Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 10, épisode 12/17 : UNE JOURNÉE DANS LA VIE SOUTERRAINE

David Wilcock : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock, et voici notre invité, Emery Smith.

Dans cet épisode, nous passerons une journée entière dans une base souterraine top secrète. Emery, bienvenue.

Emery Smith : Bonjour, Dave.

David : Nous avons pas mal parlé de votre expérience en termes d’autopsies. Vous nous en avez donné un aperçu. Nous avons maintenant un tableau très intrigant. Il serait difficile de passer du temps dans ce monde pour après le quitter. Êtes-vous déjà resté dans ce monde ? Avez-vous déjà passé une nuit à la base ?

Emery : Oui, oui. J’ai souvent dû passer la nuit à la base. Environ 60 fois en tout, je pense. Pour différentes raisons. Il se peut qu’on y passe une nuit pour différentes raisons. Ils verrouillent parfois la structure pendant qu’on travaille. Et on en ignore parfois le pourquoi. Mais ils ferment bel et bien les trappes, et je sais que je vais devoir passer du temps supplémentaire là-bas, en plus du temps de travail pour lequel on me paie, d’ailleurs.

Et ils ont des complexes très agréables où passer la nuit, un peu comme une caserne. J’ai ma propre chambre avec salle de bains, il y a même de petites zones communes, où les gens peuvent vivre. On pourrait vivre indéfiniment dans cette base.

Mais revenons-en au verrouillage des trappes. Il se peut qu’une personne connue ou qu’une entité réussisse à ouvrir une brèche dans la base. Ils la verrouillent pendant un certain temps. Je me souviens avoir entendu une fois une énorme explosion, si puissante que je pouvais ressentir la vibration de cette arme électromagnétique. J’ignore d’où ça provenait, mais une partie de la base, un demi-hectare peut-être, a été complètement détruit par cette explosion. J’ai entendu dire qu’ils s’entraînaient à utiliser une sorte d’arme électromagnétique, qui a complètement désintégré une énorme sphère de la base. Il n’y a pas eu de radiations, ou de choses comme ça, ils essayaient juste de calmer les incendies causés par le gaz qui s’est enflammé suite à l’explosion, car ils utilisent beaucoup de gaz inflammables et de produits chimiques. Donc les polluants étaient le problème. Il fallait verrouiller les systèmes de traitement d’air, toutes les valves dans les différentes zones, etc. Ça leur a pris une vingtaine d’heures. Je crois que j’étais là cette fois-là.

Quand de telles choses se produisent, on vous donne de beaux quartiers, et vous attendez les nouvelles. On vous les communique via un interphone, un répertoire ou votre brassard. Ça fonctionne comme ça.

David : Quand vous parlez de « beaux quartiers », à quel point est-ce conventionnel ? Cela ressemble-t-il plus à une chambre d’hôtel ou à quelque chose d’étrange comme dans « Star Trek : La Nouvelle Génération » ?

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