Le mystère des Cartes de l’Amiral Piri Reis…
Tout d’abord! quelques vues panoramiques de la ville d’Istanbul et du Palais de Topkapi…

Extrait du documentaire : “Présence Extraterrestre”
Les cartes de l’Amiral Pire Reis
En 1929, on trouva à Istanbul dans le Palais de Topkapi des cartes géographiques séculaires qui avaient appartenu à l’Amiral Piri Reis, officier de la Marine Turque. Ces cartes, que Piri Reis disait avoir découvertes en Orient, éveillèrent l’intérêt de quelques savants dès la connaissance de leur existence. Un grand nombre d’institutions sollicitèrent alors des facsimilés, comme la Bibliothèque Nationale de Berlin qui possède encore des cartes de Pire Reis reproduisant le bassin méditerranéen et la mer Morte. Ce n’est qu’en 1956 qu’elles furent confiées pour examen au cartographe américain, M. I. Walters, des service hydrographiques de la marine américaine. Walters demanda l’aide de Mallery, ingénieur et archéologue. Mallery connu comme spécialiste des cartes anciennes fit une découverte qui était sensationnelle : ces cartes étaient parfaitement exactes et cette précision ne concernait pas seulement le basin méditerranéen et la mer Morte. Les côtes de l’Amérique du Nord et du Sud étaient également reproduite avec une telle précision, ainsi que les contours de l’Antarctique. Les cartes comportaient aussi la topographie des terres : chaines de montagnes, sommets, lacs, fleuves et hauts plateaux y étaient consignés avec une extrême précision.
Pour plus de certitude, toutes les cartes furent confiées au Père Jésuite Lineham, directeur de l’Observatoire de Weston, afin qu’il les examine à son tour. Ce savant, qui s’intéresse à l’Antarctique, les étudia sérieusement et ne put que confirmer leur parfaite exactitude, même pour des régions qui aujourd’hui encore sont mal connues.
C’est seulement en 1952 qu’on découvrit les chaînes de montagnes de l’Antarctique qui figuraient déjà sur les cartes de Piri Reis. Au terme de leurs travaux, les conclusions auxquelles sont parvenus, le professeur Charles Hapgood et le mathématicien Richard Strachan sont surprenantes. Ils mirent au point une grille de lecture et transportèrent les cartes sur un globe moderne. Leurs recherches ultérieures et les comparaisons avec des photographies du globe prises par des satellites ne firent que confirmer leur supposition : les originales des cartes de Piri Reis étaient des photographies prises à très haute altitude! Comment cela était-il possible ?
En raison de la forme sphérique de la Terre, les continents situés hors de cette aire centrale glissent vers le bas. C’est ainsi que l’Amérique du Sud s’étire en longueur sur les cartes de Piri Reis.
Nos lointains ancêtres n’ont pas pu établir ces documents cartographiques; leur mise au point aurait nécessité des moyens techniques considérables. Mais alors qui ? Ces cartes du globe terrestre ont-elles été réalisées à partir d’un avion en haute altitude ?
Les documents de l’amiral turc ne sont évidemment pas des originaux, ce sont des copies de copies. Il n’en reste pas moins que ceux qui ont réalisé ces cartes, il y a quelques milliers d’années, se déplaçaient par voie aérienne et connaissaient la photographie.
Une carte qui présente l’Amérique du Sud autrement
En 1513, il compila une extraordinaire carte du monde dessinée sur une peau de gazelle, qui était alors une alternative commune au papier et souvent utilisée pour les documents destinés à durer. La peau de gazelle a fait son travail et la carte, connue sous le nom de la « Piri Reis Map » (la carte de Piri Reis), a duré quatre siècles et a été découverte en 1929 dans la bibliothèque du célèbre palais de Topkapi à Istanbul.
Gustav Deissmann, le théologien allemand qui l’a découvert, a été choqué et stupéfait par sa description précise du monde connu à l’époque, mais il a été déconcerté par un élément particulier – l’Antarctique. La carte semblait montrer un continent sans glace lorsque toutes les références géologiques connues suggèrent que l’Antarctique a été recouvert de glaces pendant des millions d’années.
Le Nouveau Monde n’a été découvert par Christophe Colomb qu’en 1492 et la côte de l’Amérique du Sud était encore explorée à l’époque par les navigateurs espagnols et portugais.
L’amiral Piri aurait utilisé 20 cartes et graphiques différents pour compiler sa propre carte, dont l’une a été dessinée par Christophe Colomb lui-même et quatre par des marins portugais qui exploraient le Brésil, qu’ils coloniseront plus tard. Le problème c’est que la carte de Piri Reis représente très étrangement la côte sud-américaine.
L’ Antarctique, une terre autrefois dépourvue de glace et habitée ?
Plusieurs cartographes affirment que la côte de la Piri Reis Map ressemble étrangement à la Terre de la Reine Maud, découverte seulement en 1820. Mais personne ne mit pied sur la côte jusqu’à ce que l’explorateur norvégien Hjalmar Riiser-Larsen débarque en 1930 et lui donna le nom de l’épouse du roi Haakon VII de Norvège. Ironie du sort, pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque l’Allemagne a occupé la Norvège, le territoire a été rebaptisé par les nazis Nouvelle-Souabe.
C’est le professeur Charles Hapgood, du Keene State College aux États-Unis, qui a utilisé la carte comme preuve de sa théorie sur l’Antarctique sans glace. Dans son livre, Maps of the Ancient Sea Kings (Cartes des anciens rois de la mer), le professeur Hapgood affirmait que les pôles Nord et Sud de la Terre se sont déplacés il y a 11 000 ans et qu’une ancienne civilisation avait vécu en Antarctique et cartographié ses côtes.
Le fragment d’une carte représentant le monde en 1513
Ces cartes sont dessinées sur une peau de gazelle et, d’après Mallery qui, à vrai dire, doit être cru sur parole, donnent les contours très précis de l’Afrique occidentale et des Amériques du Sud et du Centre. La carte de Piri Reis n’est que le fragment d’une carte plus grande représentant le monde connu à l’époque où elle a été réalisée, en 1513, et dont le reste est aujourd’hui perdu. En notes marginales, Piri Réis lui-même avait écrit ces explications :
« Ces cartes ont été dressées selon les données de vingt chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le Sind, le Hind et la Chine, et d’une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation sur les Sept Mers que les cartes de nos pays. »
Cependant, à côté de détails étrangement exacts, les documents comportent aussi des aberrations déconcertantes, comme si l’on avait voulu en brouiller la lecture. En effet, pour lire correctement les cartes, il fallait une grille, dont Piri s’était servi mais qu’il avait détruite avant d’être mis à mort par ordre du sultan Soliman II, pour avoir levé le siège de Gibraltar moyennant une forte somme.
Selon Svat Soucek, cette carte aurait été présentée à Rüstem Pacha en 1517. Il imagine que la mutilation de la carte pourrait dater de cette présentation car pour le Grand vizir de Soliman le Magnifique, la représentation de la mer Atlantique était inutile car les Turcs ne pouvaient pas y accéder, le détroit de Gibraltar étant contrôlé par la péninsule ibérique.
Plusieurs mystères resteraient à élucider
– Où Piri Réis, qui n’avait pas quitté la Méditerranée et les côtes d’Afrique, aurait-il puisé ces renseignements et trouvé les fameuses chartes dont il parle ?
– Pourquoi transmit-il les documents sous forme de message secret ?
– De quelle époque datent les relevés géographiques et topographiques ?
– Comment et par qui furent-ils effectués ?
Une étude approfondie a donné des réponses à ces 4 points :
– Piri Réis avait compilé 8 chartes grecques très anciennes, transmises depuis l’époque d’Alexandre le Grand, par conséquent vieilles de 13 siècles au moins. Résidant en Égypte, il avait probablement eu accès aux archives secrètes des prêtres égyptiens et musulmans
– La transmission du secret lui avait été faite sous condition ; ou bien Piri Réis, encore qu’il ne fût pas initié, avait compris que la divulgation serait dangereuse. Peut-être même paya-t-il de sa vie la possession de ces cartes (l’affaire de Gibraltar n’étant qu’un prétexte). Le sultan Soliman II était un prince très érudit, particulièrement en histoire et en science, et Soliman, en turc, signifie Salomon. L’initié aurait fait supprimer le profane dangereusement instruit.
voir site : http://www.dramatic.fr/piri-reis-p207.html
Erich von Daniken, l’auteur suisse qui devint extrêmement célèbre dans les années 1970 avec son livre Chariots of the Gods et ses théories sur les lignes de Nazca au Pérou, prétendit même que des extraterrestres avaient vécu dans l’Antarctique. D’autres pensent que c’est là que se trouvait la cité perdue d’Atlantis.
La carte de l’Antarctique de Piri Reis – l’Antarctique sans glace
Carte de Piri Reis : une preuve d’une civilisation préhistorique très avancée ?
voir aussi le site STOPMENSONGES : https://stopmensonges.com/la-carte-de-piri-reis/
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