Fédération Galactique – La nouvelle fréquence arrive : Le chemin vers la connaissance, la lumière et la liberté
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“Désinformation”, un mot utilisé tous les jours auprès du public, mais aussi dans les programmes secrets. Emery, bienvenue.
Emery Smith : Merci, George.
George : Ces programmes de désinformation, concrètement, que sont-ils ?
Emery : Un programme de désinformation est constamment diffusé par l’armée, aux yeux du public, mais aussi dans les projets compartimentés, surtout si c’est en lien avec les renseignements et les trucs qu’ils cachent aux autres projets compartimentés.
Une des premières fois où j’ai eu affaire à la désinformation, c’est quand on m’a en fait dit que concernant tous les êtres sur lesquels je travaillais, 3% d’entre eux étaient des faux. Et que je ne le saurais pas. Et que je ne pouvais pas poser des questions non plus.
Ils lâchent ça pour voir si vous pouvez la boucler et pour surveiller les autres personnes dans les projets. Vous pouvez aller voir une navette, imaginons. Et ils mettent quelque chose sur la navette qui ne cadre pas vraiment, juste pour voir comment vous réagissez vis-à-vis des autres. Même si vous ne travaillez pas sur cette pièce en particulier, pour voir votre réaction, vous écouter à la cafétéria, au téléphone, et des trucs du genre.
La désinformation fait donc partie du contrat que vous signez là en bas, que vous ne recevez pas de désinformations, mais que vous y serez exposé.
George : Tentent-ils de la rectifier, de la corriger, parfois ?
Emery : Oh… pas vraiment la corriger. Ils ne disent jamais ce qu’ils ont fait.
Un exemple, et ça arrive souvent, et je l’ai aussi entendu de beaucoup de mes collègues travaillant dans ces installations souterraines, où vous verrez un être à peut-être 10 mètres de vous, ou un peu plus, juste assez loin. Avec, genre, deux gardes de sécurité escortant une créature de type reptilien dans le couloir et de manière très ostentatoire.
George : Quelqu’un dans un costume pour vous duper ?
Emery : Oui. Exactement. Et c’est juste au cas où. Si vous fautez, quand vous sortez et que vous en parlez, les gens ne vous croiront pas. Ils veulent que vous ayez l’air un peu dingue. Voir si vous allez suivre cette voie et en faire un bouquin, y expliquer ce que vous avez vu, et partager cette information avec d’autres pays ou agences, et tout ça.
Car vous êtes toujours suivi quand vous sortez de ces projets pendant 25, 30 ans. Ils vous font des visites de temps en temps, pour que vous sachiez qu’ils vous surveillent, et que vous n’avez pas trop foiré les choses.
Mais je n’ai jamais rien dit qui pourrait mettre le public en danger, moi-même, vous, par exemple, ou les organisations avec lesquelles je travaille. Beaucoup de trucs dont je parle sont dépassés, qui se passaient dans la fin des années 80, début des années 90. Ils sont davantage contrariés lorsque je parle de façons de vous soigner ou de créer de l’énergie libre, que lorsque je parle d’extraterrestres.
George : Ces programmes de désinformation sont-ils aussi destinés au public ?
Emery : Absolument. Beaucoup de choses, comme le crash de Roswell ; c’était un très bon exemple. D’abord, il y a eu la pure vérité, sur toute la documentation, puis ensuite : “Oh, un ballon météorologique”. Tout ça pour leurrer le public.
Lire la suiteDavid Wilcock : Bonjour, je suis David Wilcock, et bienvenue dans un autre épisode de « Divulgation Cosmique ».
Je suis ici avec Corey Goode, et dans cet épisode nous allons entrer dans le monde des trolls du gouvernement, nos amis en ligne, ceux que nous aimons détester, parce qu’ils sont toujours prêts à partager leurs opinions très, très négatives et dépravées.
Mais s’agit-il vraiment de gens ordinaires, ou y a-t-il quelque chose d’autre qui se passe ?