Technologies Cachées Libérées

La médecine de Tesla par Jean Librero (article paru sur le magazine Top Secret)

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ARTICLE PUBLIE AVEC L’AUTORISATION DU MAGAZINE TOP SECRET ET DE L’AUTEUR. EXCEPTIONNELLEMENT SUR EVEILHOMME, IL EST DEMANDE DE NE PAS RE-PARTAGER SUR UN SITE OU BLOG CET ARTICLE SANS AUTORISATIONS, PARTAGE SUR MÉDIA SOCIAL ACCEPTE BIEN-SÛR. MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION ET CHALEUREUX REMERCIEMENT A TOP SECRET MAGAZINE ET JEAN LIBRERO. BONNE LECTURE A TOUS. ARTICLE ORIGINAL DE MANUEL DIAZ.


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INTERVIEW BOB CONNOLLY TOP SECRET 99


Ce dossier se présente en deux parties, soit deux numéros successifs de Top Secret. C’est une introduction à un sujet largement inexploré en France. Cette publication est singulièrement opportune dans un contexte international favorable, qui impactera notre pays avant peu. Des évènements sont en cours, qui ébranleront des pouvoirs longtemps inamovibles.

Le nom de l’inventeur de génie Nikola Tesla est familier à beaucoup de lecteurs, mais peu d’entre nous ont eu connaissance de ses découvertes dans le domaine de la médecine. Le lecteur découvrira, dans les pas du réalisateur canadien Bob Connolly, que plusieurs inventions médicales fondamentales, au début du XXème siècle, furent de celles qui causèrent « l’embargo » de plusieurs décennies autour du nom de Tesla et de son œuvre.

La revue Tesla Magazine a consacré à la médecine Tesla deux numéros spéciaux en 2015, et l’évènement annuel TeslaMania à Toronto, Canada, a fait un large écho au documentaire de Bob Connolly, The Healing Field, qui présente les résultats d’une enquête de plusieurs années sur Nikola Tesla et la médecine.

Tesla1La première partie du dossier résume un contexte historique qui nous plonge à la fin du XIXème et au début du XXème siècle. On y parle d’ozone tueur de parasites, de lumière ultraviolette, de bobines Tesla dans des mallettes de médecin de famille. On découvre aussi la renaissance, depuis une vingtaine d’années, de pratiques médicales longtemps ? supprimées ». En parallèle, l’interview de Bob Connolly partage les fruits de trois ans de voyages et recherches.

Les thérapies par champs électromagnétiques pulsés reviennent en force en Occident, après y avoir été réinjectées depuis l’Allemagne de l’Est et les pays de l’ex- Bloc Soviétique depuis 1989 (réunification de l’Allemagne). Il est probable qu’un changement de paradigme s’approche, dans l’intérêt majeur des populations et des politiques de santé

La deuxième partie du dossier rappelle l’embargo imposé sur la médecine Tesla au début des années quarante. Avant cela est évoqué le nom du médium et thérapeute Edgar Cayce, qui a régulièrement recommandé la thérapie par le « Rayon Violet » dans ses « lectures » sous hypnose. On expose ensuite le rôle de l’Europe de l’Est dans la préservation de ces technologies, depuis le début du XXème siècle.

Sont réunies enfin des indications précises sur les développements contemporains de ces applications médicales en Europe, au Canada et aux États-Unis, très souvent en provenance de l’Allemagne et de la Suisse, ce qui nous permet de visualiser les épisodes à venir dans l’Hexagone.

Quoique lent et progressif, le déroulement en cours en Europe aussi bien qu’en Amérique nourrira un espoir légitime pour une médecine intégrative, selon une dénomination courante au Canada.

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Nikola Tesla et ses inventions médicales :

Un embargo de 70 ans, un début
d’affranchissement depuis 1989.
Le renouveau des thérapies par l’ozone et par champs
électromagnétiques pulsés.
The Healing Field, un documentaire canadien
bientôt distribué en France.

 

 

 

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Portait photographique Nikola Tesla 1890

Une citation de Nikola Tesla peu connue sur le site TeslaUniverse.org illustre par sa beauté poétique et la profonde et vibrante sensibilité de Tesla pour les questions de santé. Il s’agit de la Citation 66 sur le site. Dans sa brièveté intimiste, la phrase rayonne d’ne aura quasi métaphysique, qui passe souvent inaperçu dans les portraits du génie.

“Everyone should consider his body as a priceless gift from one whom he loves above all, a marvelous work of art, of indescribable beauty, and mystery beyond human conception, and so delicate that a word, a breath, a look, nay, a thought may injure it”. Nikola Tesla

Les lecteurs de Top Secret seront parmi les premiers informés quand le documentaire exceptionnel « The Healing Field » sera disponible pour le public francophone. Les murailles de la forteresse institutionnelle sont ébranlées. Une médecine non pharmaceutique, relativement simple et non ruineuse pour nos systèmes de santé est sur le point d’être de nous être restituée.

Top Secret présente pour la première fois deux technologies médicales enterrées pendant cinquante ans, l’ozonothérapie et les champs électromagnétiques pulsés, thérapies qui font leur retour depuis les années 1990, particulièrement en Suisse, Allemagne, Italie, et au Canada. Merci à tous les chercheurs persévérants, à Tesla Magazine, et surtout

Merci à Nikola Tesla.

La saga Tesla : l’inventeur du courant électrique

Pour le grand public, le nom de Tesla se confond avec l’actualité récente la plus médiatisée, à savoir la voiture électrique mise au point et commercialisée par Elon Musk et la compagnie Tesla fondée en 2003. Après le Roadster de 2008, sont venus le SUV Model X en 2015, puis le Model 3, modèle grand public. Dans le vacarme du battage médiatique, on oublie de souligner que, ni plus ni moins, la voiture électrique contemporaine repose sur les brevets déposés par Nikola Tesla à partir de 1899, entre autres le moteur à induction électrique asynchrone et l’alternateur polyphasé.

Musk, entrepreneur habile, fondateur de PayPal, n’est donc en rien l’héritier ou le continuateur de Tesla. Les vrais disciples de l’inventeur (Otis Carr, Ralph Ring, Arthur Matthews) ont quant à eux eu maille à partir avec les agences gouvernementales. L’œuvre et la vie d’Otis Carr en particulier ont été impitoyablement brisées par les pouvoirs en place.

Plusieurs centaines de brevets sont reproduits en intégralité sur le site TeslaUniverse.org. Il est très instructif de visiter ce site d’archives volumineuses. On trouve des indications précises sur ces épisodes fondateurs dans le livre de Jeane Manning, Energie libre et technologies, traduit aux Editions Louise Courteau [1]. La page Wikipaedia, même si ce site est contestable de façon générale, offre aussi d’importantes références [2]. Un grand nombre de vidéos sont accessibles [3] sur YouTube.

Un jeune ingénieur d’origine serbe plein d’espérances…

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Tesla en 1879, quelques années avant son départ pour l’Amérique

Cela se passait à la fin des années 1880 ou au début des années 1890. Tesla, né le 10 Juillet 1856 dans un village de Croatie, n’était encore qu’un brillant ingénieur qui avait émigré aux Etats-Unis en 1884. La « guerre du courant électrique » faisait rage depuis quelques années entre Thomas Edison, partisan du courant continu et le jeune Nikola Tesla qui défendait les vertus du courant alternatif, dont il était l’inventeur. Le courant alternatif finit par s’imposer, au grand dépit d’Edison qui n’avait pas répugné aux manœuvres les plus basses pour discréditer son adversaire du moment. La scène rapportée se déroule dans un bureau fastueux de l’un des investisseurs les plus puissants de l’époque, le banquier J.P. Morgan [8].

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Le banquier J.P. Morgan (1837—1913)

Alors qu’il recevait le jeune inventeur pour qu’il lui présente un ou plusieurs de ses brevets sur la toute nouvelle source d’énergie, Morgan aurait conclu l’entretien par cette observation éloquente et probablement rédhibitoire dans l’esprit d’un oligarque : « Très intéressant, vraiment, votre procédé ; cependant, une question, jeune homme : Où pose-t-on le compteur, sur votre machine ? ».

Les fonds que le banquier de Wall Street était en mesure de mobiliser ne furent pas longtemps investis dans les projets et initiatives du jeune ingénieur arrivé à New York quelques années plus tôt. Dans l’esprit de Tesla, la découverte devait permettre d’offrir une énergie abondante aux sociétés modernes, et non de ponctionner les foyers modestes au profit de l’oligarchie financière. Une telle anecdote nous fait toucher du doigt une clé décisive pour approcher la singularité de la trajectoire de Tesla, habité par un idéal de partage et de service à l’humanité. Une éthique aussi élevée et exigeante était incompatible avec les visées des groupes qui étendaient leur emprise dès la fin du XIXème siècle.

L’opposition radicale de ces groupes à toute entreprise de nature « philanthropique » se déchaîna avec une violence accrue au moment où Tesla développait une médecine révolutionnaire fondée sur l’ozone (conception du fameux Rayon Violet !) et l’application de champs électromagnétiques. Tesla fonda la Tesla Ozone Company en 1910, à l’époque où les géants de la finance recyclaient une partie de leurs avoirs dans la recherche et l’industrie pharmaceutique. La Fondation Carnegie et la Fondation Rockefeller s’allièrent dans les années vingt et trente pour imposer leur domination au secteur médical aux Etats-Unis. La Fondation Rockefeller fonda la Faculté de Médecine de l’Université de Chicago, qui fut longtemps l’une des plus importantes aux Etats-Unis. Dès la fin des années trente, les médecins encouraient le risque de perdre leur licence s’ils pratiquaient des thérapies autres que celles recommandées par l’industrie pharmaceutique, financée par les mêmes groupes. La santé publique n’était déjà plus qu’un marché comme un autre, et des prédateurs à la philosophie strictement mercantile s’apprêtaient à annexer des enjeux publics majeurs.

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Éclairs surpuissants générés à Colorado Springs

Rival de Thomas Edison, à qui on attribua à tort certaines de ses découvertes, Tesla inventa, outre le courant alternatif, l’ampoule sans filament, la radio, le laser, la robotique, la commande à distance, le radar, et déposa plusieurs centaines de brevets (certains disent trois cent, d’autres plus de sept cent). Le brevet sur le courant alternatif, déposé en 1888 fut racheté peu de temps après par la compagnie Westinghouse. En 1891, il expose sa lampe à pastille de carbone, qui préfigure l’accélérateur à particules et le microscope électronique. Alors qu’il mettait au point son brevet sur la radio sans fil, son laboratoire brûla mystérieusement en 1898, détruisant le fruit de milliers d’heures de travaux. Tesla met au point le radar vers 1900, qui sera redécouvert des dizaines d’années plus tard. L’invention de la radio sans fil ou radio télégraphe, initialement attribuée à Marconi, fut restituée à Tesla par la Cour Suprême des États-Unis, quelques mois après sa mort en 1943.

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A Colorado Springs, Tesla travailla à partir des charges électriques contenues dans l’atmosphère. En note figure un extrait d’une réflexion de Tesla sur ces expériences réalisées à 1800 mètres d’altitude, près du Mont Pike, au Colorado, dans les Montagnes Rocheuses4. Au cours de l’été de 1899, Tesla construisit un dispositif extrêmement ambitieux, qui fut financé par plusieurs investisseurs locaux. Il avait choisi les montagnes Rocheuses à cause de leurs fréquents orages électriques, et l’idée de Tesla était de se brancher sur les nuages très chargés à partir de la Terre. Il avait déjà mis en évidence que les éclairs de ces orages semblaient se décharger selon une forme d’onde stationnaire particulière qui encerclait la planète entière.

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C’est un projet qu’il développa quelques années plus tard avec la Tour Wardenclyffe [5], que Tesla fit construire en 1901 sur l’île de Long Island, à New York.

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La Tour WardenClyffe, 1910, à Shoreham, Long Island, New York

Tesla investit dans ce projet grandiose une grande partie de sa fortune patiemment accumulée, et fut toutefois contraint de renoncer au projet, en l’absence de soutiens financiers extérieurs. Tous les investisseurs potentiels avaient en effet successivement décliné la proposition. La Tour fut démantelée en 1917 et les matériaux revendus à une déchetterie. Cet épisode pourrait n’être qu’une anecdote de plus dans la carrière de l’inventeur. En l’occurrence, l’histoire de la Wardenclyffe Tower nous confronte à un questionnement qui est devenu récurrent dans l’étude des recherches et inventions de Tesla. Ni plus ni moins, il semble que Tesla soit parvenu à canaliser l’énergie contenue dans le champ électromagnétique de la Terre pour générer des voltages d’une intensité fabuleuse. Beaucoup de gens connaissent ces photographies saisissantes où l’on voit Tesla assis en train de lire au milieu de son installation, qui au même moment est traversée d’éclairs très spectaculaires.

Les découvertes sur le champ électromagnétique terrestre sont évoquées également par Anadi Martel, dans un article du numéro spécial de Tesla Magazine. L’auteur reproduit un extrait précieux d’une description par Tesla lui même des effets lumineux produits par ses expériences. Il ne s’agit pas ici des éclairs spectaculaires générés dans la Tour, mais d’expériences avec une ampoule sans fil alimentée par des voltages puissants et des champs magnétiques à très hautes fréquences. C’est donc un thème-clé pour comprendre l’échelle de ces découvertes : Tesla aurait découvert et dompté une énergie inépuisable, accessible partout sur la planète, qu’il se proposait de léguer à ses contemporains. Les banquiers de Wall Street n’allaient pas le permettre.

Jusqu’à ce jour, et depuis plus de cent ans, à l’exception des centrales nucléaires et d’énergies alternatives telles que les éoliennes et l’énergie solaire, (les centrales nucléaires utilisent néanmoins de l’énergie en quantité) nos sociétés et nos industries continuent à puiser l’énergie dans les hydrocarbures qui firent la fortune de John Rockefeller et de la Standard Oil dans la deuxième moitié du 19ème siècle, et dans les centrales électriques par lesquelles s’enrichirent ceux à qui Tesla concéda un grand nombre de brevets avant de finir son existence solitaire dans un hôtel de Manhattan.

Un document peu connu encore, mis en ligne en Juin 2017 par le site Midnight in The Desert [6] (créé par le célèbre animateur radio Art Bell, décédé en Avril 2018) suggère que Tesla émit avec la Tour Wardenclyffe un rayon d’une puissance si prodigieuse que des civilisations galactiques furent « alertées ». Si ces documents de la D.I.A. (Defense Intelligence Agency) datés de Janvier 1989 sont authentiques, ces informations explosives font partie d’extraits d’interrogatoires d’une entité extraterrestre de type anthropomorphe récupérée sur le crash d’Aztec, survenu en Mars 1948 au Nouveau-Mexique. Tesla serait ainsi parvenu à « harnacher » les énergies colossales du champ électromagnétique de la Terre dans un puissant faisceau qui aurait été dirigé « vers les étoiles ».

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Autre vue à Colorado Springs

Propriétés bénéfiques de l’électricité sur la santé : Premières découvertes de Nikola Tesla avec ses « bobines » à haut potentiel.

On pourrait écrire sans fin sur les inventions de Tesla qui les visualisait souvent dans ses rêves. Sont présentées ici quelques-unes des découvertes les plus méconnues du « génie serbe » (né en Croatie en réalité). Tesla s’intéressa très tôt à la médecine, en particulier à-travers des découvertes « fortuites » dans ses laboratoires où il testait des courants à haut voltage. Nous résumons le succès de ces médecines révolutionnaires par l’ozone entre 1910 et la fin des années trente, et rappelons dans ses grands traits le « coup de force » des lobbies de l’industrie pharmaceutique aux Etats-Unis, qui dès 1940 interdirent les médecines recourant aux champs électromagnétiques, selon les applications conçues par Nikola Tesla.

Ce dossier sur « l’ozone » et les PEMF (champs électromagnétiques pulsés) est donc un témoignage édifiant sur la « suppression » de thérapeutiques efficaces et la mise sous tutelle des systèmes de santé. A l’heure où nombre d’entre nous luttent contre les vaccins obligatoires, et où de brûlants dossiers de santé publique font l’actualité (compteurs Linky, Wifi 5G, eau chlorée, chemtrails, nanoparticules, aluminium, cultures OGM, glyphosate et néonicotinoïdes tueurs d’abeilles…), cette contribution est une brique versée au débat. Espérons que nombre d’entre nous s’en empareront en vue de rompre l’omerta, et d’affranchir nos systèmes de santé de la prédation dont ils sont l’objet depuis plusieurs décennies.

Sont rassemblées des synthèses de travaux de nombreux chercheurs internationaux, en particulier grâce aux publications de la revue Tesla Magazine. Qu’ils en soient tous remerciés, en premier lieu Bob Connolly, producteur de l’évènement annuel Teslamania, et éditeur de deux numéros spéciaux de Tesla Magazine.

Tesla et l’actualité médicale contemporaine

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Bob W. Connolly, canadien, producteur de l’évènement annuel Teslamania [7], a voyagé dans le monde entier pendant une période de trois ans en vue de réaliser un documentaire sur les inventions médicales de Nikola Tesla. Il a été également directeur éditorial du numéro spécial d’Aout 2014 de la revue Tesla Magazine, Tesla and the Healing Field ainsi que du Volume 4, Edition Spéciale, également consacré à la diffusion des recherches contemporaines sur la médecine Tesla.

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Son film « The Healing Field » a été présenté au Canada à l’édition 2015 du Salon International de Médecine Alternative (Total Health Show) qui s’est tenu du 17 au 19 avril 2015 au Convention Centre de Toronto. Dans ce parcours exploratoire, Connolly a visité en particulier le Musée Tesla à Belgrade (Serbie) où sont présentées des inventions médicales reposant sur l’ozone émise au moyen de bobines émettant la lumière ultraviolette. Le réalisateur assista à cette occasion à des démonstrations dans lesquelles des enfants étaient exposés aux étincelles émises par des champs à très haute fréquence, qui dégageaient l’odeur particulière de l’ozone.

Jason Quitt rapporte dans son livre Connaissances Interdites un épisode historique lors duquel, au début du XXème siècle, Nikola Tesla, pendant plusieurs mois, exposa à ces émissions d’ozone des classes d’un établissement scolaire, avec des résultats spectaculaires, au plan physiologique (croissance des mineurs) aussi bien que dans les apprentissages. L’importance historique de ces découvertes et applications autour de 1910 est telle que Connolly écrit en préface à l’édition spéciale de Tesla Magazine (Février-Mars 2015) que cette expérience vécue à Belgrade changea le cours de son existence. Le réalisateur canadien prit conscience que le silence longtemps imposé par les médias officiels autour du nom de Tesla fut causé, plus encore que par ses recherches sur l’électricité, par ses applications médicales fondées sur le recours aux fréquences électromagnétiques. Nous prendrons pleinement conscience des implications de ce déroulement historique quand le documentaire The Healing Field sera diffusé en langue française. Avant cela, faisons retour sur la biographie de Tesla, et examinons dans leurs grandes lignes les principes de la médecine par l’ozone.

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Après ce rappel historique, plongeons-nous concrètement dans la « médecine Tesla ». Une explication générale des vertus et dangers de l’ozone par l’universitaire canadienne Magda Havas précède un récit du parcours initiatique de Nikola Tesla qui lui fit découvrir les propriétés thérapeutiques de l’ozone. Est évoqué aussi le nom et l’œuvre du thérapeute Edgar Cayce, qui dans plusieurs centaines de diagnostics en état hypnotique recommanda régulièrement le recours au Rayon Violet de Tesla.

La deuxième partie du dossier est plus substantielle pour le temps présent, et offre un panorama des recherches et pratiques médicales actuelles aux EtatsUnis, Canada, et dans les principaux pays d’Europe (à l’exception de la France). On présente plusieurs appareils, très largement distribués « chez nos voisins » et qui ont reçu l’agrément aussi des autorités de réglementation aux Canada. Sont évoqués aussi le nom et l’œuvre du thérapeute Edgar Cayce, qui dans plusieurs centaines de diagnostics en état hypnotique recommanda régulièrement le recours au Rayon Violet de Tesla.

Le public francophone est encouragé à découvrir et partager largement ces avancées spectaculaires, occultées depuis 1940, et à nouveau librement accessibles, mettant fin à un embargo savamment orchestré. La version française du documentaire The Healing Field contribuera à cet éveil des consciences. Le moment est venu de réclamer l’affranchissement des pratiques médicales, une liberté chèrement conquise dès 1910 par les travaux de l’inventeur, et trop longtemps confisquée.

Rendons la parole à Nikola Tesla.

Le paradoxe de l’ozone

Magda Havas est chercheur et chargée de cours en Sciences de l’Environnement à la Trent University, en Ontario (Canada). Elle a contribué au numéro spécial de Tesla Magazine sur la médecine Tesla (ou thérapie par l’ozone), paru en Mai 201510, par un article de treize pages intitulé « The Ozone Paradox ». Dans l’introduction, elle explique que ses découvertes sur la médecine basée sur l’ozone furent totalement imprévues pour elle, et dépassèrent entièrement le cadre d’une documentation de contenus d’enseignements. Ci-après, une caractérisation de l’ozone et de ses principales applications selon Magda Havas.

L’ozone comme stérilisant de l’eau potable

L’ozone est connu comme stérilisant par son application dans l’assainissement de l’eau potable. Plus de deux mille municipalités dans le monde utilisent ce procédé dans leurs services d’eau potable. Montréal, Paris, Los Angeles et Moscou figurent parmi ces métropoles. L’ozone tue les microbes et bactéries présents dans l’eau courante, mais détruit également les produits chimiques potentiellement toxiques présents dans l’eau. La durée de vie limitée de l’ozone n’évite pas le risque de recontamination entre la source et le produit final, et cet inconvénient peut être compensé par une exposition finale aux rayons ultraviolets, qui génèrent l’ozone, et sont par conséquent efficaces pour désinfecter l’eau potable. Tout autant que l’eau, on peut purifier l’air au moyen de l’ozone ou des rayons ultraviolets, qui agissent tous deux comme désinfectants. Les rayons UV ont été adaptés pour un usage domestique, leur application dans les usines, les laboratoires scientifiques et les hôpitaux, afin de détruire les agents pathogènes tels que moisissures, bactéries et virus.

Thérapie par l’ozone[11]

Par-delà sa fonction oxydante pour détruire les microbes, des études récentes par des instituts américains [11] ont montré que l’ozone possède des propriétés thérapeutiques pour diminuer les risques liés aux affections cardiopulmonaires, et aux risques cardiovasculaires et ischémiques (insuffisance de flux sanguin). Dans une autre étude appliquée aux asthmatiques [12], on a montré que le recours généralisé à l’ozone administré par injection sanguine ou voie rectale renforçait le système immunitaire et réduisait les biomarqueurs inflammatoires.

Magda comptait se livrer à une simple documentation historique sur le fameux brevet 588177 [13] par lequel Tesla protégea son premier Appareil de Production d’Ozone (Apparatus for Producing Ozone). En l’occurrence, cet appareil s’avère la plus importante invention médicale de Nikola Tesla, et l’examen de ce brevet renversa radicalement les conceptions académiques de l’universitaire canadienne.

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Un des feuillets du brevet « Appartus for producing Ozone », daté Septembre 1896.

L’ozone comme polluant atmosphérique

Selon la science médicale dominante, l’ozone est un gaz polluant, avec des effets très nocifs sur la santé humaine ainsi que sur les espèces végétales. Le brouillard photochimique, qui frappe de nombreuses grandes villes telles Los Angeles, est formé de constituants chimiques engendrés par la lumière solaire, plus particulièrement les rayons ultraviolets. Les gaz d’échappement des véhicules à combustion interne, en contact avec la lumière solaire, produisent de l’ozone et des oxydes d’azote qui s’associent aux hydrocarbures dans un mélange toxique pour les plantes et pour le système respiratoire des animaux et des humains. Les plantes absorbent l’ozone par leurs stomates au cours de la photosynthèse, et l’ozone détruit la chlorophylle indispensable au même processus de photosynthèse. Les feuilles des plantes cultivées brunissent, et ces cultures deviennent impropres à la consommation et à la commercialisation. Les cellules pulmonaires sont également vulnérables à de hautes concentrations d’ozone, en particulier pour les personnes qui souffrent d’asthme, d’emphysème, de bronchite ou de cancer du poumon.

La couche d’ozone dans la stratosphère et la protection contre les UV

Par ailleurs, on sait depuis longtemps que la couche d’ozone, qui protège l’atmosphère et la vie sur Terre contre les rayons ultraviolets en provenance du soleil, a été gravement dégradée par les polluants chimiques, entre autres les tristement célèbres chlorofluorocarbones (CFC) utilisés comme diluants dans les engrais et comme réfrigérants dans les congélateurs et systèmes d’air conditionné. Plus légers que l’air, les CFC s’élèvent jusqu’à la stratosphère où ils dégradent et produisent les « trous » dans la couche d’ozone. Soulignons toutefois que les rayons ultraviolets, dangereux si l’exposition est excessive (ils peuvent endommager l’ADN et causer des cancers) sont nécessaires à la synthèse de la vitamine D, indispensable à l’organisme et que le corps ne produit pas naturellement.

Tesla entre en scène

Comme il est dit plus haut, Tesla déposa en Septembre 1896 le brevet pour son premier générateur d’ozone à usage médical. Ce n’est que quatorze ans plus tard, en 1910, qu’il fonda la Tesla Ozone Company, qu’il finança avec 400 000 dollars de ses fonds personnels. Il créa avec cette société un grand nombre de machines, parmi lesquelles un générateur d’ozone portable à l’intention des médecins privés et des hôpitaux. L’ozone était produit par les étincelles émises par les courants à haute fréquence qui traversaient les bobines Tesla. Ce furent les prémisses d’une médecine révolutionnaire qui aurait pu changer le cours des pratiques médicales en Occident, et réorienter profondément l’histoire de nos sociétés au XXème siècle. Or, jusqu’à aujourd’hui, combien d’entre nous ont entendu évoquer, ne serait-ce qu’une fois, les pouvoirs thérapeutiques de l’ozone ?

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Les avancées prodigieuses apportées par la médecine par l’ozone furent méthodiquement enfouies et interdites à l’époque où un ingénieur originaire de Serbie entendait offrir à ses contemporains des thérapies libres de coûts et applicables à un grand nombre de pathologies. Jusqu’à aujourd’hui, un embargo implacable entoure la médecine Tesla en France (y compris dans la presse générale ou spécialisée), alors que celle-ci est florissante en Suisse et en Allemagne.

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Magda Havas souligne que la plupart des documentaires qui ont été réalisés sur Nikola Tesla contournent et passent sous silence ses inventions médicales et négligent de ce fait un pan entier de son existence. En l’occurrence, l’universitaire rappelle les premières expériences et observations « fortuites » que fit Tesla à l’époque où il produisait des éclairs à l’aide de bobines Tesla de grandes dimensions soumises à des voltages très élevés. Ces épisodes sont rapportés également par Jason Quitt dans son livre Connaissances Interdites [14].

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Rayons ultraviolets, ozone et destruction des microorganismes

Lors de ses expériences de production d’éclairs, Tesla constata qu’une forte odeur de gaz emplissait son laboratoire. Il identifia ce gaz comme étant de l’ozone, qui en effet était généré par la lumière ultraviolette émise avec les décharges électriques. Les rayons UV transformaient l’oxygène présent dans l’air en ozone. Plus important pour le présent sujet, l’inventeur du courant alternatif observa que l’ozone éliminait les bactéries et moisissures qui stagnaient dans les locaux de son laboratoire et améliorait sensiblement la condition physique et mentale de ses employés ainsi que la sienne. Tesla expérimenta intensivement l’exposition à l’ozone sur lui-même, avant d’y exposer ses employés, et ne souffrit pas des effets prétendument nocifs de ce gaz selon la doctrine scientifique officielle.

Tesla a probablement inhalé des quantités énormes d’ozone, sur un rythme régulier, dans ses pratiques de thérapie et dans son travail avec des bobines à haute fréquence. Il ne souffrit d’aucun effet secondaire négatif, et soulignons qu’il vécut jusqu’à l’âge de 86 ans, sans jamais consulter de praticiens de la médecine allopathique. Non seulement Tesla avait appris à ne pas redouter l’exposition à l’ozone, mais il alla jusqu’à ajouter à son dispositif un moteur qui propulsait de l’air entre deux bobines à haute fréquence, intensifiant ainsi considérablement l’émission de gaz d’ozone.

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Équipements hospitaliers inventés par Tesla dès les années 1920

Tesla conseilla de désinfecter les chambres d’hôpitaux au moyen de l’ozone, et de faire encore respirer directement l’ozone aux patients à-travers un vaporisateur. Il produisit également une huile d’olive ozonifiée destinée aux médecins dans leurs pratiques quotidiennes. L’électrothérapie par les courants à haute fréquence, ou médecine par l’ozone, conquit bientôt une large audience aux États-Unis et s’imposa dès le début des années vingt. Des appareils destinés à l’usage privé furent bientôt mis à disposition du public et des foyers. Le violet ray tube figurait en bonne place dans le fameux catalogue Sears tout au long des années vingt et trente.

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Un modèle de la fameuse « valise Tesla » à l’intention des médecins privés.
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Le jeune Edgar Cayce (1877-1945)

La deuxième partie du dossier évoque en introduction le rôle d’Edgar Cayce, ce très énigmatique thérapeute, qui a guéri des milliers de patients, et dont les diagnostics en état de transe étaient « fulgurants ». Cayce a contribué à populariser la « mallette Tesla » et le rayon violet.

On prétend que Tesla a déposé au cours de sa vie un nombre considérable de brevets, qui s’élèverait à plusieurs centaines. Nombre de ces derniers auraient été « confisqués » après sa mort par des autorités qui jusqu’ à ce jour « demeurent dans l’ombre ». On rapporte que la nuit même qui suivit son décès, la suite dans laquelle l’inventeur résidait au 33ème étage, chambres 3327 et 3328 du New Yorker Hotel, dans la Huitième Avenue, fut visitée par des agents des services spéciaux et intégralement vidée de tous ses contenus, meubles, coffres, effets personnels et documents. Tesla s’éteignit le 7 Janvier 1943, dix mois avant l’Expérience de Philadelphie, pour laquelle il avait été initialement le principal conseiller scientifique (aux côtés d’Albert Einstein) avant de se retirer en avertissant énergiquement des dangers de cette expérience qu’il vouait à l’échec, et dans laquelle risquèrent leur vie des centaines de militaires de la Navy. La disparition de l’inventeur annonce d’une certaine manière le résultat désastreux de la tentative de téléportation du USS Eldridge dans la baie de Philadelphie, le 23 Octobre 1943.

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Fin de la première partie- Inventions Médicales de Nikola Tesla


Deuxième partie dans le numéro d’Octobre 2018- Top Secret.


Notes :
[1] Jeane Manning (trad. Liliane Roth), Énergie libre et technologies [« The Coming Energy Revolution »]. Québec, Louise Courteau, 2001. Chap. 2 (« Nikola Tesla : le père de l’énergie libre »), pp. 33-44]. Ci-dessous une bibliographie restreinte :
Nikola Tesla, Mes inventions : Autobiographie d’un génie. Editions Infini Cercle Bleu, 2007. Réédité Editions Hadès, 2014.
Nikola Tesla, Ma Vie et Ma Recherche : l’Autobiographie de Nikola Tesla. Createspace IPP, 2016. Trad. Françoise Levenne. Annexe 100 photographies inédites.
Nikola Tesla, Tesla Papers. Adventures Unlimited Press, 2000. (en anglais)
Paul A. LaViolette, Secrets of Antigravity Propulsion: Tesla, UFOs, and Classified Aerospace Technology. Bear & Company, 2008.
Martine Le Coz, La Tour de Wardenclyffe. (Roman). Editions Michalon, 2011.
Martine Le Coz, L’Homme Electrique. Editions Michalon, 2009.
Jeane Manning, Energie libre et technologies. Louise Courteau, 1997.
Jeane Manning, Les Anges ne jouent pas de cette HAARP. Louise Courteau, 2003.
John J. O’Neil, Cynthia Herpin, Le Génie Prodigue : L’incroyable vie de Nikola Tesla. CreateSpace IPP, 2015.
Robert Sutherland, Tesla For Beginners. Ed. For Beginners, 2016
Massimo Teodorani, Tesla, l’éclair d’un génie. L’histoire et les découvertes du plus grand inventeur du XXème siècle. Macro Editions 2015.
Didier Van Cauwelaert, Au-delà de l’impossible. Plon, 2016.
Une sélection de livres en anglais se trouve sur le site Tesla Universe : https://teslauniverse.com/nikola-tesla/books
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla
[3] https://www.youtube.com/watch?v=xQCFKbwzqdo
[4] Dans le journal “Electrical World and Engineer” du 5 mai 1904, Tesla déclarait, au sujet de son essai réussi du 3 juillet 1899 : “J’ai le premier obtenu la première preuve expérimentale décisive d’une vérité pour le plus grand avancement de l’humanité. (…) Des arcs gros, longs et persistants (éclairs) se formaient presque à intervalles réguliers… aucun doute là-dessus, nous étions en train d’observer des ondes stationnaires. (…) L’énorme signification de ce fait dans la transmission d’énergie par mon système était déjà devenue très claire pour moi […]” Tesla avait découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées d’énergie électrique n’importe où sur terre avec des pertes négligeables. http://frenzy.chez.com/Tesla.htm#.WzarOdUzbIU
[5] Martine Le Coz, La Tour de Wardenclyffe ou la prodigieuse invention de Nikola Tesla, éditions Michalon, 288 pages, 2011.
[6] Le document est en téléchargement libre sous deux formats. Stanton Friedman est supposé remettre un rapport définitif, qui se fait attendre, sur ce document de type « Majestic ». L’interrogatoire (Interview) de l’entité se trouve à la Section D de ce document de 47 pages. http://midnightinthedesert.com/exclusive-ultra-top-secret-assessment-situation-statement-positionufos/

[7] http://teslamania.tv/. Robert Connolly, qui est aussi musicien, présentera une démonstration « musicale » dans laquelle interviendront des plantes cultivées avec des bobines Tesla. http://teslamania.tv/robert_connolly_the_healing_field/. Un numéro spécial de la revue Tesla Magazine consacré au sujet est consultable intégralement sur le site de Jason Quitt, The Crystal Sun, consacré à la médecine énergétique. Site : http://thecrystalsun.com/wp-content/uploads/2016/04/TESLAmagweb-AUG-2014.pdf
[8] article biographique sur J.P. Morgan (1837-1913) dans Le Monde, 17 Aout 2013 https://www.lemonde.fr/economie/article/2013/08/17/j-p-morgan-le-mythe-du-superbanquier_3462724_3234.html
[9] Anadi Martel. – Président Sensortech Inc. (www.sensora.com) et de l’International Light Association (www.international-light-association.org). Article “Tesla and the Quest for Healing Energy”, pp. 20-21, Numéro spécial Tesla Magazine, Février 2015.
[10] Le numéro spécial de Tesla Magazine (Juillet 2015) est présenté sur le site québecois http://www.rameq.ca/medecine_tesla.html. On y trouve aussi un article de cinq pages de Robert Connolly sur l’essor actuel de la médecine Tesla au Canada et aux Etats-Unis.
[11] Il existe un ouvrage de référence en langue française, écrit par le Dr. Pierre Corson, Les Bienfaits de l’Ozone. Guy Trédaniel 1998.
[11] Jerrett, M. RT Burnett, R. Ma. Et al. 2005. Spatial analysis of air pollution and mortality in Los Angeles. Epidemiology 16 (6) pp. 727-736
Jerrett, M. RT Burnett, R. Ma., CA. Pope et al. 2009. Long-term ozone exposure and mortality. New England J Med. 360. pp. 1085-1095.
[12] Liste des brevets sur plusieurs sites. Wikipaedia : https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Nikola_Tesla_patents.
Sur le site TeslaScienceFoundation, lié au Musée Tesla de Belgrade, on a accès à l’intégralité de chaque brevet (site non accessible actuellement). http://teslasciencefoundation.org/patents/. Les brevets sont consultables sur https://teslauniverse.com/nikola-tesla/patents
[13] Rosales, FAH, JLC Fernandez, JT Figueras et al. 2005. Ozone therapy effects on bio markers and lung function in asthma. Archives of Medical Research : 36: 549-554.
[14] Jason Quitt, Bob Mitchell, Connaissances Interdites, Editions Atlantes, Mai 2018. Edition originale Forbidden Knowledge, CreateSpacePublishing, 2015.


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Eveil Homme

Chercheur spirituel et métaphysique, je suis en contact depuis plusieurs années avec des êtres Galactiques, de Lumière et Divin. L'objet de ma démarche est d'informer les personnes intéressées par les questions liés aux nouvelles fréquences de réalité : ascension terrestre, éveil et chemin spirituel, nouvelles réalités, contactés extraterrestres et galactiques, êtres de lumière, divulgation, technologies nouvelles et ésotériques

3 réflexions sur “La médecine de Tesla par Jean Librero (article paru sur le magazine Top Secret)

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