Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 3, épisode 5/9 : TERRE INTÉRIEURE : LA GRANDE VISITE
Vidéo sous-titrée en français disponible sur Gaia.com (https://www.gaia.com/series/cosmic-disclosure)
DW : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock. Je suis ici avec Corey Goode. Ce récit est tellement fascinant que lorsqu’il l’a publié, ça a été dingue sur le net. Ça a battu des records de vues et de commentaires. Ça a provoqué des réactions phénoménales.
CG : Oui.
DW : Quand on a parlé de cette alliance, on est passés vite sur certaines choses car il y avait beaucoup à dire en une demi-heure. Des questions inévitables ont émergé quand les gens ont vu l’épisode, sans avoir lu l’article. Supposons qu’ils ne l’aient pas lu, vous avez dit que ces groupes avaient vingt millions d’années d’histoire. Ont-ils tous 20 millions d’années ?
CG : Le groupe avec le symbole de Saturne dit avoir 17 à 18 millions d’années. Et le plus jeune des groupes n’a pas donné de date mais dit remonter à quelques ères glaciaires.
DW : Le plus jeune des groupes. Lequel était-ce ?
CG : Le groupe qui ressemble le plus aux humains [de la surface].
DW : Je vois.
CG : Ça m’a semblé logique.
DW : Ces gens portaient tous des robes et des sandales ?
CG : Oui.
DW : C’est une tenue cérémonielle obligatoire ?
CG : Ils ne la portent pas d’habitude. Il fallait la porter à cet endroit, on était en terrain sacré, dans un temple. J’ignore si c’est juste une coutume de ce groupe ou si c’est ce qu’ils portent quand ils se retrouvent chez un autre peuple.
DW : Avez-vous remarqué quoi que ce soit sur les hologrammes sortant des amulettes ? Que regardaient-ils ? Des informations ?
CG : Oui, ça y ressemblait mais, d’où j’étais, je ne les voyais pas. Je ne voyais que de la lumière. Ils la regardaient en tripotant leurs pendentifs. Je ne voyais pas ce que c’était. Je suppose qu’il faut être en face. De ma position, je n’ai pu voir que de la lumière.
DW : Quelle est la chose la plus étrange que vous ayez vue dans la vie de cette femme quand vous avez eu ces flashs ? Une chose surprenante ?
CG : Le fait qu’elle soit vierge puisqu’elle était prêtresse. Elle est de la caste des prêtresses. A 130 ans passés, elle était vierge, n’avait jamais couché avec un homme ni eu aucune sorte d’activité sexuelle dans sa vie.
DW : Quand les Japonais ont été contactés par leurs dieux, ils ont décrit ce qu’ils nomment Ame-no-tori-fune, « univers en oiseau bateau » ou des bateaux volant dans l’espace.
Ces gens sont descendus, leur ont donné l’écriture, la cérémonie du thé, la fabrication de la soie, et des kimonos. Croyez-vous qu’il se peut qu’un de ces groupes de la Terre intérieure, car le swastika est associé aux dieux du Shinto, y a-t-il un lien entre le Shinto et ces gens de la Terre intérieure ?
CG : Sûrement. Ils disent que cycle après cycle, ils ont apporté ce genre de technologies aux civilisations qui peinaient à redémarrer, à chaque fois. Ils ont vraiment ralenti après l’arrivée de races extraterrestres extérieures.
DW : Vous avez échangé avec cette femme, Gonzales devait se demander ce qui se passait, non ? Ça a duré un moment, non ? Vous avez pris le temps.
CG : Oui. C’est la première chose qu’il a dite : « Qu’est-ce que vous fabriquiez ? » [David rit]
DW : Vous étiez avec Gonzales. Et ensuite ?
CG : On nous a invités à visiter les lieux. Elle était plus détendue. Vraiment ravie de l’expérience.
DW : Vous aviez fumé une clope. [David et Corey rient]
CG : Ça la rendait folle de joie de bientôt partager mon expérience avec d’autres. Elle était d’humeur généreuse et voulait nous servir de guide. On a donc remonté le couloir jusqu’à une petite salle avec un dôme et on s’est placés au centre. Elle a touché et tapoté son cadran. Flash lumineux. On était dans une autre pièce, plus grande. Dans cette zone, la pierre était plus foncée. C’était une autre zone. On a marché dans plusieurs couloirs et plusieurs salles.
DW : Tout est un peu pareil, à part la roche ?
CG : Oui. On avançait et elle a voulu nous montrer leurs jardins. On a débouché sur la paroi d’une grotte qui émergeait, une zone caverneuse vraiment gigantesque. Des piliers montaient jusqu’au plafond.
Je n’ai pas su estimer la hauteur du plafond. Cette grotte avait la taille du Texas. C’était gigantesque. Il y avait des constructions dans les piliers.
DW : Où des gens vivaient ?
CG : Vivaient ou travaillaient. Ils étaient plus gros que tous les gratte-ciels que j’aie jamais vus. Il y avait tous ces…
DW : Aviez-vous le vertige, une perte d’équilibre ?
CG : Regarder en l’air ne donnait pas vraiment le vertige mais une impression de fausse perspective. On ne s’attendait pas à déboucher sur une telle étendue.
DW : Y avait-il le même type de lumière diffuse éclairant partout ?
CG : Pas en l’air. En bas, la lumière était partout.
DW : OK.
CG : Plein de gens se déplaçaient autour de nous. On n’a vu que cette petite partie de la ville. Des gens déambulaient en vêtement une pièce, de tous âges, des jeunes, des vieux.
DW : En combinaisons ?
CG : Si on veut, des costumes une pièce.
DW : De quelle couleur ?
CG : Rouge, vert, de toutes les couleurs. Ils déambulaient et s’affairaient.
DW : Y avait-il tous les types de gens de l’alliance de la Terre intérieure ou juste un groupe ?
CG : C’est l’une des villes de son groupe.
DW : Avec l’amulette de Saturne.
CG : Oui. Mais ces gens ne portaient pas d’amulette autour de nous. Pendant qu’on marchait au long de la paroi de la caverne, on a vu une petite partie de la ville. Il y avait des bâtiments coiffés de dômes. Certains avaient des dômes ovales d’où semblait émaner de la lumière, une lumière blanche. Les bâtiments étaient construits en pierre, comme taillés dans la roche.
DW : D’accord.
CG : On regardait alentour et Gonzales m’a fait signe de lever la tête. Plein de vaisseaux volaient à l’intérieur. On aurait cru un film des années 50. Tous les OVNI d’époque en forme de soucoupe, de cigare ou d’œuf presque parfait étaient là.
DW : Ces vaisseaux filaient à l’intérieur de cette gigantesque salle ?
CG : Non seulement ça, ils traversaient les parois de la caverne à pleine vitesse. Sans ralentir, ils traversaient la roche des parois. Comme si c’était de l’eau ou de l’air. Ils volaient au travers.
DW : Donc ils peuvent se déphaser avec la roche et filer au travers.
CG : On a aperçu ça très brièvement avant qu’elle nous reconduise vers la paroi de la caverne.
DW : Combien de vaisseaux étaient en l’air, d’après vous ?
CG : Plus de 30.
DW : Wahou !
CG : Il y en avait pas mal. Elle nous a conduits dans des couloirs dédiés manifestement aux services. Ce n’était pas comme les couloirs précédents. Ils étaient plus étroits. C’était plus urbain et dédié aux services. Elle nous a conduits dans une zone où on marchait sur une corniche. En passant la porte, on arrivait sur une sorte de corniche. On a marché jusqu’au bout de cette plateforme. Il n’y avait pas de rambarde. Il y avait un précipice. Et on a découvert une immense zone caverneuse. Il y avait des parcelles cultivées et des vignes à perte de vue. Je n’ai pas bien distingué ce qui poussait mais on voyait différentes parcelles, des arbres au loin, des vignes. On entendait de l’eau s’écouler et ressortir d’un autre côté.
DW : Un système hydroponique ?
CG : C’était un système hydroponique. Elle a dit que cette lumière, à spectre complet, était produite comme elle me l’avait décrit plus tôt.
DW : Avez-vous pu estimer le nombre d’habitants ? Est-ce de l’ordre de 30 millions ?
CG : Je ne sais pas. Mais il y avait…
DW : Il y avait de quoi nourrir plein de gens.
CG : Oui.
DW : Les cultures nécessaires à nourrir l’Amérique tiendraient en Californie, et vous dites que cette salle était aussi vaste qu’un état.
CG : Oui, les jardins étaient… Colossaux.
DW : Des hectares.
CG : Des hectares. C’était énorme.
DW : Wahou !
CG : Elle a pris plusieurs types de roches et de cristaux concassés. Elle a dit que les racines poussaient dans ce support. Elle a dit que l’eau contenait des minéraux naturels et qu’ils recyclaient tout. De l’autre côté de la paroi, là où l’eau s’écoule, elle traverse des matières compostées et autres pour l’enrichir en nutriments. Elle s’écoule à travers la roche, la roche filtre l’eau, et l’eau retourne propre à sa source. Et les nutriments vont aux plantes. Les cristaux et ce type de lumière créent de gros rendements de nourriture à fort taux vibratoire. En disant « fort taux vibratoire », elle m’a regardé en souriant car elle savait que je connaissais des aliments au taux vibratoire élevé, après noter fusion mentale.
DW : Vous avez traversé plusieurs lieux, avez-vous vu d’autres choses importantes ?
CG : Ensuite, on est allés dans un parc dont l’entrée était plus grande que les quatre précédentes. On sentait toutes sortes de pollens, et plein d’autres parfums. C’était une surcharge sensorielle, avec des sons, les sens étaient saturés. On est entrés.
DW : Faisait-il plus chaud ?
CG : Oui, en entrant, on sentait le changement d’atmosphère, de pression. Il y avait un écosystème artificiel dans cette caverne géante qui était aussi grande sinon plus que le jardin. Un escalier montait quasiment jusqu’au plafond. Les arbres étaient si hauts qu’on a dû gravir l’escalier pour voir par-dessus.
DW : Vous disiez que les cavernes naturelles sous terre avaient une végétation à hauteur du genou. Comment ont-ils des arbres sous terre ?
CG : Ils les ont biosphérisés. Ils ont créé cet environnement. Ils ont aussi créé un ciel bleu clair.
DW : Vraiment ?
CG : Sans vrais nuages mais avec un genre de brume nuageuse.
DW : Ces arbres sont plus grands que les séquoias de Californie ?
CG : Je dirais que oui. Je n’en ai vu qu’enfant.
DW : Ils sont sacrément grands.
CG : On a dû gravir cet escalier qui montait très haut.
DW : Wahou !
CG : On dominait tous ces arbres. On a vu des oiseaux aux longues plumes, bleus, verts et jaunes. De très beaux oiseaux. Elle a dit : « Ne vous alarmez pas. Il y a des animaux de notre ère qui sont préservés ici. Ils ne sont pas dangereux à ce stade de développement. » Elle n’a rien ajouté d’autre.
DW : Ces oiseaux ressemblaient-ils à ceux qu’on voit sur Terre ?
CG : Ils n’étaient pas si incongrus. Il pourrait y avoir des oiseaux comme ça. J’ai peu voyagé à la surface de la Terre. Je ne connais pas tous les oiseaux.
DW : Un genre d’oiseau tropical, d’après les couleurs ?
CG : Oui, peut-être. Mais je n’en ai jamais vus.
DW : OK.
CG : Ce n’était pas des ptérodactyles ou ce genre de truc.
DW : OK.
CG : Une fois là-haut, on a pu voir par-dessus les arbres jusqu’à mi-distance seulement, à cause de la brume. Là, se dressait un gigantesque obélisque en pierre et érodé. Et encore plus haut, au sommet de la caverne, il y avait une énorme boule de plasma, censée représenter le soleil ou imiter le soleil. Ça faisait partie de ce faux écosystème qu’ils ont créé.
DW : Arrêtons-nous là car c’est une chose très bizarre. Vous avez vécu cette expérience début septembre.
Je peux prouver que j’ai envoyé le visuel, j’ai eu un brusque flash intuitif pour mon livre « The Ascension Mysteries ».
J’ai vu en couverture un obélisque surmonté d’une lumière astrale. Quand je vous l’ai montré, vous avez faillé vous évanouir.
CG : Oui, il y avait Saturne en arrière-plan.
DW : Saturne en arrière-plan. Comme l’amulette.
CG : [Corey secoue la tête comme devant une chose incroyable et mystérieuse] J’ignore comment l’expliquer.
DW : Et ce qui m’a semblé être l’esprit de cette prêtresse a tenté de me contacter ce matin, par télépathie. Tandis que je me réveillais, elle répétait : « Me reconnaissez-vous ? Me reconnaissez-vous ? » Donc cette histoire n’est pas terminée. Je me demande si elle a déjà travaillé sur nous. C’est très bizarre. Quand je lis cette partie de votre récit et que je regarde la couverture, je me dis que c’est dément.
CG : Oui. Les gens auront du mal à croire que ça n’est pas de notre fait. C’est étrange.
DW : A quoi sert cet obélisque ?
CG : Je ne sais pas.
DW : Il domine tout ?
CG : Oui, il domine, en plein milieu. Il était décrépi, érodé. Il m’a semblé. Il était loin. On est restés…
DW : C’était l’astre, le soleil, la source lumineuse de cet endroit ?
CG : Il était sous la source lumineuse. On a redescendu l’escalier et on a marché vers les arbres en discutant. On a entendu au loin, à un moment, des bruits d’éléphants. On a entendu plusieurs sons mais on ne les voyait pas.
DW : Je brûle de savoir, y avait-il autre chose que des arbres ? Y avait-il des chemins ? De petites constructions ? Ça ressemblait à Stonehenge ou autre ?
CG : Non. C’était… La nature préservée. Juste la nature.
DW : OK.
CG : J’ai marché avec mon hôtesse vers une clairière. Je voulais voir une chose. Je voulais voir un de ces animaux. On s’est arrêtés, on parlait et Gonzales parlait à une fille et il disait qu’il aimerait avoir une telle paix à la surface, que tout le monde travaille main dans la main, quel bel avenir pour l’humanité. Et la dame avec lui a été désobligeante. Elle ne voyait pas ça comme une possibilité pour la race métisse de la surface.
DW : [rire] Avec nos gènes agressifs de Dracos.
CG : Pas seulement les gènes de Dracos, les gènes mélangés d’êtres d’autres planètes du système.
DW : Les survivants.
CG : Oui, ce mélange. Elle disait que ça prendrait l’éternité, que ça ne pourrait se produire vite. Ils se sont mis à argumenter. J’ai alors dit à l’hôtesse : « Gonzales dit que votre langue est du pré-akkadien ou sumérien. Avez-vous quelque chose à voir avec les Sumériens ? » Elle a dit que oui, tout à fait. Elle a dit qu’après un cataclysme mineur, et elle m’a rappelé les nombreux cataclysmes que la Terre avait subis, ils avaient apporté l’agriculture et diverses choses aux Sumériens, l’écriture et ce genre de choses. J’ai soulevé des questions philosophiques et j’ai dit qu’à la surface, de plus en plus de gens croient aux anciens aliens et à la manipulation génétique et à notre création par les Annunaki. J’ai essayé de la questionner dans ce sens. Puis elle a dit qu’on devrait peut-être visiter la bibliothèque. Et…
DW : Juste très vite, ces cataclysmes, j’ai fait de nouvelles recherches sans savoir que vous viviez cette expérience en même temps. J’ai étudié l’étymologie du mot « cataclysme », cataclismos en grec, qui signifie destruction par l’eau. Mais il y a un autre mot, « conflagration », qui veut dire destruction par le feu. Et j’ai découvert une tradition très répandue, ce sera dans mon livre, qu’on trouve chez les Grecs, les Romains, les Stoïciens, les Akkadiens, les Babyloniens, les Sumériens. Tous disent qu’à la fin d’un grand cycle, il y a une conflagration. Il y a un flash solaire. Ils font donc une différence entre l’eau et le feu. Cs gens ont forcément un rapport avec l’émergence de ce message. Donc je me demande s’ils ont déjà creusé l’idée d’un flash solaire comme source de ces changements catastrophiques ?
CG : On a passé un long moment à la bibliothèque pour approfondir ce sujet.
DW : OK, je n’ai pas entendu cette partie. Ça vient. Bien.
CG : Plein de trucs très controversés pour la plupart des gens. Mais au moment où elle suggérait ça, cette fois, on a entendu rugir très fort un gros félin.
DW : Mon dieu.
CG : Ça ne venait pas de très loin, on le ressentait dans la poitrine, un son fort et profond.
DW : Des tigres à dents de sabre vivaient sur Terre il y a encore 50 000 ans.
CG : Oui. On n’a pas eu l’occasion de le voir.
DW : Ils les disaient inoffensifs, non ? Ces animaux n’auraient pas attaqué ?
CG : Ils ont dit qu’ils n’étaient pas dangereux à ce stade de développement. J’ignore ce que ça signifie.
DW : Je trouve que ce n’est pas rassurant.
CG : Je n’étais pas du tout rassuré. On parlait déjà de la bibliothèque, donc on est retournés vers l’entrée. Après ce rugissement, on s’est retournés [David rit] et Gonzales était toujours au même endroit à causer avec la dame. Ils ont regardé dans la direction du bruit et se sont retournés, ont vu qu’on retournait vers la porte, et sont venus vers nous.
DW : C’était comme un rugissement de lion effrayant ?
CG : Oui.
DW : D’accord. Vous avez tressailli ? Il était si près ?
CG : Oui. C’était si puissant et si profond que ça m’a remué les tripes.
DW : Avez-vous vu d’autres bêtes ? Des éléphants ?
CG : Non, rien à part les oiseaux et les plantes.
DW : OK.
CG : On est partis. Elle semblait savoir que Gonzales avait déjà convenu qu’un de leurs vaisseaux le reconduise sur une des bases.
DW : OK.
CG : Elle a dit que si c’était possible, elle voudrait m’emmener à la bibliothèque. Gonzales était visiblement déçu. Il voulait me parler avant de partir. Il m’a dit : « Ça va mal passer. On aurait dû commencer par la bibliothèque. J’aurais vraiment aimé y aller. Dans mon rapport au conseil du programme spatial secret, je dirai que toi, tu as pu aller à la bibliothèque. Mémorise tout ce que tu peux et résume-moi tout dans les 48 heures, avant d’oublier ce que tu auras appris. »
DW : Je croyais que Gonzales, d’après vos dires, sans vraiment évoquer la question, avait déjà rencontré plusieurs fois ces gens.
CG : Il n’avait jamais visité.
DW : Donc il voyait tout ça pour la première fois.
CG : Oui. Il a sauté sur l’occasion.
DW : Quelle tête faisait-il en voyant les jardins, les soucoupes volantes au-dessus de sa tête ?
CG : Il m’a paru ébloui plusieurs fois, comme pour les soucoupes, mais je l’ai peu observé, je regardais autour de moi. J’imagine qu’il en prenait plein la vue, lui aussi. J’avais oublié l’essentiel du protocole, on doit mémoriser ce genre d’endroits. On est censés, dans un nouvel environnement, on doit le cartographier dans sa tête, ce que je n’ai pas fait du tout. Mais je suppose que lui, si. Ça travaillait, là-haut dans sa tête, la tactique et la stratégie.
DW : Vous avez vu plein de trucs que bien des gens voudraient voir à tout prix : des bases sur d’autres planètes, un vaisseau sophistiqué plus rapide que la lumière, vous vous êtes téléporté. Avez-vous jamais rien vu de plus sensationnel que cet endroit ?
CG : Non. C’était une expérience géniale, positive et sidérante.
DW : Très intéressant. Pourquoi Gonzales se préoccupait-il tant de la bibliothèque ? Savait-il que quelque chose de très précieux s’y trouvait ?
CG : Des renseignements ! Bibliothèque, informations, renseignements… Et lui n’avait vu qu’un jardin et un parc. [rire] Alors qu’il voulait des renseignements. Il était sur le point de monter dans un de leurs vaisseaux pour rejoindre une base et moi, j’allais voir la bibliothèque.
DW : D’accord. La prochaine fois dans « Divulgation Cosmique », vous serez témoins de mes réactions spontanées car il ne m’a encore jamais raconté son voyage à la bibliothèque. Merci de nous regarder. A la prochaine fois.
Source de la transcription en français :http://www.gaia.com
Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.
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