Le papillon cosmique des Mayas (Hunab Ku) !
Par Nikolas Le Touareg
Le Papillon Cosmique dans la mythologie Maya représente le Dieu Créateur du grand tout, le symbole de l’unité. Il est l’équivalent d’Atoum pour l’Ancienne Égypte. Les Mayas eux-mêmes ne lui donnaient pas de nom, car il représente tout, existe à travers tout, mais plus tard il a été appelé Hunab Ku, ce qui signifie : HUN (UN) NAB (état d’être), KU (dieu). Hunab Ku était la conscience créatrice qui a rétabli notre Terre après les trois déluges qui se sont déversés du ciel (de la bouche du serpent du ciel). En effet, les Mayas, comme les Égyptiens, savaient qu’une couche d’eau à l’état de plasma entourait la Terre. À la différence des autres “dieux” Maya, Hunab Ku était invisible, et n’était jamais représenté par une figure personnifiée. Il s’agissait plutôt d’un principe créateur.

Pourquoi est-ce que les anciennes civilisations croyaient en plusieurs Dieux ? Parce que de tout temps, les êtres humains ont vénéré les astres géants qu’ils voyaient dans le ciel. Pour eux, ces astres accueillaient soit des consciences créatrices, soient des êtres qui vivaient sur des dimensions supérieures, soit il s’agissait de portail vers d’autres plans. Ils savaient que ces sphères n’étaient que l’enveloppe qui entourait d’autres mondes. Seulement de nos jours, si nous voyons surtout le Soleil et la Lune, ce n’était pas le cas il y a plusieurs milliers d’années.

Avant la mise en place de la matrice qui a courbé l’espace-temps au point de créer ce fameux anneau d’interaction nucléaire forte, la gravité était beaucoup moins élevée et la voûte céleste était plus proche. Du coup, les planètes étaient bien plus grandes dans le ciel. Jupiter était par exemple immense, rougeoyante et créait des décharges de plasma qui ressemblent à des éclairs (Zeus ou Neb-Heru). La seule qui ne se voyait pas c’était Hunab Ku, un trou noir qui se trouvait au cœur de Gaïa.
Son symbole a été attribué par les tisserands Toltèques ou Zapotèques. Un symbole qui ressemble beaucoup à celui de la Roue Cosmique qu’on retrouve aux 4 coins du monde. On remarque également la présence d’un Torus avec d’un côté la nuit et de l’autre le jour et 4 axes, le plan horizontal, jonction des deux Torus et l’axe central et non les 4 directions comme on peut le lire parfois.

Pour les Mayas le centre du cosmos se trouvait au centre de notre réalité, de notre monde. Hunab Ku représente toute la Conscience créatrice du Cosmos. Il englobe la totalité de nos ancêtres sur le plan physique, les humains, les animaux, les reptiles, les poissons, les crustacés et également les plantes. Il est la conscience qui organise toute matière à l’état brut à partir d’un disque tournoyant dans le vide stellaire. Dans leur civilisation il n’y avait pas de nom pour “Dieu”. La connaissance du concept de Créateur était suffisante.

En ce temps là, les planètes étaient bien plus grosses dans le ciel, car le l’espace temps était moins courbé et la voûte céleste plus rapprochée. Jupiter avait 4 lunes, visibles (la représentation du système de Nibiru)
Les Mayas affirmaient que le destin final de l’humanité dépendait de ce qui se passait à cet endroit. Le papillon cosmique représentait le portail vers les plans divins et symbolisait la Conscience Universelle. Il était la matrice universelle (et non artificielle, car il existe aussi des matrices positives) qui sous la forme d’un disque tourbillonnant, donnait naissance aux étoiles et aux astres visibles dans le ciel ainsi que le chef d’orchestre du ballet des planètes, des étoiles et des galaxies. C’est à dire, celui qui faisait tourner la voûte céleste autour de Gaïa et donc celui qui dicte et contrôle le temps. Les Mayas pensaient qu’il dirigeait ce ballet depuis le centre par l’intermédiaire d’émissions d’énergie consciente.
Pour les Mayas, les papillons sont vus comme les ancêtres revenant visiter le plan physique, donc des consciences, des esprits. Les Mayas voyaient le temps de manière circulaire et cyclique, et ils avaient tout juste. Chaque chose avait un début et une fin, mais il y avait toujours un début après une fin. Tout phénomène s’inscrivait dans un mouvement périodique et le calendrier Maya se basait aussi sur cette vision du temps.
Avec le cœur
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