Révélations chocs: Les Centres de contrôle des maladies aux USA avouent que 94% des décès liés au Coronavirus avaient d’autres causes ou maladies

Révélation chocs: Les Centres de contrôle des maladies aux USA avouent que 94% des décès liés au Coronavirus avaient d’autres causes ou maladies

EN BREF

• Les faits

Selon le CDC, pour 6% des décès attribués au COVID-19, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour tous les autres décès avec des maladies ou des causes en plus du COVID-19, il y avait en moyenne 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès.

• Réfléchissez sur:

Les taux de mortalité ont-ils été gonflés? Pourquoi y a-t-il tant d’informations contradictoires sur Covid-19? Est-ce dû à un manque de transparence? La politisation de la science y a-t-elle quelque chose à voir? Pourquoi la seule solution est-elle un vaccin?

Ce qui s’est passé : Selon les Centers for Disease Control (CDC) [Les Centres de contrôle des maladies aux états-unis], sur tous les décès qui ont été étiquetés comme étant un décès par COVID-19 aux États-Unis jusqu’à présent, pour 6% d’entre eux, «le COVID-19 était la seule cause mentionnée », et pour 94% des décès, il y avait d’autres causes et maladies en plus du COVID-19. Le CDC déclare que “pour les décès avec des maladies ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 maladies ou causes supplémentaires par décès.”

Ceci est illustré dans le «Tableau 3 (ou table 3 en anglais)» : http://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm

[ Ajout Eveilhomme : ou traduction approximative du site des CDC, ICI ]

Qu’est-ce que ça veut dire? Cela signifie que pour la majorité des décès qui ont été attribués au COVID-19, le nouveau virus peut ne pas avoir été la cause du décès, peut-être qu’il a peut-être contribué aux décès, ou du moins est-il soupçonné de l’avoir fait, mais cela reste incertain car aucune déclaration n’a été faite. Cela ne signifie pas que ces 94% ne sont pas morts de covid ou que le covid n’a pas contribué à leur mort. Il a été bien documenté que les personnes atteintes de co-morbidités sont beaucoup plus sensibles et ces statistiques du CDC vont plus loin sur ce point.

Il y a également eu de nombreuses affirmations sur Internet selon lesquelles des personnes décédées dans des accidents de voiture et d’autres causes ont été marquées comme un décès Covid si elles sont testées positives, mais je n’ai pas été en mesure de corroborer cette information.

Nous l’avons vu au début de la pandémie. Par exemple, une étude publiée en Italie montre que 99% des personnes décédées jusqu’à présent du COVID 19 au moment de l’étude avaient des conditions médicales préexistantes qui les rendaient plus susceptibles de mourir. Vous pouvez y accéder et en savoir plus ici .

Il est important de noter que c’est quelque chose de nouveau, par exemple, nous ne voyons pas de personnes qui meurent d’une crise cardiaque testées pour voir si elles ont la grippe. Ce qui se passe ici, c’est que si quelqu’un meurt d’une crise cardiaque mais dont le test est positif pour le COVID-19, il est également marqué comme un décès covid. La question de savoir si le covid a contribué ou non à ces décès reste encore une fois incertaine.

Il y a eu des déclarations révélatrices des autorités sanitaires du monde entier qui semblent avoir souligné que certains décès qui ne sont manifestement pas le résultat d’un covid, mais de quelque chose d’autre, ont à nouveau été marqués comme un décès covid si le patient testé positif. Cela a été un thème commun tout au long de la pandémie.

Par exemple, le Dr Ngozi Ezike, directeur du département de la santé publique de l’Illinois, a récemment déclaré que, même s’il est clair qu’une personne est décédée d’une autre cause, sa mort sera toujours considérée comme un décès COVID.

Si vous étiez en hospice et que vous aviez déjà eu quelques semaines à vivre et que vous aviez également un COVID, cela serait compté comme un décès COVID, même si vous décédiez d’une  cause alternative claire,  il est toujours répertorié comme un décès COVID. Donc, tous ceux qui sont répertoriés comme décès COVID, cela ne signifie pas que c’était la cause du décès, mais ils avaient un COVID au moment du décès. ( source )

Vous pouvez en savoir plus ici .

Un autre exemple vient de Toronto, Ontario, Canada. Le service de santé publique de Toronto a tweeté à la fin de juin que « les personnes décédées en étant positif au COVID-19, mais pas des suites du COVID-19, sont quand même incluses dans le nombre de cas de décès par COVID-19 à Toronto. ( source ) Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici.

Le ministère de la Santé publique et de l’Environnement du Colorado a annoncé un changement dans la façon dont il comptabilise les décès de coronavirus au milieu de plaintes selon lesquelles il gonflait les chiffres. Le représentant Mark Baisley a demandé au procureur du 18e district judiciaire George Brauchler d’enquêter sur la question de savoir si le ministère de la Santé publique et de l’Environnement du Colorado (CDPHE) avait enfreint la loi en classant plusieurs décès dans un centre de vie pour personnes âgées du centenaire comme des décès par coronavirus alors qu’ils n’étaient vraiment pas le résultat du coronavirus. En conséquence, un changement dans la façon dont les décès ont été catégorisés a eu lieu. Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici.

Vittorio Sgarbi, homme politique italien maire de Sutri, a prononcé un discours émouvant lors d’une audition le 24 avril où il a souligné que le nombre de décès en Italie dus au COVID-19 est complètement faux et que les gens sont menti. Il a déclaré qu’il croyait que les gouvernements faisaient cela pour exercer plus de contrôle sur la population. Ce sentiment fait écho aux pensées de nombreuses personnes notables, comme le Dr Ron Paul par exemple, et aussi le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden.

Il est également important de mentionner les recherches et les opinions de nombreux experts de la santé qui ont souligné que le taux de létalité du COVID-19 est très similaire à une grippe grave. Par exemple, Ronald B. Brown, Ph.D., de l’Université de Waterloo en Ontario, au Canada, affirme, sur la base de ses recherches, que les taux de mortalité par coronavirus qui nous ont été / reçoivent représentent «la pire “erreur” de calcul de l’histoire humaine». Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici.

Le Dr Brown a ajouté que les documents des CDC et de l’OMS montrent que le taux de létalité pour la grippe était similaire à celui du coronavirus, ce qui implique que les confinements étaient inutiles. Son article se demande pourquoi la saison grippale 2017-2018 aux États-Unis n’a pas «reçu la même couverture médiatique intensive que le COVID-19».

Les médecins pour le consentement éclairé (PIC) ont récemment publié un rapport intitulé «Les médecins pour le consentement éclairé (PIC) comparent le COVID-19 aux périodes de grippe saisonnière et pandémique précédentes». Selon eux, le taux d’infection / mortalité du COVID-19 est de 0,26%. Vous pouvez en savoir plus ici.

John PA Ioannidis, professeur de médecine et d’épidémiologie à l’Université de Stanford a déclaré que le taux de mortalité par infection est proche de 0% pour les personnes de moins de 45 ans, expliquant comment ce nombre augmente considérablement pour les personnes plus âgées, comme pour la plupart d’autres virus respiratoires. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet et y accéder ici. En fait, il n’y a pas longtemps, une étude publiée par plusieurs universitaires de la Stanford School of Medicine suggère que le COVID-19 a un taux de mortalité par infection similaire à celui de la grippe saisonnière, vous pouvez en savoir plus à ce sujet et accéder à l’étude ici.

Si tous les décès attribués au COVID-19 qui n’en résultent pas sont inclus dans ces calculs, et si les taux d’infection sont beaucoup plus élevés que les chiffres ne le disent, ce qui semble être le consensus général de la communauté scientifique, cela rendrait le taux de mortalité par infection encore plus bas que les chiffres ci-dessus.

C’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles tant de médecins et de scientifiques du monde entier insistent depuis le tout début sur le fait que les mesures de confinement et de plus en plus complètement inutiles, nuisibles et n’ont pas vraiment de sens. Par exemple, plus de 500 médecins et scientifiques allemands se sont engagés en tant que représentants d’une organisation appelée «Commission d’enquête extraparlementaire Corona» pour faire exactement cela. Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici.

Le Dr Sucharit Bhakdi, spécialiste en microbiologie et l’un des chercheurs scientifiques les plus cités de l’histoire allemande fait également partie de la commission d’enquête extra-parlementaire Corona mentionnée ci-dessus et a également exprimé la même chose, plusieurs fois au début de la pandémie. jusqu’à aujourd’hui.

La mise en œuvre des mesures draconiennes actuelles qui sont si extrêmement restrictives des droits fondamentaux ne peut être justifiée que s’il y a des raisons de craindre qu’un virus vraiment, exceptionnellement dangereux, nous menace. Existe-t-il des données scientifiquement solides pour soutenir cette affirmation concernant le COVID-19? J’affirme que la réponse est simplement non. – Bhakdi. Vous pouvez en savoir plus sur lui ici.

Pourquoi est-ce important?  Ce type d’informations est important car il ne s’agit que d’informations. Ce qui le rend encore plus important, c’est que les milliers de scientifiques et de médecins du monde entier qui partagent des opinions, des recherches et des données qui semblent contredire ce que nous avons reçu d’organisations comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont fortement censuré, et dans certains cas ridiculisé. Une grande partie des informations présentées dans cet article n’est jamais vraiment présentée par les médias grand public, et par conséquent, les masses sont généralement victimes d’une perception unilatérale alors que ces mêmes réseaux se moquent simplement et étiquettent toute information opposée qui menace leur récit comme un “théorie du complot.”

Il y a beaucoup d’informations sur le COVID-19, et il y en a beaucoup qui déroutent et semblent se contredire. Il peut être difficile de savoir ce qui se passe exactement, mais une chose est certaine, les informations provenant de sources crédibles distinctes des agences gouvernementales de réglementation de la santé et des grandes organisations de santé ne doivent pas être censurées et ridiculisées, mais plutôt débattues et partagées ouvertement et de manière transparente.

Nous vivons dans un monde où les grands intérêts semblent dominer la politique et la science, une autre grande raison pour laquelle la discussion ne devrait jamais vraiment être censurée.

A retenir :

 

Cet éveil du public à ce qui se passe dans les coulisses de notre monde est un processus puissant et primaire dans l’évolution globale de la conscience de l’humanité. En exposant et en supprimant un monde construit sur la séparation, les conflits et l’ego, nous nous éveillons à une conscience qui souhaite créer un monde d’unité, de connexion et d’un monde où toute vie peut prospérer.

 

Comprendre ce qui se passe ici, ou du moins tenter de traverser le processus de réflexion critique et de questionnement, fait partie du processus. Dans un monde idéal, il y aurait une transparence totale de toutes les questions, mais aujourd’hui, nous avons un « vérificateur de faits » numérique autoritaire qui semble patrouiller sur Internet pour dire aux gens ce qui est et ce qui n’est pas au lieu de permettre aux gens de se faire leurs propres opinions. Vous n’êtes pas bête et vous avez la capacité de penser par vous-même! N’oubliez jamais ça.

Source : https://www.collective-evolution.com/2020/08/30/cdc-admits-that-94-percent-of-covid-19-deaths-had-other-causes-conditions/

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