Comprendre la Matrice Artificielle : 1 – la structure atomique
Par Nikolas Le Touareg
Voici un article un peu long, qui sera difficile à croire pour certaines personnes, mais pourtant très important pour comprendre de nombreux articles qui vont suivre, mais aussi le fonctionnement de la matrice. Je vais essayer d’aller au plus court et au plus simple, car il ne sert à rien d’entrer dans des détails qui vous lasseraient très vite. Je pense que pour certains il suffit de regarder les illustrations pour comprendre où je veux en venir.
Le plus important c’est de comprendre le principe puisque, encore une fois, tout est fractal et ce qu’on étudie dans le microcosme est valable pour le macrocosme. Malheureusement c’est également valable pour la matrice artificielle qui est fractale aussi. C’est-à-dire qu’elle modifie la structure de la matière, de l’espace-temps, de l’ADN, la polarisation des énergies, l’équilibre, influence notre mental, etc. En fait, on oublie que nous sommes dans une réalité anormale, puisqu’au départ l’espace-temps ne devait pas être courbé, ni donc cyclique, les êtres qui s’incarnent pour expérimenter la matière sont normalement immortels, décident eux-mêmes de leur régénération ou retour vers la lumière, cycles de réincarnations, etc. Des territoires en 3D, donc avec un temps cyclique, il ne doit pas y en avoir beaucoup dans l’Univers… Il y a eu un événement majeur, suite à un problème majeur, qui a entraîne cette situation anormale !
Le but ici est de comprendre le rôle de l’énergie magnétique et électrique et donc de la force électromagnétique dans le principe de gravité et de mise en orbite basse ou haute. J’aurais presque tendance à dire qu’il n’y a pas d’autre énergie à connaitre, puisque pour moi les interactions nucléaires sont issues de la force électromagnétique et électrique, donc c’est redondant. On parle des mêmes forces, mais on les nomme différemment pour brouiller les pistes. Donc, comme je le disais, le problème avec la structure atomique, c’est qu’on oublie de mentionner l’origine des énergies en action et qu’elles sont issues d’un trou noir quantique au centre de chaque atome d’où provient ce Torus qui déploie le même type de force électromagnétique que sur Gaïa.
Donc pour faire simple, nous avons différentes particules élémentaires chargées ou non électriquement avec les électrons(-), les protons (+) et les neutrons (0). Ces derniers étant neutres comme leur nom l’indique. Au cœur d’un atome, nous avons donc un trou noir quantique, tout petit, invisible, mais qui génère un Torus avec un axe central qui diffuse de l’énergie électrique (solaire) vers le haut et un courant magnétique (lunaire) vers le bas. Cela crée un champ électromagnétique avec différentes strates vibratoires et un sens de rotation autour d’un axe central invisible. Chaque couche dispose de sa propre fréquence.
La couche magnétique ne s’élève pas très haut et il n’y a que dans cette couche que la gravité est présente et donc qui attire tous les protons et les neutrons vers le trou noir. Cette couche entoure tout le noyau atomique et c’est ce qu’on appelle l’interaction nucléaire forte. L’autre couche est électrique et s’appelle l’interaction nucléaire faible. Dans cette couche la gravité est nulle et permet aux électrons de charge négative d’orbiter autour du noyau. Chaque orbite correspond une énergie différente. Seules certaines orbites sont permises: c’est la quantification. Les électrons ayant le plus d’énergie sont sur des orbites hautes (les plus lointaines du noyau). Les atomes ou molécules sont entourés par une couche de plasma, tout comme une cellule.
Et cela se passe exactement de la même façon pour Gaïa et donc dans notre atmosphère, c’est-à-dire qu’un double Torus va courber l’espace-temps qui va créer un mouvement de rotation en spirale autour de l’axe central. Ce mouvement va faire tourner tout l’espace-temps autour de nous. Un champ magnétique va s’élever au-dessus de la croûte terrestre, mais pas très haut (environ 80 km d’altitude). Dans cette couche, il existe une gravité qui attire tous les corps vers le bas, à cause de la contraction de l’espace-temps vers le Point 0 (trou noir au centre de Gaïa).

Le champs électromagnétique est en bleu sur le dessin, il est issu du Nucléus (trou noir/ au centre de l’atome (le N°0 sur le dessin). C’est lui qui crée les strates vibratoires, les couches, la rotation du champs en spiral qui fait orbiter les électrons autour du noyau. Cette rotation est liée à la courbure de l’espace-temps.
N°1 : Noyau atomique, interaction nucléaire forte : gravité. La force électromagnétique contracte l’espace-temps vers le nucléus (Point 0) ce qui crée une force qui attire les neutron et protons vers le nucléus.
N°2 : interaction nucléaire faible, orbite basse (équivalente à la Karman Line atmosphérique). Le champ électrique permet aux électrons de léviter, il ne sont pas attirés vers le Point 0, ils orbitent autour du noyau.
N°3: orbite haute : Dans un atome des électrons sont en orbite autour du noyau. A chaque orbite correspond une énergie différente. Seules certaines orbites sont permises: c’est la quantification. Les électrons ayant le plus d’énergie sont sur des orbites hautes (les plus lointaines du noyau).
Dans ce champ, plus on s’élève, plus il fait froid à cause de l’énergie magnétique, une énergie froide. Cette couche de gravité s’élève jusqu’à ce qu’on appelle la Karman Line. C’est à cet endroit même que les météores commencent à prendre feu (les étoiles filantes). Pourquoi ? Parce que les astéroïdes et météorites sont des petites roches en orbite basse qui ont été projetées dans les airs lors du cataclysme qui a engendré le déluge et la séparation des territoires de l’Atlantide. Ces étoiles filantes ne viennent pas de l’espace, puisqu’il existe une couche de plasma tout autour de la Terre, une couche d’eau soumise à une telle intensité électromagnétique qu’elle forme une couche de plasma infranchissable. C’est cette couche qui a créé le déluge lorsque le champ magnétique a été désactivé, l’eau a repris sa forme liquide et est retombée sur Terre élevant le niveau des eaux de façon brutale.

Des roches en suspensions dans l’air orbitent dans la Thermosphère, juste en dessous de l’endroit où sont mis en orbite les satellites, ce sont les météorites qui de temps en temps traversent la couche et prennent feu (étoiles filantes).
L’Exobase représente l’orbite haute, à partir de 1000 km . Le Soleil orbite à partir de 5000 km, la Lune est plus basse à cause de son intensité et fréquence vibratoire plus faible que le Soleil..
C’est ce qu’on appelle la Quantification. Comme pour les électrons, dans cette couche seules certaines orbites sont permises et correspondent à des fréquences bien précises. Les objets ayant le plus d’énergie sont sur des orbites hautes (les plus lointaines de la surface de Gaïa).
La couche n° 4 est l’eau a l’état de plasma, la couleur bleu qui colore notre ciel. Le rayonnement électrique a une certaine intensité colore le plasma en bleu.
Après, la ligne de Karman, on entre dans la première couche en orbite basse, la Thermosphère. La température commence à augmenter d’un coup, de façon spectaculaire à partir de 100 km d’altitude, car on arrive dans un champ électrique, une énergie chaude, mais dans laquelle il n’y a plus de gravité et tout est en lévitation. C’est la même chose que la couche d’interaction nucléaire faible de l’atome. Par exemple l’ISS est en orbite basse à 400 km d’altitude, Hubble à 600 km d’altitude, et même la navette Challenger se trouve à moins de 1000 km d’altitude. Pourquoi sortir de l’espace de toute façon puisque cette mise en orbite est possible dans notre atmosphère ? Dans cette couche à énergie chaude, il fait parfois plus de 1500 °C. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est la science elle-même ! Comme pour l’atome seules certaines orbites sont permises : c’est la quantification.
Ainsi, il existe une dernière couche, l’Exosphère, qui s’élève jusqu’à 10 000 km d’altitude. Elle commence à partir de la ligne de l’Exobase située à 1000 km et qui représente l’orbite haute. C’est dans cette dernière couche que se situent le Soleil et la Lune tous deux en orbite haute, mais sur deux orbites différentes. Le Soleil est sur une orbite plus haute que la Lune, car il dispose d’une bien plus grande intensité énergétique.
Enfin, au-delà de l’exosphère, on trouve cette fameuse couche de plasma de 20 km d’épaisseur environ. Derrière cette couche, on arrive dans une couche immense constituée d’hydrogène et d’hélium, c’est une couche qui porte la même vibration que Jupiter., mais je n’en dis pas plus pour le moment. Ce qu’il faut comprendre, c’est que tout est une question de fréquence vibratoire, de strates vibratoires, d’énergie magnétique et électrique (et aussi éthérique,mais sur Terre elle est rare, elle se situe surtout autour de notre atmosphère, là où rayonne la grille cristalline et au niveau du canal central.

Au centre le nucléus, le Point 0. La contraction de l’espace temps vers le Point 0 crée cette force qui nous maintient au sol, mais qui n’est présente qu’en dessous de l’orbite basse, donc la première couche atmosphérique qui s’élève à 40 km environ.
Cette couche est dominée par le courant magnétique, donc l’atmosphère est froid, plus on monte et on s’éloigne du sol, plus la T° chute.
Quand on dépasse cette première couche on arrive dans les couches dominées par le courant électrique, la T° monte rapidement jusqu’à plus de 2000°C à partir de 1000 km d’altitude.
L’atmosphère de Gaïa fait 10 000 km en tout. Au dessus de la première couche la gravité disparaît, on atteint l’orbite basse à partir d’à peine 100 km d’altitude.
La première couche de plasma sur les dernières enveloppes de atmosphère n’est pas soumise à une haute intensité électromagnétique mais suffisamment pour transformer l’eau à l’état de plasma. Sa couleur est bleue la couleur du ciel (Alcyone)./
De l’extérieur, la surface de notre Terre n’est pas visible, Gaïa ressemble au Soleil Central Alcyone
De la même manière, on peut intervenir sur la densité et la structure atomique de la matière par des fréquences déphasées qui vont permettre, par exemple, de faire léviter ou ramollir la pierre comme nous l’avons déjà vu en vidéo la dernière fois. On peut également créer de l’énergie libre à profusion comme ce que fait Gaïa en alimentant le Soleil de façon non-stop depuis des milliers d’années (puisque le soleil n’existe pas depuis si longtemps que ça, du moins ce n’était pas le même avant, mais on abordera ce sujet une prochaine fois.
Je m’arrête là pour le moment, mais ces informations permettent de comprendre énormément de choses que nous allons aborder bientôt. Encore faut-il les admettre ce qui sera compliqué pour de nombreuses personnes et je peux le comprendre. Cela montre que le Soleil et a Lune peuvent orbiter à l’intérieur de l’atmosphère, qu’il n’y a pas besoin de sortir dans l’espace pour mettre en orbite des satellites, l’ISS ou Hubble et que tout météore vient d’une ceinture de roche en orbite très haut dans l’atmosphère. Rien ne provient de l’espace.
La Nasa n’est jamais allée dans l’espace, puisque de toute façon l’espace est mental, causal, astral, éthérique, etc. Il n’y a pas d’espace-temps sur ces plans, donc aucune notion de distance ni de vitesse, il n’y a que des vaisseaux éthériques, des corps subtils ou la conscience qui peuvent voyager sur ces plans. Chaque planète dispose de son propre espace-temps et ses propres systèmes énergétiques qui éclairent leur surface. Si certains êtres utilisent des vaisseaux de lumière (matière photonique), c’est bien pour une raison, c’est que la matière ne peut pas sortir de l’atmosphère…
Chacun est libre de prendre ou laisser ces informations. Je comprends qu’il est difficile de tout réapprendre et de se dire que le mensonge va aussi loin, donc quoi qu’il en soit vous avez toute ma compassion et mon respect, mais il est grand temps d’en finir avec tous ces mensonges qui nous enferment dans la matrice.
Avec le coeur
Nikolas
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