Par Nikolas Le Touareg
Parfois, on cherche une information durant plusieurs mois et quand elle finit par se révéler, on se demande comment on a pu passer à côté tellement ça semble évident ! Évidemment, et c’est valable pour chacun d’entre nous, tout ne restera que notre interprétation et même si nous sommes convaincus, nous nous devons de rester humbles tout au long de nos recherches pour pouvoir progresser et éviter de nous enfermer dans nos propres croyances.
Toujours est-il que pour ma part je reste persuadé de l’existence d’un Grand Cycle Cosmique, surtout si on considère que notre espace-temps est courbé et qu’il suit une spirale. Même si Jupiter -qui est indexé sur les constellations- reste une clé importante, j’ai finalement compris que ce n’était pas Jupiter le marqueur temporel, malgré ce que je pensais au départ. À force de chercher, j’étais convaincu que le marqueur temporel devait forcément être aligné sur le plan de l’écliptique.
C’est évidemment Sirius, l’étoile la plus brillante, mais aussi la plus proche de l’équateur céleste avec une déclinaison de -17 °. Nous en reparlerons très prochainement, surtout que des chercheurs ont mesuré la position de Sirius depuis 20 ans et tout semble indiquer que l’année 2020 serait la fin de ce cycle. Notre calendrier ne suit pas forcément l’horloge céleste, mais plus un système métrique basé sur la Gématria.
Il est d’ailleurs étonnant d’apprendre que selon certains textes, Sirius C était considéré comme l’étoile noire, Némésis, et Sirius A comme le jumeau de notre Soleil. Ces textes racontent que Sirius A était une étoile qui pouvait être rouge ou bleu en fonction de sa position au cours d’un cycle qui s’étendrait sur 26 000 ans ! Pour l’École des Mystères, Sirius A, B et C représenteraient les cycles de notre espace-temps et la représentation des énergies christiques de notre étoile sur la voûte céleste.
Avec le cœur
Nikolas
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