Le Trésor de Fémicoeur décrit le salut d’une femme battue : l’exigence d’un voyage initiatique
L’exigence d’un voyage initiatique écrit en deux tomes.
Écrire à quatre mains, tel a été le challenge inédit qui a rempli le cœur de l’auteure Anne-Marie Allard. En effet, dans deux tomes qui se complètent, elle a décrit un voyage initiatique imaginaire en unifiant « Qui Elle Est » vraiment à son cheminement personnel, et ce, dans le but d’acquérir une meilleure connaissance d’elle-même.
Remontons le temps pour décrire en quelques mots l’exigence de cette vie, et donc la base des récits. Tout a commencé en Belgique, quand Anne-Marie se voit refuser la garde de son petit garçon. Elle entame alors un chemin de développement personnel qui vise avant tout à rechercher le bien-être intérieur. Elle expérimente l’écoute active, le Massage holistique® de Marie-Christine Kaquet et l’approche psycho-énergétique de l’être, proposé par Martine Struzik. De nombreuses années plus tard, quand Anne-Marie arrive en France à l’heure de sa retraite, elle souffre d’un burnout provoqué par sa fin carrière chaotique en tant que laborantine au sein d’hôpitaux liégeois. En manque totale d’énergie, elle recherche l’apaisement dans l’écriture. Le fil conducteur de premier roman émerge alors rapidement. Il se définit par les termes « du féminin blessé au Féminin sacré » et se base sur les concepts appris, ainsi que sur les notes prises au fil du temps.
Synopsis de « Voyage à Fémicoeur » : Amélie, une jeune femme victime des coups de son mari, se retrouve dans le service de réanimation d’un CHU français mais, parallèlement, elle débute un voyage initiatique dans un pays imaginaire : Fémicœur. Comme son nom l’indique, il unit féminin et amour. De plus, sa magie offre l’ouverture à tous les possibles. Les huiles essentielles s’incarnent en de Belles Dames, les arbres apportent des enseignements, le dragon puant, source de peur de l’héroïne, survole la plaine d’Eden. L’héroïne y rencontre les quatre archétypes énergétiques du cycle féminin symbolisées par la Vierge, la Mère, l’Enchanteresse et la Sorcière.
Au début de l’écriture du second tome, Anne-Marie conscientise la Présence de Trékaach, Féline humanoïde vivant sur Sirius, active dans l’ascension des êtres humains. Tout commence durant la période de confinement, quand la Terrienne danse en compagnie d’autres personnes en visiophonie grâce à Zoom. Tout à coup, l’Être galactique s’incarne dans l’humaine pour un moment intense et inoubliable de joie et de puissance. À l’écoute de cet Être insolite, Anne-Marie se perçoit alors comme une autre femme, au visage poilu, et avec cette certitude : elles possèdent la même âme. Dans un premier temps, elle qualifie cet Être de pacifique. Peu après, elle « voit » un paysage rougeâtre à travers un hublot.
Ensuite, elle canalise alors Trékaach. Cette cocréation peu commune s’appuie sur un avertissement clair de l’Être : « oublie tes croyances humaines, évite toute censure ». Ceci étant dit, cette base évite la complaisance et le désir de plaire à un certain lectorat. Cette courte introduction pourrait évoquer a posteriori la simplicité et la facilité de retranscrire l’énergie d’une guide spirituelle.
Pourtant, dans ce livre, Anne-Marie ne se reconnaît jamais comme l’une des émanations de Trékaach, tout simplement parce que la terrienne aura besoin d’un long temps pour en prendre conscience et pour s’adapter à ces énergies fabuleuses au taux vibratoire particulièrement élevé. Ces énergies provoquent des douleurs physiques intenses, notamment dans le ventre, ainsi que la résurgence de blessures émotionnelles de l’enfance. Dès lors, Anne-Marie descend dans les profondeurs de sa nature humaine, choisit l’accueil, accède peu à peu au pardon et à l’amour d’elle-même. Elle participe entre autres à un rituel chamanique dirigé par Minthé, chamane des eaux ; son questionnement continuel lui donne à nouveau l’occasion d’un parcours avec une psychothérapeute, Virginie Hérault ; elle suit des méditations guidées avec Laurent Chausson.
Ensuite, Frédéric-Arémis Florin l’accompagne, car l’augmentation du taux vibratoire nécessite un surplus de maîtrise d’elle-même. Anne-Marie sollicite également l’apport de multiples soins, dont ceux d’Amalia-Les Joyaux Sacrés. Comme dans le premier livre, elle trouve de cette manière le matériel psychologique et thérapeutique pour étoffer ses écrits. De plus, il s’ensuivra pour l’auteure une découverte par tâtonnement d’un monde extraterrestre qui lui est complètement étranger. C’est ainsi qu’outre ses propres canalisations, l’autrice s’appuie sur les messages que lui transmettent – à sa demande – d’autres guides, via des personnes de confiance.
Dans le second tome, Le Trésor de Fémicœur, l’auteure canalise Trékaach. Leur connexion s’ouvre d’abord sur l’inconnu, puis s’intensifie au fil des pages. Ensemble, elles évoquent avec force détails les souffrances de la naissance du bébé. Dans ce récit loin des sentiers battus, elles choisissent même de décrire cette entrée dans l’incarnation sous trois angles différents : celui d’Amélie, l’héroïne de base ; celui de Béa, l’infirmière en réanimation, et celui d’Elva, l’Atlante enceinte qui écrit des lettres à sa future fille. Puis, le roman s’étoffe de trois autres personnages et se poursuit dans la description du concept de transincarnation. Celui-ci exprime le désir de la Conscience supérieure à s’enrichir du plus grand nombre d’expériences possibles. Cette Conscience se divise en sept âmes identiques et s’incarne par conséquent dans sept humains. À ce moment, divers personnages s’ajoutent et s’entrecroisent dans le récit : Myrra, la Prêtresse du temple de Dendérah ; Al’Debarān, l’Atlante ; André, le mari d’Amélie, et Laniakea, un Hawaïen qui vit en l’an 2025.
Site : https://www.le-tresor-de-femicoeur.fr/
*** *** ***
EXTRAIT :
Cette histoire se veut une allégorie de l’incarnation. Il est donc naturel d’entamer ce récit par les écrits d’une femme enceinte, d’un autre temps. Elle fait partie d’un petit groupe de personnes qui ont réussi à fuir la destruction de la dernière île de ce continent nommé l’Atlantide. Ces rescapés échouent à Fémicœur et créent peu à peu des endroits propices aux expansions de conscience, préparant ainsi le chemin initiatique d’Amélie.
Anne-Marie m’incite à me décrire. Elle aimerait que les lecteurs me découvrent à travers davantage de descriptions et d’informations. Voici quelques éléments de réponse. Tout d’abord, je l’incite à demander à Kie’Teir (David) de réaliser mon portrait.
Trékaach est le nom que me donnent les Êtres de ma race. Sachez que nous vivons dans cette galaxie depuis des éons. Nous sommes des Urmaths, des Félins humanoïdes issus de la constellation de la Lyre. Après sa destruction, nous avons migré vers de multiples systèmes solaires. Notre groupe vit sur Sirius. Je porte en moi un héritage d’une lignée princière. Je n’en tire aucune gloire. Le « je » s’efface souvent au profit de la puissance du groupe, cet ensemble d’Êtres, souvent féminins, qui œuvrent de temps en temps au bien-être d’êtres humains terrestres.
Anne-Marie oublie aussi que mon rôle consiste à lui apporter mon aide dans l’élaboration de notre œuvre. Nous sommes des âmes jumelles, issues du même « Je Suis ». Ce concept a peu d’importance, cependant, elle perçoit ce fait de manière différente. Son mental a besoin de savoir et de cataloguer. Nous devons, chacune, moduler nos taux vibratoires pour nous rejoindre et communiquer. Parfois, je reste admirative face à la traversée des divers défis de sa vie dans la matrice terrestre.
Mes deux passions sont les voyages et le don par les soins. Un jour peut-être, je l’emmènerai découvrir des contrées et des Êtres dont elle ne peut même pas imaginer l’existence.
Vous reconnaîtrez mes quelques interventions, rédigées en caractères italiques… comme c’est le cas ici.
Première lettre d’Elva à sa fille Chryelle.
Ma chérie,
Mon cœur, ma toute douce Chryelle,
Je le sais ! Je le sens au plus profond de mon être, tu seras une belle petite fille et sûrement une femme forte et fière. Ta naissance est programmée pour l’équinoxe de printemps.
Le ciel nous est tombé sur la tête. C’est la fin du monde. Enfin non… c’est la fin de notre monde. Il m’est important de la décrire en quelques mots, alors que tout est encore frais dans ma mémoire. Ainsi, te permettront-ils de comprendre comment cette catastrophe cataclysmique a pu se produire et, je l’espère, ne plus jamais arriver. Car c’est tout bonnement épouvantable !
Du haut de mes deux mètres cinquante, je suis une femme plutôt petite, car la grandeur moyenne des Atlantes est de trois mètres. On me dit jolie avec mon crâne oblong et mon grand front. En tant que Gardienne des Cristaux, je me rasais les cheveux, mais ils ont déjà repoussé. Je suis également Vierge, c’est-à-dire femme à part entière. Je n’appartiens à aucun homme. Je suis libre sexuellement.
Je suis persuadée que tu as été conçue la veille de notre départ de Posséïdonis, notre île bien-aimée. Mon cœur cherchait inconsciemment un signe d’espoir et de continuité face à la peur de l’inconnu. Effectivement, tu es déjà un merveilleux cadeau du ciel. J’en fais le serment : je t’enseignerai l’Amour, le respect du Vivant et notre connexion avec Lui.
Mon frère Al Dabarān est un brillant physicien astronome. Il a vu arriver cet astéroïde de dix kilomètres de long, bien avant que ne se produise l’inimaginable. Tellement inconcevable que les Grands Prêtres lui ont ri au nez quand il leur a partagé ses prédictions. Pris par leurs jeux de pouvoir en vue de s’assurer la direction du temple d’Osiris, Seigneur de la Résurrection, ils l’ont renvoyé à ses chères étoiles.
« En fait, comment une aussi grande île pourrait-elle disparaître en un claquement de doigt ? » ont-ils ricané. Ce comportement égoïste et mercantile des représentants du Sacré n’était pas nouveau. Ces prêtres avaient effectivement mieux à faire que sauver les habitants de Posséïdonis.
Tu vois, je ressens encore de l’amertume, même si je sais que la rancœur nuit uniquement à celui ou celle qui la ressent. Il me faudra du temps pour pardonner à ces fats inconscients ! Le pardon devrait, hélas ! s’étendre à la majorité des Atlantes. Je n’ai pas la force de raconter aujourd’hui l’histoire de l’Atlantide. Sache seulement que depuis de très nombreuses années, ses habitants s’étaient coupés de leur Soi Supérieur ; leurs comportements se focalisaient sur le matérialisme et ils s’enfonçaient dans des mécanismes de peur. C’était, et c’est toujours, un bel exercice pour moi de rester centrée sur l’amour, alors que j’étais spectatrice impuissante de la décadence ambiante.
Mais, je m’égare, je reviens à ton oncle. Poussé par une intuition et une force plus vastes que lui, il a parlé à qui voulait l’écouter de ce météore et de ses conséquences plus que probables. Quelques-uns l’ont cru et plusieurs bateaux sont partis dans diverses directions. Toujours sur les conseils d’Al Dabarān, le nôtre a navigué vers le nord.
De notre vaisseau, nous avons vu l’astéroïde pénétrer dans l’atmosphère terrestre et exploser en au moins deux gros morceaux. Chacun se déplaçait à grande vitesse en traînant derrière lui une queue lumineuse. Ces énormes spermatozoïdes géants se sont écrasés sur l’île et dans l’océan Atlantique, provoquant l’apocalypse, la misère et la mort, déchaînant raz de marée et éruptions volcaniques. Ces puissantes déflagrations ont vibré jusque dans mon ventre. Le bateau a tangué à qui mieux mieux. Lovée dans mes entrailles, as-tu eu peur, ma chérie ? J’ai essayé de te rassurer, mais moi-même, je n’en menais pas large.
Depuis lors, à mon grand désarroi, je n’ai plus aucun contact télépathique avec mon amie, la prêtresse du temple d’Isis. Malgré mes demandes insistantes, elle n’a pas voulu abandonner son poste. Je suis si triste, elle me manque tant, ainsi que ‒ je dois l’avouer ‒ nos conversations à bâtons rompus. Qui sait ? Peut-être nous reverrons-nous dans une autre vie ?
Tous les rescapés étaient d’accord sur un point : il n’y avait plus aucun espoir de retour en arrière. Nous étions une vingtaine d’amis atlantes, des migrants, à nous faire balloter par les flots, car les voiles s’étaient en partie déchirées sous la force du vent. Il a plu sans arrêt pendant au moins quarante jours. Ensuite, j’ignore durant combien de temps nous sommes restés à l’arrêt. Le ciel s’était chargé de poussières, ce qui avait engendré une obscurité totale et empêché toute navigation. Cela a encore affecté davantage le moral de chacun.
Fourni à Eveilhomme par l’Auteur, Anne-Marie Allard
Lien où se procurer le livre :
https://www.le-tresor-de-femicoeur.fr/

NOUVEAU SEMINAIRE AVEC PHILIPPE GILBERT ET NICOLAÏAA EN SEPTEMBRE :
OEUVRER ET GUÉRIR AVEC LES RAYONS SACRÉS REDÉFINIS ET RENDUS VISIBLES PAR LA PUISSANCE DE LA LUMIÈRE ASCENSIONNELLE ACTUELLE !!!!
VOIR LE PROGRAMME EN CLIQUANT CI-DESSOUS

Vibratelier ” BEST SELLER ” pour un soin de la 5D et rencontre des êtres de sa famille d’âme dans le cœur sacré, en guidance par votre divine présence:

Rejoins-nous sur les nouveaux médias sociaux !!! Merci ! CLUB VK : https://vk.com/club175930391 ; PROFIL VK : https://vk.com/nturban ; CHAÎNE ODYSSEE : odysee.com/@Eveilhommme ; Groupe Telegram : https://t.me/joinchat/oYnr005XgndhYTFk ; Chaîne Crowdbunker : https://crowdbunker.com/@eveilHomme