotique pour compléter ou se substituer aux antibiotiques pharmaceutiques, en l’occurrence contre des micro-organismes super résistants tels le staphylocoque doré. La méthode la plus efficace d’infusion dans l’organisme semble être l’injection dans le sang et l’insufflation rectale, complétées par l’eau ozonifiée (boisson) et l’huile d’olive ozonifiée (appliquée sur la peau), que Tesla a commercialisé dès les années 1910, au moment de la création de la Tesla Ozone Company, et qui répondait aux critiques de nombreux médecins contre les générateurs d’ozone. On prétendait en effet que l’exposition à l’ozone était gravement nuisible aux patients souffrant de faiblesses pulmonaires. Toutefois, selon Ian Clark, auteur de l’article de Tesla Magazine sur l’huile ozonifiée, les patients étaient en faits guéris par l’exposition à l’ozone, et les symptômes apparents manifestaient une simple crise de guérison (« a healing crisis »).

Tesla conçut donc une huile ozonisée à l’intention des patients souffrant d’affections pulmonaires. L’ozone filtrée dans l’huile rend sa respiration plus aisée. L’huile d’olive a la faculté de « capturer » l’ozone et de la conserver pour un usage ultérieur, à la différence de l’eau, dans laquelle l’ozone se dissipe en quelques minutes. Si le filtrage était prolongé, l’huile s’épaississait et se transformait en pâte. Ian Clark résume à la fin de son article les multiples applications dermatologiques (acné, eczéma, psoriasis), son usage en médecine dentaire, ses bienfaits préventifs. Ces huiles thérapeutiques ont été utilisées avec succès en Amérique du Nord avant d’être interdites à partir des années quarante, au même titre que toutes les autres formes de « médecine Tesla ». L’huile ozonifiée n’a été réautorisé il y a quelques années seulement. On peut la commander en ligne. Outre l’huile d’olive, l’ozone peut être dissous dans la graine de lin, l’huile d’onagre, de tournesol ou d’avocat, ainsi que l’huile de coco.

L’ozone a été utilisée avec succès au Sierra Leone en 2015 pour lutter contre l’épidémie de virus Ebola. Jason Quitt rapporte dans Connaissances Interdites qu’une équipe de médecins canadiens fut reflouée de Sierra Leone par les Casques Bleus de l’ONU, après qu’ils aient efficacement et spectaculairement guéris un groupe de victimes en phase terminale. Cette équipe canadienne avait administré par voie rectale et par injection intraveineuse des doses importantes d’ozone, qui anéantirent les populations de virus disséminés dans l’organisme. Les praticiens furent toutefois expulsés, sous menace d’incarcération, après qu’on leur eût signifié que leurs dispositifs thérapeutiques n’avaient pas reçu l’agrément des Nations-Unies pour le programme d’intervention au Sierra Leone. Un tel niveau de barbarie se passe de commentaire. L’oligarchie financière avait donc droit de véto y compris vis-à-vis d’un programme d’aide internationale sous « l’autorité » de l’ONU. Exemple amer (penser aux millions de victimes d’Ebola) à méditer.  

Applications médicales récentes, victoires contre les lobbies pharmaceutiques

L’ozonothérapie est jusqu’à présent l’objet d’une censure en France, et qui en a entendu parler ? Après une recherche méthodique, je n’ai trouvé qu’une poignée (au sens propre) de praticiens qui exercent encore la médecine par l’ozone dans notre pays. L’un des précurseurs en France fut le Dr. Georges Monnier, éminent praticien dont le cabinet était situé Avenue Hoche, et qui a pu résister aux pressions de l’Ordre des Médecins grâce à son importante clientèle de personnalités de tous milieux publics et privés. Georges Monnier a quitté ce monde en Avril 2013.

Ci-dessous une page entretenue par le Dr. Jean-Yves Henry, homéopathe et acupuncteur à Lausanne (Suisse) : https://www.medecine-integree.com/lozone/

Il est très difficile de trouver des praticiens dans notre pays, alors que les ozonothérapeutes se comptent par centaines en Suisse et en Allemagne. Cet aspect et ses causes « sombres » ont été exposées plus haut dans ce dossier. L’institut Cap’Forme à Limoges, dirigé par le Dr. Jacques Deretz, est l’un des seuls établissements à proposer des cures d’hydrothérapie par l’eau ozonifiée, associées à d’autres thérapies naturelles. 

http://www.naturopathe-limoges.fr/jacques-deretz-cap-forme

http://www.naturopathe-limoges.fr/

Cette « carence » est d’autant plus significative que nos voisins suisses, allemands, italiens et même espagnols ont activement favorisé la réintroduction de l’électrothérapie. Plusieurs milliers de thérapeutes ont recours à l’ozonothérapie en Allemagne. En l’occurrence, il est très instructif d’examiner la genèse historique de ces écarts et contradictions. 

En Suisse, de nombreux établissements privés pratiquent l’ozonothérapie, on peut trouver de nombreuses offres de soins en langue française. Par exemple la clinique al Ronc (Paracelsus Clinica al Ronc) et le Dr. Petra Wiechel (site www.alronc.ch).

« Retour à la maison » à l’âge de l’Internet

Avec l’arrivée d’Internet, de nombreuses compagnies germanophones mirent leurs produits en lignes sur des sites de langue anglaise, accédant ainsi aux consommateurs aux Etats-Unis. En 2011, le Dr Oz, hôte de l’émission télévisée du même nom, découvrit les « biolits » de CEMP fabriqués en Suisse et décida de réintroduire la thérapie par champs électromagnétiques pulsés (CEMP) de Tesla auprès du public américain. A la fin du programme, il demanda aux téléspectateurs de télécharger sur son site un dossier sur la thérapie par champs magnétiques et de l’apporter à leur médecin ! Cet épisode eut un impact retentissant. Des milliers de médecins partout aux États-Unis furent inondés de patients qui leur remettaient des synthèses sur l’une ou l’autre des marques de produits de la médecine Tesla. La NASA et les NIH (National Institutes of Health) rendirent publics leurs brevets dans le domaine de la thérapie par champs électromagnétiques. Des appareils de champs électromagnétiques à haute fréquence légalement homologués sont maintenant disponibles au Canada et commercialisés aux États-Unis en tant qu’appareils de « bien-être ». Le dernier obstacle que nous rencontrons est de faire accepter et d’intégrer la « médecine Tesla » dans le cursus des facultés de médecine occidentales.

« Nous ajouterons une petite quantité de forces électriques pour le corps. Cela évitera aux batteries du système nerveux central de se vider. Cela devra être appliqué sous forme du rayon violet, appareil manuel, entre trente et quarante-cinq secondes avant d’aller dormir » (Lecture 2528-4). J’ai trouvé une autre lecture dans un des livres du Dr. William Mc Garey, qui a été longtemps Directeur de la clinique de la Fondation Edgar Cayce (A.R.E. Clinic) à Phoenix, Arizona. Ce livre The Oil That Heals est peut-être jusqu’aujourd’hui la seule étude scientifique consacrée à l’usage médical de l’huile de ricin (Castor Oil en anglais), selon les régimes recommandés par Cayce. En l’occurrence, Cayce combine souvent dans ses cures l’exposition au rayon violet et les emplâtres d’huile de ricin. « Cela s’est grandement amélioré, mais les poches se forment encore à l’extrémité des vaisseaux lymphatiques qui traversent le système intestinal. Cela devrait être corrigé par l’emploi continu des cataplasmes d’huile de ricin, complémenté par le rayon violet, et le traitement général » (Lecture 2534-2).

Un autre extrait insiste sur l’importance de la disposition mentale et de l’intentionnalité dans le traitement : « Toutefois, n’appliquez pas le traitement comme une contrainte ou une corvée, mais faite-le avec la détermination et l’attente que ce sera une expérience profitable pour le corps ; et il en sera ainsi » (Lecture 2415-2).

Le dispositif médical ONDAMED, mis au point par les époux Silvia et Rolf Binder est l’un des exemples de ces « transferts de technologie » dont l’origine se trouve dans les découvertes de Nikola Tesla au début du XXème siècle. En tant que naturopathe, Silvia Binder avait utilisé les champs électromagnétiques pulsés, et son mari pour des compagnies médicales qui utilisaient les bobines Tesla dans des applications thérapeutiques. Plus concrètement, Silvia et Rolf utilisèrent des bobines Tesla largement courantes dans l’ancienne URSS, combinées à des équipements inspirés de l’inventeur américain Royal Raymond Rife : Utilisant les ondes radio, également découvertes par Tesla, Rife avait découvert le MOR, Taux d’oscillation Mortel, en observant au microscope des virus exposés aux ondes radio. Il découvrit des fréquences de résonance dans le spectre audio et radio capables de détruire bactéries et virus. Suite à un affrontement judiciaire avec l’ American Medical Association, la FDA finit par interdire tous les générateurs de fréquences radio à usage médical.

Les inventions de Rife tombèrent dans l’oubli. L’équipement inventé par les Binder fut baptisé ONDAMED, nom latin pour onde médicale. L’appareil repose sur l’usage de fréquences électromagnétiques du spectre audio et leur application sur le corps humain. Une bobine Tesla est placée autour du cou du patient, tandis qu’une baguette manuelle qui est passée sur le corps. Un générateur sophistiqué génère simultanément deux fréquences qui produisent un champ électromagnétique pulsé. En élevant la fréquence, le praticien identifie des zones corporelles aux fréquences suspectes, et applique alors des contre-fréquences adaptées. C’est ce qu’on appelle un Bio-Feedback. Le dispositif en question fut appliqué vingt ans en Allemagne avec succès, mais ce n’est qu’en 2011, après de longs combats juridiques, qu’ONDAMED fut officiellement habilité par Health Canada, (administration nationale de la santé) et enregistré comme matériel médical pour le soulagement de la douleur, les troubles musculaires, osseux et circulatoires.

https://www.psiram.com/fr/index.php/Ondamed

Au Québec, plusieurs praticiens recourent à l’ozonothérapie, tels le Dr. Pierre Marois, installé en Ontario spécialisé dans la médecine par caissons hyperbare, mais qui relaie aussi l’information sur la médecine par l’ozone. http://www.oasismedecineverte.com.

Un article complet traduit de l’anglais mis en ligne au Québec sur les thérapies par champs électromagnétiques pulsés recense un certain nombre de pathologies traitées avec succès par ces procédés.

Dernière salutation et hommage à Nikola Tesla, dans l’attente d’une nouvelle incarnation de cette entité hors du commun...

De nombreuses informations biographiques inédites apparaissent dans l’interview dans la chambre 3327 du Wyndham New Yorker Hotel, 8th Avenue, avec Robert Sutherland, auteur de « Tesla for Beginners », biographie de Nikola Tesla, dans la chambre 3327 du Wyndham New Yorker Hotel, 8th Avenue.

A la mort de Tesla en Janvier 1943, tous ses biens, contenus dans des coffres aux 33ème étage du New Yorker Hotel, furent saisis par les services secrets, mis sous scellés et conservés dans des entrepôts sous contrôle national. On dit que l’intégralité des documents furent archivés sous microfilms. 

Les biens personnels de Nikola Tesla inventoriés par le personnel du Musée Tesla

Voici une déclaration « d’adieu » et prémonitoire de Tesla dans ses derniers jours, depuis l’Hôtel New Yorker, au 33ème étage, depuis lequel il pouvait contempler le Rockefeller Building, illuminé, comme tout le Manhattan nocturne, par les technologies inventées et « léguées » par Tesla :

 « Le présent est à eux ; le futur, pour lequel j’ai travaillé en réalité, m’appartient »

Déclaration sur l’énergie libre :

« Dans quelques générations nos machines seront animées grâce à une énergie disponible en tous points de l’univers. […] En effet dans l’espace, il existe une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique – et nous savons qu’elle l’est –, ce n’est qu’une question de temps, et les hommes réussiront à connecter leurs machines aux rouages de la nature ».

voir musée de Tesla à Zagreb : https://nikolateslamuseum.org/en/

Sur le site TeslaScienceFoundation, lié au Musée Tesla de Belgrade, on a accès à l’intégralité de chaque brevet (site non accessible actuellement). http://teslasciencefoundation.org/patents/. Les brevets sont consultables sur https://teslauniverse.com/nikola-tesla/patents


LA RELATION ENTRE NIKOLA TESLA ET DONALD TRUMP

Le 9 janvier 1943, deux jours après la mort de Nikola Tesla dans un hôtel de New York, le FBI a appelé John G. Trump, professeur au MIT et ingénieur électricien réputé, pour déterminer si les biens de l’inventeur – qui comprenaient une prétendue arme de destruction massive que Tesla appelait le rayon de la mort – seraient dangereux s’ils tombaient entre les mains de l’ennemi.

Après trois jours d’enquête, Trump – en fait le défunt oncle de Donald J. Trump – a déterminé qu’il n’y avait aucun risque. (Il s’est avéré que Tesla n’a jamais fabriqué son rayon de la mort). Pourtant, le mystère et les affirmations exagérées, ainsi que les succès et les échecs fulgurants associés à Tesla, un polymathe futuriste serbo-américain excentrique, continuent de se manifester aujourd’hui à une échelle que lui seul aurait pu imaginer.

Que deux entreprises de véhicules électriques très en vue, l’une portant le nom de famille de l’inventeur, « Tesla », dirigée par Elon Musk – qui est en grande partie un descendant intellectuel de l’inventeur – et l’autre « Nikola », d’après son prénom, créent toutes deux d’énormes vagues et fassent la une des journaux – bien que pour des raisons très différentes – 80 ans plus tard, semble impossible. Pourtant, pour ceux qui ont cru en l’homme et en sa vision, ce n’est peut-être pas si surprenant. Il est également vrai que Tesla, effronté et couronné de succès, et Nikola, spéculateur et perturbé, reflètent tous deux des facettes de leur homonyme. (Il est peut-être poétique que Musk, de Tesla, se dispute parfois avec le neveu du professeur Trump, le président des États-Unis, et l’imite parfois).

En voici un peu plus sur Nikola Tesla : Visionnaire qui, parmi d’innombrables autres inventions et idées, a contribué à la mise au point et à la commercialisation du système d’alimentation électrique en courant alternatif, Tesla était un végétarien de grande taille, mince comme un roseau, qui dînait au restaurant Delmonico presque tous les soirs. Possédant une mémoire eidétique, Tesla était enclin à faire des déclarations fantastiques et à réclamer sans cesse de grosses sommes d’argent à Wall Street, y compris à J.P. Morgan lui-même, en partie à cause de ses dépenses somptuaires. (Petite anecdote : David Bowie a joué le rôle de Tesla dans le film « Le Prestige » de Christopher Nolan, tandis qu’Ethan Hawke a le rôle principal dans le film « Tesla » de cette année. Voir aussi « La guerre actuelle »). Tesla a également affronté de puissants rivaux (dont Marconi et Edison) et a entretenu une relation d’amour/haine avec la presse, qui a qualifié certains de ses travaux de canulars.

Tout cela vous semble-t-il familier ?

Avançons maintenant jusqu’en septembre 2020. Ce serait un euphémisme de dire que Tesla et Nikola (les deux entreprises de VE) ont vécu une semaine folle, mais d’une manière plutôt normale pour eux.

Nikola peut-il faire fonctionner l’hydrogène ?

Passons maintenant à la vitesse supérieure (un cliché inapproprié lorsqu’on parle de VE) et plongeons dans l’histoire de Nikola, dont la capitalisation boursière s’élève à quelque 7 milliards de dollars, alors qu’elle était cinq fois plus élevée il y a quatre mois.

N’avez-vous pas suivi la saga Nikola ? Nikola est une entreprise de camions électriques créée dans l’Utah il y a six ans (le nom a dû rendre Musk fou), fondée par Trevor Milton. Nikola est entrée en bourse en juin dernier par le biais d’une SPAC (special purpose acquisition company – l’entité de Wall Street du moment) dirigée par Steve Girsky, ancien cadre de GM. Nikola a un certain nombre de camions en phase de conception, utilisant des piles à combustible électriques et hydrogène-électriques, mais n’a pas encore livré de véhicules. Néanmoins, l’action de Nikola a grimpé en flèche cet été, alimentée au moins en partie par de jeunes investisseurs dits « Robinhood ».

Le 8 septembre, Mary Barra, PDG de GM, a annoncé un partenariat avec Nikola, dans le cadre duquel GM achèterait 11 % de Nikola et travaillerait avec la startup pour produire des véhicules et des batteries. L’action de Nikola a bondi de 50 % à cette annonce.

À peine deux jours plus tard, Hindenburg Research, qui « se spécialise dans la recherche financière judiciaire », a publié un rapport accablant de 67 pages intitulé « Nikola : How to Parlay An Ocean of Lies Into a Partnership With the Largest Auto OEM in America », dans lequel il est dit que « nous pensons que Nikola est une fraude complexe construite sur des dizaines de mensonges au cours de la carrière de son fondateur et président exécutif Trevor Milton ».

Nikola n’a pas répondu à une demande de commentaire de Yahoo Finance concernant le rapport Hindenburg mais a publié cette déclaration le 14 septembre (extrait partiel) : « Nikola estime que le rapport Hindenburg, et le moment opportun de sa publication peu de temps après l’annonce du partenariat de Nikola avec General Motors Co. et la réaction positive du cours de l’action qui en a résulté, était destiné à donner une fausse impression aux investisseurs et à manipuler négativement le marché afin de profiter financièrement aux vendeurs à découvert, y compris Hindenburg lui-même. »

Hindenburg et Nikola se sont échangés des injures pendant plusieurs jours, tandis que de son côté, Barra a insisté sur le fait que GM avait fait preuve de diligence raisonnable. Malgré tout, Milton a quitté son poste de PDG et Girsky est devenu le directeur général. L’action Nikola se négocie maintenant à 19 $, en baisse par rapport à son sommet de 93 $. Oh, et le DOJ et la SEC enquêtent.

« Ayant étudié le rapport Hindenburg de très près, il n’y a rien dedans qui indique la capacité ou l’incapacité de Nikola à exécuter le plan. Plus de 90 % de l’argument avancé est que le fondateur de Nikola a fait des déclarations mensongères ou a promis des choses qui ne se sont pas réalisées. Et il a démissionné sur la base de ces déclarations », explique Emmanuel Rosner, analyste à la Deutsche Bank. « Mais si vous revenez aux arguments, il n’y a rien là-dedans qui donne aux investisseurs la clarté sur le fait que Nikola peut faire fonctionner ou non l’hydrogène. Rien n’a changé de ce point de vue. »

Mais c’est l’entreprise. Quant à l’homme, Milton, qui possède toujours 25% de l’entreprise valant quelque 2 milliards de dollars, les choses pourraient empirer. Alexis Keenan, de Yahoo Finance, rapporte que bon nombre des affirmations exagérées de Milton, ainsi que les accusations de Hindenburg, sont « … probablement au cœur des enquêtes menées actuellement par les agences fédérales chargées de décider si une action en justice contre le vendeur à découvert, Milton ou Nikola est justifiée ».

Mais attendez, Elon Musk a fait des déclarations qui ne se sont pas avérées vraies, non ? « Dans l’ensemble, il ne fait aucun doute dans notre esprit qu’Elon a l’habitude de fixer des objectifs audacieux et [la nouvelle stratégie de batterie] est certainement un objectif audacieux en ce qui concerne l’amélioration et la réduction des coûts », dit Rosner. « …même en réalisant une partie de cet objectif, disons une plus petite réduction des coûts, cela aurait quand même des implications énormes. »

Alors, est-ce mal de faire ça ?

Steve Jobs a lui aussi fait des promesses audacieuses, parfois farfelues. Et par extension, Elizabeth Holmes de Theranos aussi. En fait, c’est essentiellement ce qu’elle a défendu, à savoir que les entrepreneurs tournés vers l’avenir doivent se fixer des objectifs ambitieux et remettre en question les idées reçues. Mais d’une certaine manière, Milton et Holmes ne sont pas Musk et Jobs. Est-ce parce que ces deux derniers ont eu plus de succès ? Ou est-ce une question de degré ? C’est certainement une question d’intention.

Alors, qu’est-ce qu’une promesse dans le monde des affaires – et en politique aussi ? Où se situe la limite entre l’hyperbole et la fraude ? Ce sont des questions auxquelles Nikola Tesla a été confronté il y a 100 ans, et aujourd’hui, Nikola, Tesla et Donald Trump y sont également confrontés.

source : https://finance.yahoo.com/news/how-tesla-nikola-and-donald-trump-are-all-connected-115511618.html

En réalité, l’énergie libre infinie fait partie de l’espace vide; c’est une énergie inépuisable qui pourrait nous apporter de grands bienfaits. L’énergie libre du point zéro a été découverte par le grand génie Nikola Tesla, et certains scientifiques qui l’ont développée par la suite ont été tués. Hélas, ils veulent la supplanter par la nocive 5G.

C’est pour cette raison qu’une dissimulation délibérée a été mis en place pour qu’il ne soit pas rendu public tout ce qui provient du champ stellaire ou d’origine extraterrestre, tout comme ce qui concerne l’énergie libre du point zéro.

Cette énergie était connue et utilisée par diverses cultures anciennes comme celle de l’Égypte ou en Inde, où il existe encore des vestiges qui montrent qu’à l’époque on disposait d’une technologie très avancée avec laquelle ils bâtissaient de grandes constructions, des temples, des pyramides… Elle était également utilisée pour voyager dans le champ unifié à travers les univers quantiques et fractals.

Steven M. Greer (scientifique et écrivain, fondateur du Centre d’étude de l’Intelligence Extraterrestre – CSETI) : « Nous sommes dans une démarche de transformation énergique, environnementale et sociale actuelle. Nous voulons un monde durable et prospère. Les progrès technologiques dans les domaines de la physique avancée et des systèmes électromagnétiques, s’ils sont correctement soutenus, permettront à l’humanité de vivre sur Terre pour une large période sans l’endommager. Pendant plus de 100 ans, certains concepts avancés de production d’énergie ont été ignorés ou activement supprimés, en raison des intérêts économiques et industriels liés aux combustibles fossiles. Nos objectifs sont sans aucun doute ambitieux. Nous souhaitons développer une relation pacifique avec l’intelligence extraterrestre qui visite la planète Terre depuis des décennies, voire des siècles.

Si la présence ET est restée secrète, c’est en partie parce que l’une des premières questions que l’on se pose est la suivante : « Comment arrivent-ils ici? » Ils n’utilisent pas de combustibles fossiles, ils se servent des systèmes de production d’énergie par le vide quantique ou l’énergie du point zéro. Ce sont ces systèmes énergétiques que nous voulons développer et mettre à la disposition du grand public afin que nous puissions avoir un monde d’abondance durable et sans pollution. Depuis plus de 100 ans, les progrès des systèmes électromagnétiques ont permis la production d’énergie d’une puissance-unitaire par le biais du champ d’énergie du point zéro et du vide quantique. Ceux-ci ont été supprimés par divers moyens, tant légaux qu’illégaux. À ce jour, aucun inventeur, aucune société, aucune équipe de recherche ni aucune université n’a réussi à surmonter ces obstacles. Étant donné que ni les gouvernements ni les grandes entreprises du monde n’ont pris des mesures décisives pour diffuser ces technologies.

Un nouveau consortium privé sera nécessaire pour atteindre cet objectif. À l’instar d’internet, ce consortium développerait une nouvelle technologie énergétique de base qui pourrait ensuite être adaptée de multiples façons pour fournir une énergie utilisable, propre, illimitée, sûre et essentiellement gratuite. En ce sens, nous intervenons là où les grands programmes des gouvernements et des entreprises ont échoué. Le besoin est urgent et le temps est compté. Mais la technologie sous-jacente, comme l’internet, doit être une source ouverte, libre, disponible et diffusée massivement en temps réel. Nous devons voir grand : la Terre compte 7,2 milliards d’habitants, près d’un milliard ou plus de foyers et d’entreprises, qui ont tous besoin d’énergie. Le « jeu à somme nulle » du secret et des brevets qui domine la plupart des efforts de lancement de technologies n’est pas la bonne approche, et il a échoué de manière spectaculaire dans le passé lorsque l’énergie du Point zéro a été impliquée. Nous ne devons pas répéter ces erreurs. Nous sommes arrivés à la conclusion que, pour que cette technologie réussisse, elle doit être à source ouverte, vérifiée de manière indépendante et entièrement reproductible, et ce de manière totalement ouverte, sous le regard du monde entier. Le secret est notre ennemi et a voué d’innombrables inventeurs à l’échec. Nous devons tirer les leçons de l’histoire et ne pas la répéter. »


Kimberly Carter Gamble (éditeur et producteur de Thrive) : « Histoire scientifique des 300 dernières années, fondée en grande partie sur les théories d’Isaac Newton, a radicalement changé. L’univers de Newton fonctionnait comme une machine avec de la matière discrète circulant dans un vide d’espace et de temps, avec un cerveau humain distinct qui l’observait. Si nous observons notre cosmos comme un champ connecté, nous devons reconsidérer tout ce qui est perçu séparément, ce qui est essentiellement tout. Lorsque nous comprendrons ce réseau d’énergie et la manière de nous y relier harmonieusement, nous trouverons le moyen par lequel toute vie sur Terre pourra non seulement survivre, mais aussi prospérer. Les tendances que nous mettons en évidence sont encore plus pertinentes à la suite de la réaction mondiale à l’affaire covid-19.

Avec une planète magnifique, des gens bien et une technologie avancée, pourquoi sommes-nous dans une situation aussi mortelle ? Y a-t-il quelque chose que nous ne savons pas encore, dont la révélation transformerait la qualité de vie sur Terre et nous ferait prospérer ? La civilisation connaît un grand changement lorsqu’elle comprend enfin qu’il existe un champ fondamental dans lequel elle est immergée et auquel elle peut accéder. Ce champ unifié peut expliquer d’où vient l’énergie d’un aimant, et l’énergie des noyaux d’un atome qui le fait tourner indéfiniment à une vitesse proche de celle de la lumière. D’où vient cette énergie ? Je pense que nous sommes très, très proche d’une véritable théorie unifiée soutenue par des mathématiques cohérentes et corrélables. Pendant longtemps, nous nous sommes efforcés de définir la matière en étudiant en étudiant la matière elle-même. Ses caractéristiques, le nombre d’électrons, de protons et de neutrons. Toutes ces choses se rejoignent.

Mais si la réponse simple était de comprendre pleinement le vide ? L’espace entre vous et moi, et l’espace entre tout, semble être vide. Nous l’appelons communément l’espace vide. Mais ce n’est pas le cas. L’espace-temps à l’échelle précise de la longueur de Planck est mesuré en unités sphériques d’oscillateurs de Planck, des milliards de fois plus petits que l’atome. On peut le considérer comme un liquide qui imprègne tout l’espace. C’est une source du champ gravitationnel, du champ électromagnétique, c’est une source de masse. C’est la source de la charge. Nous commençons à en comprendre les mécanismes au niveau le plus profond. Ce qui est possible, c’est d’extraire l’énergie de l’espace vide. Tout est là. Cette énergie est ici. Nous ne violons pas la seconde loi de la thermodynamique. Nous pensons que l’énergie du point zéro qui nous entoure est très puissante.

Et dans une très, très petite zone, il y a assez d’énergie pour subvenir aux besoins de notre société pendant des milliers d’années. Je pense que le nouveau niveau de la physique, le nouveau niveau de technologie qui émerge dans le monde, qui puise son énergie dans le champ fondamental, sont des technologies qui cherchent un moyen de créer un lien de résonance avec ce champ fondamental. Le moyen d’accéder à ce champ de source d’énergie semble être la quiétude, parfois appelé le point zéro. La quiétude n’est pas statique. C’est un état de résonance harmonique, un échange rythmique et équilibré d’énergie. Avec les fréquences de l’énergie, l’état complet d’équilibre fonctionne comme un vortex. Il intercepte l’immobilité au centre de chaque toroïde du champ et en exploite le potentiel pur. La quiétude est un accès à une électricité illimitée, en développant des technologies de guérison, en faisant que la conscience se développe ou simplement en trouvant la paix mental. »


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Eveil Homme

Chercheur spirituel et métaphysique, je suis en contact depuis plusieurs années avec des êtres Galactiques, de Lumière et Divin. L'objet de ma démarche est d'informer les personnes intéressées par les questions liés aux nouvelles fréquences de réalité : ascension terrestre, éveil et chemin spirituel, nouvelles réalités, contactés extraterrestres et galactiques, êtres de lumière, divulgation, technologies nouvelles et ésotériques

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