Vidéo Alcyon Pléiades 88 : Coronavirus, Evènement 201, Pandémie, Wuhan, Guerre biologique, Vaccin, 5G

Le coronavirus Covid-19 a provoqué une contagion de pneumonie dont la toux, la fièvre et des problèmes de respiration sont les principaux symptômes. On n’est pas loin des 3.000 morts et presque 90.000 contaminés dont la plus part se trouvent dans la ville de Wuhan qui est considérée comme le point de départ de l’épidémie. Le virus est partie de la Chine pour aller dans de nombreux pays qui comptent avec des milliers de patients placés en quarantaine. Et quelle est l’origine de ce virus si contagieux ? Y-aurait-il une relation avec le marché de crustacés de Wuhan où on peut acheter illégalement des animaux exotiques ?

Pour certains ce sont les chauves-souris qui pourraient être à l’origine de la maladie. Et pourquoi pas un virus mutant sorti d’un laboratoire d’armes biologiques ? Pour l’instant on attend toujours des explications plus claires sur ce virus très contagieux et mortel. L’OMS prévient que le monde doit se préparer à vivre une « épidémie mondiale ». Le cri d’alerte a affecté de nombreux domaines et la rapidité avec laquelle cette maladie se propage a mené certains pays à fermer leurs frontières avec la Chine. D’autres décisions ont été prises, tels que la suspension de nombreux évènements sportifs, l’annulation de meetings politiques et de festivités, non seulement en Chine mais un peu partout dans le monde, par conséquent le tourisme et l’économie accusent des pertes sérieuses.

Et que penser des décès étranges de certains médecins qui ont dénoncé la situation ? Qu’est-ce qui a mené des spécialistes à prévoir qu’il y aura environ 18 millions de contaminés dont plus d’un million de morts ? Et que dire de l’évènement 201 organisé quelques mois auparavant par la Fondation Bill et Melinda Gates qui consistait à simuler une pandémie fictive à coronavirus dont le pays d’origine serait la Chine ? Et qu’est-ce que tout ceci a à voir avec l’agenda du NWO qui prévoit l’instauration d’un contrôle mondial de la population ? Que nous prépare-t-on en coulisses et dont le secret est si bien gardé ?

Pedro Baños (écrivain et colonel de l’Armée espagnole) :

« La crise du coronavirus en Chine bénéficie, sans aucun doute, à son grand rival géoéconomique : les États-Unis. En effet, la Chine a largement profité de sa position de premier de cordée, surtout dans le domaine technologique. Dorénavant, ce pays se verra obligé de ralentir la cadence, la preuve en est l’annulation de nombreuses rencontres sportives ainsi que la suspension d’importants meeting technologiques. Tout ceci est évidemment mis en route pour nuire aux Chinois, dont le dur traumatisme est loin de s’effacer. Imaginons que la mauvaise foi n’y est pour rien. Ce qui est pourtant clair c’est que les États-Unis s’en sortent la tête haute. Dans ce contexte, ce qui est très curieux, c’est que les premières sociétés à fermer leurs portes en Chine étaient américaines, sans oublier que la première compagnie aérienne à suspendre ses vols vers ce même pays est également américaine. Comme quoi toutes ces coïncidences sembleraient nous indiquer qu’en ce moment même, la Chine en paye les conséquences économiques.

Il faut tenir en compte que le reste du monde ne sera pas à l’abri de toutes ces difficultés. Il y a 15 jours il n’y avait qu’un seul cas en Europe. Il s’agissait d’un citoyen chinois qui est décédé. À présent il y a 17 pays européens avec des patients touchés par le virus et certains pays sont davantage touchés comme c’est le cas de l’Italie. Pour l’instant rien de nouveau par rapport à l’Afrique, n’oublions pas qu’un million de chinois vivent et travaillent dans ce continent dont le système de santé est défaillant, ils n’ont très probablement même pas les moyens de diagnostiquer une simple grippe ou une pneumonie. L’Arabie Saoudite qui est un des 5 piliers de l’Islam, vient d’interdire le pèlerinage à la Mecque. De son côté le gouvernement iraquien a décidé de fermer tous les cafés pour une période de 10 jours et le Japon vient de fermer toutes les écoles publiques. C’est le chaos pour la société en général. Quelque chose est en train de nous ébranler qui nous dépasse largement. Pourquoi tout ça nous fait peur ? Une chose est la grippe dite saisonnière que l’on peut combattre à travers les vaccins ou les médicaments, une autre chose est le Covid-19.

En ce moment personne n’est en capacité d’identifier son origine ou son hôte. L’onde de choc produite par ce genre de situations est similaire à celle d’une guerre bactériologique, à savoir que l’impact psychologique est en première ligne et qu’il arrive, bien sûr, main dans la main avec la maladie, ensuite vient la saturation des infrastructures liées à la santé ce qui est déjà le cas dans certains pays, et pour finir nous avons l’impact économique. C’est précisément ce qui se passe avec l’Italie dont l’économie est touchée en plein cœur. N’oublions pas que ce pays en tant que 3ème économie européenne se préparait justement à entrer en récession technique. Cette chute soudaine nous concerne directement, d’autant plus que quelque chose de curieux est en train d’arriver, le prix du pétrole est à la baisse, car il y a moins de demande, par contre le prix de l’or est lui, à la hausse!

Pourquoi ? Parce que quand la situation internationale devient instable, l’or représente une valeur sûre pour les investisseurs. À présent on assiste à une course contre la montre dont l’objectif immédiat est de trouver le vaccin et le traitement efficace, car tout cela peut rapporter gros et le premier à y arriver aura sans doute prouvé les atouts technologiques du pays. Je n’ai aucun doute que la Chine autant que les États-Unis sont en train de faire l’impossible pour voir qui des deux sera le premier à lancer le traitement et le vaccin sur le marché, car pour le moment rien d’efficace n’a été trouvé pour combattre cette maladie. À dire vrai, on en sait très peu. Nous ne savons pas ce que c’est que le coronavirus et nous ne savons pas non plus comment il évolue. »

Makia Freeman (écrivain et éditeur de presse américain) :

« Pendant qu’on parle de l’épidémie du coronavirus et qu’on se bouscule au portillon pour en débattre, soit pour donner trop d’importance à la maladie, soit pour l’amoindrir, ce serait bien plus utile de faire une pause pour réfléchir à la question des agendas, mais de quel agenda parle-t-on ? À l’évidence celui du Nouvel Orde Mondial. Le fait est que l’épidémie n’est qu’un grand écran de fumé ou juste un prétexte. Beaucoup des intervenants ayant participé à la simulation de l’Événement 201 (organisé par le Centre John Hopkins en partenariat avec le Forum Economique Mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates, ont parlé de l’importance pendant une pandémie. L’intention est de poursuivre avec la censure que Big Tech (grandes entreprises de la branche technologique) a exercée pendant des années sous prétexte que les ‘fake news’ sont nuisibles.

Selon Big Tech, la diffusion de fausses informations, pendant une période instable, peut rendre la situation encore plus délicate, raison pour laquelle il serait bien plus prudent d’avoir la mainmise sur l’information. L’agenda du NOM qui veut faire disparaitre l’argent liquide à long terme, constitue une structure qui agit main dans la main avec le transhumanisme, c’est-à-dire; la digitalisation de toutes les structures au sein de la société, y compris l’argent, l’information et la vie. La Chine a profité de l’opportunité pour dire qu’il faut faire disparaitre l’argent liquide de la circulation. Pour les chinois le fait qu’il puisse y avoir des traces de COVID-19 peut faciliter énormément la propagation du coronavirus. Les gouvernements aiment la loi martiale et tout le scénario qui en découle. Quelques-unes des photos et vidéos qui nous arrivent de Chine et qui illustrent les agissements de la police, sont tout simplement horribles. Une crise de plus et c’est l’opportunité à ne pas rater pour le gouvernement fasse siennes, tout en agitant la bannière de la lutte contre le virus.

L’épidémie du coronavirus a donné l’occasion à certains gouvernements du monde entier de nous faire connaitre un des agendas favoris du NOM : les vaccins obligatoires. La raison qui fait que cet agenda soit particulièrement populaire est due au fait qu’il permet aux autorités d’accéder au corps humain et pas que, il leur permet aussi de pénétrer dans le flux sanguin. A vrai dire, nous n’aurons aucune idée du contenu de la seringue lorsqu’elle pénétrera dans la peau de quelqu’un. De ce fait, il devient tout à fait possible d’injecter n’importe quoi dans l’organisme à notre insu. Quelle que soit la vérité sur l’origine du virus, le moyen par lequel il a été créé, la façon dont il s’est propagé ainsi que son degré de dangerosité, il ne fait aucun doute que l’épidémie du coronavirus est en train d’être utilisée pour accélérer plusieurs agendas du NOM, une stratégie qui paye et dont la marque de fabrique est : problème-réaction-solution. »

Julianne Geiger (éditeur et écrivain américain) :

« La controverse sur la manipulation du virus par la Chine a augmenté après le décès du médecin chinois qui avait tenté de tirer la sonnette d’alarme sur le virus. Il est décédé suite à une contamination par le virus. D’après les médias, la police chinoise avait réussi à faire taire le médecin suite à un interrogatoire, l’obligeant à signer une déclaration dans laquelle il reconnaissait avoir eu un comportement illicite. La colère en ligne entourant le traitement du plaignant et sa mort a été trop bruyante pour que la Chine puisse censurer. »

Raymond Zhong (journaliste au New-Yor Times) :

« Le gouvernement chinois a rempli les villes et le villages de bataillons de voisins intrépides, de volontaires en uniforme et de représentants du Parti communiste pour mener l’une des plus grandes campagnes de contrôle social de l’histoire. L’objectif est de garder des centaines de millions de personnes à l’écart de tout le reste à l’exception de leurs proches parents. En Chine, l’épidémie du coronavirus est combattue avec une mobilisation au niveau local qui rappelle les croisades massives de l’ancien président communiste Mao Zedong, qui n’étaient plus vues en Chine depuis des décennies et qui, en essence, la prévention en première ligne de l’épidémie est confiée à un système de surveillance de quartier renforcée. »

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