Les Lignes de NAZCA au Pérou

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Dans les Andes péruviennes se trouve la plaine de Nazca, une bande aride de 60 kms, recouverte d’étranges dessins géométriques formés de profonds sillons rectiligne qui découvrent le sous-sol jaunâtre. Certaines de ces lignes se dessinent parallèlement sur plusieurs kilomètres. D’autres se recoupent ou se rejoignent pour former de vastes trapèzes. Entre ces lignes, de nombreuses figures d’animaux ont été gravées, la plus grande ayant 250 mètres de largeur. C’est un réseau compliqué dont les routes se terminent au bord du plateau. Étrangement, ces dessins tracés au niveau du sol sont indéchiffrables. Les dessins de ces pistes sont disséminés entre le Pacifique et la Cordillère, mais les dessinsles plus intéressants se situent entre le secteur secteur de Palpa et de Nazca. 

image.pngLe professeur américain Paul Kosok fut le premier en compagnie de son assistant John Harward à étudier les tracés en 1939. Une archéologue allemande, Maria Reiche, dédia sa vie à l’étude du site de Nazca depuis 1948 et publia un livre à son étude. Les dessins les plus connus sont le Condor, l’Homme et le Lama, le Colibri, l’Araignée, la Spirale, le Singe, mais aussi la Fleur, la Couleuvre, la Sirène, des personnages à coiffure rayonnante.

D’autres dessins énigmatiques, qui représentent différents animaux, tels que perroquet, chat, volatiles à 4 pattes, sauriens, poissons, poussin, serpents à plusieurs têtes et des objets indescriptibles. En plus de ces dessins viennent se rajouter des pistes et des lignes venant s’enchevêtrer les unes aux autres formant un immense « aéroport ». L’une d’entre elles mesure plus de 30 kms. Il faut survoler, pour se rendre compte réellement de l’existence de ces étranges pistes, lignes et dessins. Néanmoins, ces tracés destinés à être admirés que du ciel ou du sommet d’une montagne ne sont pas rares sur notre planète.


Survol des lignes de Nazca

Mystère des lignes de Nazca

 

 

Le site archéologique de Nazca : des centaines de lignes géantes, certaines sous la forme d’animaux, de motifs géométriques et même un représentant un extraterrestre, s’étendent sur des kilomètres tout au long d’un désert péruvien et uniquement observables à distance par avion. Les savants sont divisés sur la question : qui les ont construites, et pourquoi ?

Certains chercheurs pensent à la possibilité de la présence d’extraterrestres dans la réalisation du site de Nazca et que ces marques massives au sol ont une connexion extraterrestre et que les anciens habitants de la région ont peut-être créé ces figures gigantesques en hommage aux dieux qui les ont visités. Surtout sur l’un des plus grands gisements de nitrates dans le monde (un ingrédient clé dans le carburant pour fusées et armes !).

Nazca aurait pu être une zone d’opération d’une l’exploitation minière d’êtres extraterrestres avancés dans un passé lointain !

La petite ville de Nazca attire de nombreux visiteurs qui viennent survoler son territoire dans le but de voir les mystérieuses lignes de Nazca.
Le meilleur moyen pour observer les lignes de Nazca et d’embarquer dans un petit avion, qui durant plus ou moins 45 minutes vous permettra d’observer les différents dessins tracés sur le sol. Le billet vous coûtera une centaine d’€.
Pour les moins fortunés il est possible depuis un petit mirador d’observation situé à environ 30km de Nazca, de voir quelques dessins dont la main à quatre doigts et l’arbre.
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Alors qu’un avion survole le haut désert du sud du Pérou, l’uniformité pâle et terne des rochers et du sable s’organise et change de forme. Des lignes blanches très distinctes ressortent du ton roux des rochers. Des bandes de blanc s’entrecroisent dans un désert si sec qu’il pleut moins d’un cm chaque année. Le paysage change au fur et à mesure que les lignes prennent forme pour former des motifs géométriques simples : trapézoïdes, lignes droites, rectangles, triangles et tourbillons. Certains des tourbillons et des zigzags commencent à former des formes plus distinctes : un colibri, une araignée, un singe. 

Ce sont les célèbres lignes de Nazca, sujet mystèrieux depuis plus de 80 ans. Comment ont-elles été formées ? À quoi auraient-elles servi ? Est-il possible que des civilisations presque primitives, il y a des centaines d’années, aient composé des lignes avec des matériaux naturels qui se poursuivent sur des kilomètres et des kilomètres, tracées sans inexactitudes géométriques et visibles uniquement du ciel ? Les extraterrestres étaient-ils impliqués dans leur création ? Certaines lignes ressemblent à des pistes d’atterrissage. Est-ce un aérodrome pour OVNI ?

Les lignes se trouvent dans une région du Pérou à plus de 300 km au sud-est de Lima, près de la ville moderne de Nazca. Il s’agit d’une plaine entre les vallées Inca et Nazca. Dans cette plaine, sur une zone de 60 km de long et 1,6 km de large, se trouvent au total un assortiment de plus de 800 lignes parfaitement droites, de 300 figures géométriques et de 70 conceptions animales et végétales, également appelées biomorphes. Certaines des lignes droites atteignent jusqu’à 15 km de long, tandis que les biomorphes vont de 15 à 360 m de large (aussi grand que l’Empire State Building). 

Beaucoup de ces lignes sont parallèles, d’autres se croisent en formant de grandes formes géométriques. Dans et autour des lignes se trouvent aussi des zones trapézoïdales, des symboles étranges, et des images d’oiseaux et de bêtes toutes gravées sur une échelle géante qui ne peut être appréciée que du ciel. Les figures sont de 2 types : les biomorphes et les géoglyphes. Les biomorphes sont quelques 70 figures zoomorphiques représentant des animaux ou des végétaux comme par exemple une araignée, un colibri, un singe et un pélican de 300 m de long. Les biomorphes sont regroupés dans une zone de la plaine. Certains archéologues croient qu’ils ont été construits entre 200 ans avant JC et environ 800 ans de notre ère.

Il y a environ 900 géoglyphes dans la plaine. Les géoglyphes sont des formes géométriques qui comprennent des lignes droites, des triangles, des spirales, des cercles et des trapèzes. Ils sont énormes en taille. La plus longue ligne droite fait 15 km à travers la plaine. On trouve aussi quelques figures anthropomorphes (figures qui ressemblent en quelque sorte à des corps humains stylisés). La plus connue est celle du cosmonaute.

Bien qu’elles aient été découvertes par l’archéologue péruvien Toribio Mejia Xesspe lors de ses randonnées dans les contreforts environnants en 1926, les formes sont si difficiles à voir au sol qu’elles ne furent pas connues avant les années 1930 quand les avions les ont repéré. En effet, autour du plateau de Nazca il n’y a ni collines ni montagnes d’où l’on puisse observer ce travail stratosphérique et fantastique.

La plaine, entrecroisée par ces lignes géantes avec beaucoup de rectangles, a une ressemblance frappante avec un aéroport moderne. L’écrivain suisse Erich von Daeniken a même suggéré qu’elles avaient été construites pour la commodité des anciens visiteurs de l’espace pour débarquer leurs navires stellaires. Aussi tentant que cela puisse être d’adhérer à cette théorie, le sol du désert à Nazca est de la terre meuble et de la pierre meuble, pas de l’asphalte, et il ne supporterait pas les roues d’un avion ou d’une soucoupe volante à l’atterrissage.

Alors, pourquoi les lignes sont-elles là ? 

Le professeur américain Paul Kosok a enquêté au Pérou dans les années 1940 et s’est retrouvé au pied d’une ligne le 22 juin 1941, juste un jour après le solstice d’hiver. À la fin d’une journée entière à étudier les lignes, Kosok leva les yeux de son travail pour observer le coucher de soleil en alignement direct avec la ligne. Kosok a appelé le tronçon de 500 km carrés de ce désert « le plus grand livre d’astronomie du monde ». Il a suggéré que les lignes étaient astronomiques et que la plaine servait d’observatoire géant. 

Gerald Hawkins, un astronome américain, a testé cette théorie en 1968 en alimentant la position d’un échantillon de lignes dans un ordinateur et en faisant calculer par un programme combien de lignes coïncidaient avec un événement astronomique important. Hawkins a montré que le nombre de lignes significatives sur le plan astronomique était à peu près le même que celui qui serait le résultat d’un pur hasard. Cela semble très improbable que Nazca soit un observatoire astronomique.

Kosok a été suivi par l’Allemande Maria Reiche, qui est plus célèbre sous le nom de « Lady of the Lines ». Maria Reiche a étudié les lignes pendant 40 ans et s’est battue avec acharnement pour ses théories voulant que ce soit un calendrier astronomique (elle a d’ailleurs reçu une bourse du National Geographic en 1974 pour son travail). L’hypothèse est renforcée par l’araignée qui représenterait les changements dans la constellation d’Orion au cours des siècles. Reiche a lutté seule pour protéger le site; elle vivait même dans une petite maison près du désert afin de protéger personnellement les lignes contre les visiteurs imprudents. 

La meilleure théorie est peut-être celle de Tony Morrison, l’explorateur anglais. En faisant des recherches sur les vieilles coutumes populaires des peuples des Andes, Morrison a découvert une tradition de sanctuaires reliés par des voies droites. Les fidèles se déplaceraient de sanctuaire en sanctuaire en priant et en méditant. Souvent, le sanctuaire était aussi simple qu’un petit tas de pierres. Morrison suggère que les lignes à Nazca étaient faites dans ce but et sur une vaste échelle. Les symboles ont peut-être aussi servi d’enceintes spéciales pour les cérémonies religieuses. Cette hypothèse fut bientôt écartée aussi, car il était impossible, sans voler, d’observer ces lignes étranges, alors quelle coutume religieuse aurait pu prévoir la création de lignes longues de plusieurs kilomètres, qu’on ne pouvait observer d’aucune position.

Nous pouvons supposer que les lignes ont été conçues en deux phases. Une première dans laquelle les symboles complexes ressemblant à des animaux ont été faits et une seconde avec la création de figures géométriques impressionnantes et gigantesques. Thèse confirmée par le fait que souvent les lignes qui forment les figures géométriques passent sur les dessins des animaux, en annulant même parfois de petites parties. 

Comment ont-elles été construites ? Les lignes sont appelées des géoglyphes. Ce sont des dessins sur le sol réalisés en enlevant des roches et de la terre pour créer une image “négative”. Les lignes ont apparemment été faites en brossant les cailloux roux, couverts d’oxyde de fer qui composent la surface du désert et en découvrant le sable de couleur blanche qui se trouve en dessous. Lorsque les 30 à 40 cm de terre et de roche sont enlevés, un sable de couleur claire très contrasté est en effet exposé. Dans la plupart des endroits, le vent, la pluie et l’érosion en aurait éliminé rapidement toute trace en quelques années. À Nazca, cependant, les lignes ont été préservées parce que c’est un endroit tellement sec et isolé qui n’est jamais battu par les vents. Parce qu’il y a si peu de pluie, de vent et d’érosion, les motifs exposés sont restés en grande partie intacts pendant 500 à 2000 ans. 

Les scientifiques pensent que la majorité des lignes ont été fabriquées par le peuple Nazca, qui a prospéré du début de notre ère jusqu’à environ l’an 700 après J.-C. Certaines parties de la pampa ressemblent à une planche à craie bien utilisée, avec des lignes qui chevauchent d’autres lignes, et des dessins coupés avec des lignes droites d’origine à la fois ancienne et plus moderne. 

Un écrivain du nom de Jim Woodman croit que les lignes et les symboles n’auraient pas pu être faits sans quelqu’un se trouvant dans les airs pour diriger les opérations. “Vous ne pouvez tout simplement pas voir quelque chose à partir du niveau du sol“, déclare Woodman. “Vous ne pouvez pas me dire que les constructeurs de Nazca aient accompli tant d’efforts monumentaux sans jamais pouvoir voir le résultat.”

Woodman a proposé que d’anciens ballons à air chaud aient été utilisés pour obtenir une vue aérienne de la construction. Pour prouver son hypothèse, Woodman a construit un ballon en utilisant des matériaux qui auraient été disponibles pour le peuple Nazca. Il a réussi à effectuer un vol mais qui n’a duré que deux minutes. Cependant, la plupart des chercheurs sont extrêmement sceptiques quant aux conclusions de Woodman, car ils ne trouvent que peu de preuves dans les restes laissés à Nazca de toute construction de ballon.

Il est plus probable que les Nazcas utilisaient des techniques d’arpentage simples dans leur travail. Des lignes droites peuvent être faites facilement pour de grandes distances avec des outils simples. Deux pieux en bois placés en ligne droite seraient utilisés pour guider le placement d’un troisième pieu le long de la ligne. Une personne verrait les deux premiers jalons et guiderait une deuxième personne dans le placement du nouveau pieu. Cela pourrait être répété autant de fois que nécessaire pour faire une ligne droite presque parfaite. La preuve que les fabricants de lignes ont utilisé cette technique existe sous la forme des restes de quelques pieux trouvés aux extrémités de certaines des lignes. Pour ce qui est des symboles, ils ont probablement été faits en dessinant la figure désirée à une taille raisonnable, puis en utilisant un système de grille pour la diviser. Le symbole pourrait alors être redessiné à pleine échelle en recréant la grille sur le sol et en travaillant sur chaque case individuellement.

Mais un nouveau mystère apparait avec le dessin de l’araignée : en effet, cette araignée est apparente à une espèce introuvable sur le territoire péruvien et dans les Andes. Cette espèce appartient aux territoires de l’Amazonie. En fait, tous les animaux des lignes de Nazca n’ont jamais été présents sur ce territoire et certains ressemblent à des organismes si petits qu’ils ne peuvent être vus qu’au microscope. La célèbre araignée appartient à une race très rare, mais encore plus surprenant est le fait que l’organe reproducteur, qui est situé sur la patte, a été parfaitement reproduit et c’est une caractéristique visible seulement au microscope. Ce sont des suggestions, bien sûr, mais elles contribuent à amplifier le mystère. Beaucoup d’astronomes comme Maria Reiche sont sûrs que ceux qui ont réalisé tout cela ont été de grands connaisseurs du ciel et de l’astronomie, soulignant également que le reste des animaux, à l’exclusion du condor, n’a rien à voir avec le plateau péruvien.

Les théories astronomiques de Kosok et Reiche sont restées plausibles jusqu’aux années 1970, quand un groupe de chercheurs américains est arrivé au Pérou pour étudier les glyphes. Cette nouvelle vague de recherches a commencé à ébranler la vision archéo-astronomique des lignes (pour ne pas mentionner les théories radicales dans les années 60 relatives aux extraterrestres et aux astronautes antiques). 

source : http://www.dramatic.fr/nazca-p473.html


Pisco
Située à 230km au sud de Lima. Elle fut fondée en 1640 et donna son nom à la boisson nationale: le Pisco. Les visiteurs se rendent habituellement dans la ville de Pisco, pour partir en bateau à la découverte de la baie de Paracas ou du Parque Nacional Paracas, situé quinze kilomètres plus au sud.

Baie de Paracas

Le Chandelier des Andes à Pisco

Au Pérou, à 300 kms au Sud de Lima, sur une petite montagne située dans la péninsule de Paracas, en bordure de la baie de Pisco; se trouve un tracé énigmatique représentant un immense candélabre appelé le Chandelier des Andes. Le sol est recouvert en surface d’une mince pellicule de gravier recouvrant une épaisse couche de sable. Ce chandelier à 3 branches se présente avec un fort axe central reposant sur un pied de forme rectangulaire. Au milieu de ce pied, on voit une excavation creusé dans le sable. Le sommet de la branche centrale se termine par une sorte de totem. Sur les extrémités des branches extérieures, situées quelques mètres plus bas, se trouvent 2 tiges terminées en volutes. Sa longueur est de 183 mètres. La largeur du fossé central est de cinq mètres bord à bord. La profondeur oscille entre 0,50 et 0,60 mètre. Son orientation est nord/ouest sud/est. Comme à Nazca son identification reste un mystère !

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Les mystérieux trous de la vallée de Pisco

Les trous, d’une profondeur d’1m80 à 2m, sont espacés d’un peu moins d’un mètre de distance l’un de l’autre et se comptent par milliers sur toute la bande.

Dans les montagnes du Pérou, nous avons ce que l’on appelle communément la « bande de trous ». C’est une bande de trous qui ont été percés ou creusés sur le flanc de la montagne. Ce sont de petits trous peu profonds, creusés dans le sol, et il a eu toutes sortes d’explications. Certaines personnes disent que ce ne sont que des chasseurs de trésor, vous savez, des pilleurs de tombes à la recherche de sépultures, qui les auraient fait. Certaines personnes pensent qu’une sorte de machine fonctionnait sur ce territoire et qu’il y aurait eu une sorte d’exploitation minière. Mais alors, pourquoi des trous si petits (1m de large).

Ils avaient besoin de matières premières, qu’il s’agisse de l’or, de l’argent, de l’uranium, peu importe ; ils avaient besoin de quelque chose. Et ils ont envoyé quelque chose comme une navette. C’était peut être un robot. Aucun extraterrestre n’était à bord. Ils n’avaient pas besoin de venir sur place en personne. Et ce robot aurait survolé la surface du sol, collecté les matières premières dont il avait besoin et disparu à nouveau.

Le mystère des trous en spirale géants du Pérou vient d’être enfin résolu par la science! 

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