Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 3, épisode 4/9 : RÉVÉLATIONS EN PROVENANCE DE LA TERRE INTÉRIEURE
Vidéo sous-titrée en français disponible sur Gaia.com (https://www.gaia.com/series/cosmic-disclosure)
DW : Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock.
Je suis avec Corey Goode. Quand on s’est arrêtés, un groupe de gens venait vers vous, et notamment Gonzales. Il portait alors la même tenue que tous les autres.
CG : Oui.
DW : OK. Reprenons. Qu’est-il arrivé ? Combien de personnes venaient vers vous ?
CG : Avec Gonzales, ils étaient cinq.
DW : OK.
CG : A mi-chemin d’où je me tenais, quatre d’entre eux se sont arrêtés.
Le dernier, Gonzales, a continué de marcher vers moi et m’a salué. Je lui ai tendu la main. Il a mis les mains en l’air et m’a dit qu’il ne voulait pas refaire son rituel de purification. En gros, il ne pouvait pas me toucher. Puis il m’a dit que je devrais subir un rituel de purification, et on est partis dans l’autre direction. Il y avait une femme et trois hommes, tous portaient des capuches. Elle avait des cheveux blancs, des yeux juste un peu plus grands que les nôtres, et bleus.
DW : OK.
CG : Avec la peau très pâle et des cheveux blancs, sous le… [capuchon]
DW : Donc elle était…
CG : Je fais un peu moins d’un mètre quatre-vingt-dix et elle faisait ma taille. Ils portaient des sandales.
DW : Etait-elle bizarre ou laide ?
CG : Non. Elle était canon.
DW : OK. Une très belle femme.
CG : Oui. Elle était séduisante. Différente mais séduisante.
DW : Qu’avait-elle de différent ?
CG : Elle avait les traits étroits. Enfin, elle était étroite.
DW : De visage ?
CG : Oui. De grands yeux. Le teint pâle. Les cheveux blancs. Elle était clairement différente.
DW : Si on voit quelqu’un comme ça, on se demande ce qu’a cette dame ?
CG : Elle attirerait l’attention, oui. Elle ne passerait pas inaperçue parmi nous.
DW : D’accord. Et à quoi ressemblaient les autres ?
CG : Dans son groupe, ils avaient les cheveux blancs, blonds. Certains avaient les cheveux marron, d’autres noirs. Ils n’étaient pas tous identiques avec des cheveux blancs. Elle était très grande, pas vraiment frêle mais très mince. Ses mains étaient vraiment fines. Elle était vraiment fine.
DW : Ce visage étroit se retrouvait chez tous ou était-ce seulement elle ?
CG : Chez la plupart. Quelques-uns étaient un peu plus petits, à peine notre taille et avaient le corps plus trapu. Ils portaient le même symbole.
DW : Quel symbole portaient-ils ?
CG : Le symbole de Saturne en or. Il y en avait trois différents.
Le peuple qui nous accueillait portait sur le symbole une pierre d’un rouge rose placée à six heures. Un groupe avait une pierre noire, à trois heures. Et l’autre groupe avait une pierre de jade. Ces trois groupes étaient génétiquement cousins, parents, travaillaient ensemble et formaient un groupe. Un genre de groupe relié par-delà tous les autres groupes.
DW : Êtes-vous passé par une des quatre portes pour sortir ?
CG : Oui. A ce stade, la femme et deux hommes étaient déjà partis, il ne restait qu’un homme. Et…
DW : Et personne ne parlait, à part Gonzales ?
CG : Non.
DW : L’ambiance était très silencieuse.
CG : Absolument.
DW : Un silence méditatif ou monastique.
CG : Oui. On était dans un temple.
DW : OK.
CG : C’était très cérémoniel.
DW : D’accord.
CG : On a passé la porte et le tunnel semblait se terminer mais continuait de descendre.
DW : Un tunnel derrière la porte ?
CG : Oui. C’était un couloir courbe, comme moulé ou taillé au laser, comme la salle.
DW : Tout en granite, poli.
CG : Il y avait de la lumière, je parlerai de sa source plus tard. Une lumière entrait et éclairait tout. Pas d’ombres. C’était éclairé. Parfaitement éclairé. J’entendais un bruit d’eau et je sentais la pierre mouillée, ce type d’odeur minérale.
DW : Comme dans une grotte.
CG : Oui.
DW : D’accord.
CG : En bas du couloir, il y avait une porte flanquée d’étoiles à huit branches. Une en or, de la taille de la main ouverte, comme ça.
Et un peu plus petite, à droite de la porte, il y avait une étoile rouge à huit branches, légèrement plus bas.
Aussitôt entré, j’ai senti une légère brise dans la pièce.
DW : En passant la porte ?
CG : Oui.
DW : A gauche ou à droite ?
CG : A gauche.
DW : OK.
CG : La pièce était éclairée comme les autres. Elle était pareille.
DW : Avec le même très haut plafond ?
CG : Non. Pas si haut.
DW : OK.
CG : Mais avec un dôme. Et tout près du sommet du dôme, il y avait un hublot d’où s’écoulait de l’eau.
DW : Une cascade.
CG : Comme un trou. Il faisait plus d’un mètre de large. De l’eau en dégringolait. L’eau était presque aussi blanche que du lait. Il y avait de grosses stalactites sous le hublot.
DW : OK.
CG : Et elles étaient blanches. L’eau tombait sur le dos d’une statue de femme. Sûrement une déesse qui tenait je ne sais quoi à la main. La main sortie comme ça. [geste vers l’avant] Elle était…
DW : Avait-elle une coiffure ? Comment étaient coiffés ses cheveux ?
CG : Les cheveux relevés, assez stylisés. Mais elle était toute incrustée de dépôts minéraux comme du calcium.
DW : Etait-ce une effigie humaine en taille réelle ?
CG : En taille réelle, oui. L’eau remplissait un bassin, elle était assez haute. Il y avait un cercle de pierre puis une coupure dans la pierre et l’eau s’écoulait dans un bassin plus grand. Le plus grand bassin était à cette hauteur au-dessus du sol. [60-70 cm environ] Il était grand et large.
DW : Donc l’estrade où elle se trouve est assez haute, alors.
CG : Oui. A ce stade, le type de la Terre intérieure qui était quelques pas derrière moi et Gonzales est parti attendre dehors. Gonzales m’a dit d’ôter mes vêtements et de les poser sur un pilier près des siens. C’est là qu’il m’en a dit beaucoup plus sur leur adoration de Vénus. Ils ne lésinent pas sur les cérémonies de purification.
DW : Quel est ce rituel de purification ?
CG : Avant d’entrer dans certains temples, il faut porter les bons vêtements et s’être purifié le corps dans certains bassins.
DW : Est-ce comme le rite du baptême, un peu ?
CG : Il s’agit de se purifier avant d’entrer dans un lieu sacré.
DW : OK. Un peu comme les gens qui disent qu’on doit ôter ses chaussures.
CG : Oui. Sauf que…
DW : Vous avez dû tout enlever ? [rire]
CG : J’ai dû tout enlever. Et j’avais déjà froid. Et il y avait une petite brise dans la pièce. J’avais déjà froid. Peu après que j’aie ôté mes vêtements, il ricanait un peu, la femme qui nous avait salués à notre arrivée est entrée avec une robe pliée, des serviettes et des sandales. Elle est entrée dans la pièce.
DW : Alors que vous étiez nu comme un ver.
CG : Oui. Gonzales a fait un pas en arrière et s’est poussé pour la laisser passer. J’ai soupiré. Je n’étais pas content. Elle est venue à ma hauteur, m’a tendu sa pile de linge, s’est inclinée, a fait demi-tour, a salué Gonzales et a quitté la pièce. Gonzales m’a guidé pour la toilette dans le bassin : un chiffon pour telle partie du corps, une serviette pour telle autre.
DW : OK. Et enfin, la robe. D’autres gens sont venus dans la pièce pendant que vous la passiez ?
CG : Oui. On est sortis. On nous a fait descendre un couloir en pente. Puis en tournant vers la droite, il descendait encore plus. Puis il s’est ouvert, le plafond était plus haut. Et on est arrivés dans une salle de près de 25 mètres de haut, comme l’autre salle.
DW : OK.
CG : C’était un gigantesque rectangle. Très grand. Et devant une large porte, on s’est tous arrêtés et on a attendu. Il était clair qu’on se rendait à cette importante réunion. On est restés un instant dans cette pièce et j’ai regardé autour de moi en m’interrogeant sur la lumière. Et la femme qui nous avait accueillis et m’avait porté ma tenue s’est tournée vers moi, et a dit en anglais, avec un drôle d’accent : « La lumière provient de la fréquence. »
J’étais un peu surpris qu’elle me parle. Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, une autre femme est entrée. Elle portait le même symbole de Saturne, elle a regardé chacun de nous.
Et bizarrement, j’ai su, comme nous tous en même temps, on a tous mis nos capuches et on a descendu des marches en demi-cercle taillées dans la roche, comme tout le reste, dans du granite. On est arrivés à l’étage inférieur où se trouvait une autre salle. Dans cette salle, il y avait tous les divers groupes qu’on devait rencontrer, c’était la salle de réunion.
DW : Etait-ce aussi une vaste salle haute de plafond avec un dôme ?
CG : C’était une salle de taille moyenne. Il n’y avait pas énormément de gens. Il devait y avoir trois personnes de chaque groupe, plus Gonzales et moi.
DW : OK.
CG : Il y avait sept groupes.
DW : Y avait-il de quoi s’asseoir ?
CG : Oui.
DW : Comment étaient vos sièges ?
CG : Ce n’était pas vraiment des bancs car il n’y avait pas de dossier. Mais des bancs en pierre.
DW : OK. Logique.
CG : On y tenait à plusieurs. La pièce n’était pas en demi-cercle mais de forme ovoïde, comme un ovale qui s’écrasait un peu à l’entrée. A la porte d’entrée, il y avait un mur plat qui devenait ensuite ovale. La pièce était presque ovale et le plafond était en forme de dôme. Il y avait des gens debout, d’autres, assis sur les bancs. Et à l’avant, un groupe de personnes assises autour d’une table en pierre. On nous a conduit devant et j’ai pu voir que la table en pierre était gravée. Je n’ai pas compris ces signes, mais il y avait l’étoile dorée et l’étoile rouge à huit branches sur la table.
Gonzales et moi nous sommes assis et j’ai commencé à voir tous les groupes assis à la table et dans la pièce, avec leurs différents symboles. Il y avait une étoile d’argent. Il y avait un swastika stylisé. Il y avait un fer à cheval ou un oméga avec une étoile dorée à huit branches dedans. Il y avait trois sortes de symboles de Saturne, que j’ai décrits en détail. Oui, avec les bijoux. Il y en avait un qui ressemblait à un sablier, ou c’était peut-être un symbole d’Orion. Je ne suis pas sûr.
DW : C’est comme des triangles.
CG : Oui. Comme deux triangles qui se rejoignent.
DW : Chacune de ces amulettes représente un des sept…
CG : Groupes.
DW : … principaux groupes souterrains ?
CG : Ce sont les symboles des groupes qui étaient présents. Quand on est entrés, chacun des groupes avait leurs amulettes et ils tapotaient comme ça dessus et de petits hologrammes en sortaient. Il s’agit donc d’une technologie, pas juste d’un bijou ou d’un symbole.
DW : Ça me rappelle ce qu’un initié m’a dit un jour, « Plus on a de technologie, moins on a besoin de technologie. » L’amulette doit pouvoir tout faire.
CG : Oui.
CG : Les groupes étaient d’apparences différentes. J’ai déjà décrit ceux avec Saturne.
DW : Et ceux au swastika ? Ces gens sont des nazis ? Etaient-ils…
CG : Ils n’avaient rien à voir avec les nazis. Les groupes ne se ressemblaient pas. Un groupe paraissait Africain, avec la peau bronzée et une belle carrure. Pas immenses mais d’un bon mètre quatre-vingts.
Il y avait un groupe asiatique, mais leur morphologie ne correspondait pas à ce qu’un voit à la surface. Des personnes d’apparence indienne avaient la peau d’un bleu très pâle, comme une veine sous la peau, bleu pâle.
Il y avait un groupe de type méditerranéen, plus petits.
Et enfin le groupe avec le symbole oméga aurait pu déambuler parmi nous, à la surface.
DW : Vous venez en gros de décrire certaines déclinaisons des races présentes sur Terre.
CG : Oui.
DW : OK.
CG : Ils se réunissaient tous pour discuter des événements en cours qui les avait poussés à former ce conseil. Il y avait eu plein de conflits et d’agressions et des trucs s’étaient passés sous terre qui les troublaient et avaient fait des victimes parmi leur peuple. Ils sont très puristes, questions culture et génétique. Le groupe Oméga a dit qu’ils adoraient Vénus et a mentionné deux fois le Prince de Vénus, l’étoile du berger.
DW : L’étoile à huit branches est apparemment un symbole de Vénus.
CG : OK. Elle a peut-être d’autres significations. Car il y en avait une rouge et une dorée. Personne ne m’a déchiffré ces symboles. J’ignore leur signification. Donc…
DW : Gonzales est intervenu, à un moment. Vous avez dit que c’était important.
CG : Oui. Ils ont eu une conversation. On les a priés de parler anglais, ce qu’ils ont peu fait. Ils parlaient une langue, Gonzales m’a chuchoté que c’était du pré-akkadien, une langue pré-sumérienne ancienne. Puis une autre langue qu’ils parlaient tous entre eux contenait un peu d’anglais, quand ils s’en rendaient compte. Ce n’était pas évident mais on a pu piger l’essentiel des échanges. Ils disaient que la population de la surface devenait une menace, vu ses armes sophistiquées. Ils ont parlé d’accrochages avec d’autres groupes souterrains non-humains. Ils ont aussi évoqué le retour de ceux qu’ils appellent les Gardiens.
On y reviendra plus tard. Et quelques autres trucs, on comprenait des bribes. A la fin, le type du groupe avec l’Oméga et l’étoile a désigné Gonzales et lui a demandé de délivrer son message.
On a senti que tous les autres groupes présents ne les appréciaient pas, n’étaient pas à l’aise avec eux. C’était le seul groupe non-mixte. Tous les autres groupes comptaient une ou deux femmes.
DW : Vous avez signalé que son adresse à Gonzales rompait avec le protocole.
CG : Oui. Donc Gonzales s’est levé.
DW : Quel est le protocole normal ?
CG : C’est l’hôte des lieux où on se trouvait qui aurait dû l’y inviter.
DW : C’est l’hôte qui doit parler à Gonzales, pas lui directement ?
CG : Oui. C’était juste…
DW : De la frime ?
CG : Oui. Donc Gonzales a regardé la personne concernée qui a approuvé. Il s’est levé et a fait un de ses discours typiques, brefs mais directs. Il avait apprécié que certains d’entre eux aient visité une de nos bases dans la Ceinture de Kuiper malgré les risques que ça comportait, quelques semaines auparavant.
DW : Une base de l’Alliance du programme spatial ?
CG : Oui. Gonzales a dit que nous devions collaborer davantage et mettre un terme aux supercheries, être ouverts et honnêtes. A l’avenir, on attendait d’eux qu’ils cessent de duper les gens de la surface en se faisant passer pour des extraterrestres ou autre.
DW : Ou des dieux.
CG : Ou pour des dieux, ce qu’ils ont fait avant qu’on soit sophistiqués. C’était très bref. Gonzales s’est rassis et immédiatement, l’énergie a fusé dans la pièce. Ils étaient gênés par ce qu’il avait dit. Ils se sont mis à parler entre eux, tout en nous désignant, dans leur conversation.
DW : Quelle a été la contre-attaque ? Qu’ont-ils répondu ?
CG : Ils se sont levés et nous ont dit qu’ils étaient sur Terre depuis presque 20 millions d’années, qu’ils étaient les premiers humains à s’être développés sur la planète, et que depuis tout ce temps, des cataclysmes avaient modifié l’inclinaison de la Terre, sa place dans le système solaire, son orbite. La Terre a morflé. Mais ils ont perduré. Ils se sont formés, au début, ça a pris de nombreux cycles, ils ont installé sous terre leurs élites et leur caste de prêtresses, et ont laissé la part moins sophistiquée de leur civilisation se débrouiller à la surface. Ils sont revenus après quelque temps, et sont passés pour des dieux ou des aïeux et ont aidé les civilisations à redémarrer l’agriculture, la médecine, la langue, l’art et tous ces trucs utiles pour redémarrer. Ça arrivait de façon cyclique, sur de longues périodes.
DW : A la suite de conflagrations et de cataclysmes ?
CG : Ça a eu lieu bien des cycles avant notre ère, notre histoire.
DW : D’accord.
CG : Ils ont laissé les gens croire qu’ils étaient des dieux pour assurer leur sécurité. Ainsi, les gens n’étaient pas une menace. Ça a duré des lustres. Ils ont dit que d’autres planètes de notre système solaire étaient habitées par un type de vivant similaire.
DW : Humain ?
CG : Du vivant de forme humaine. Eux aussi subissaient des cataclysmes mais ils étaient plus agressifs et belliqueux. Ils détruisaient leur monde et leur société et ont fini par causer de gros problèmes. Alors, d’autres races venues dans notre système solaire, les ont déplacés sur Terre, en tant que réfugiés. Une fois installés sur Terre, ces réfugiés ont continué d’être agressifs et ont conquis la surface de la planète et ont mêlé leurs gènes à ceux des humains de la surface. Des humains originels. Ils ont créé une espèce humaine métisse qu’ils pensent être nous, à la surface.
DW : Je vois pourquoi vous pensez que ce sera controversé ! [rire]
CG : Oui. Ils nous ont fait la morale, ils ont dit savoir que le programme spatial secret avait été impliqué dans certaines atrocités et qu’ils se gardaient bien de nous juger et qu’ils espéraient qu’on en fasse autant car on comprenait bien mal notre existence et encore moins la leur.
DW : C’est un peu comme l’idéologie aryenne. Ils sont d’une pure lignée et on a du sang mêlé, souillé, porteur de gènes d’agressivité qui pourraient les salir.
CG : Oui.
DW : Ça n’a pas dû bien se passer avec Gonzales, je suis sûr.
CG : Avec moi non plus.
DW : Oui.
CG : Quand tout a été dit, j’étais assis à côté de Gonzales. Juste avant la fin, il s’est penché et a dit : « C’était bien, non ? » J’étais encore à ressasser tout ça donc je n’ai même pas vraiment entendu que la réunion se terminait. Tout le monde s’est levé, a mis sa capuche, alors j’en ai fait autant. On s’est tous mis en file indienne et on est repartis par où on était venus, sans un mot. On a traîné les pieds jusqu’en haut, par le couloir qui mène à la salle de purification. Je me suis demandé si on allait refaire une toilette collective [David rit] mais on ne s’est pas arrêtés. Tout le monde a passé la salle de purification, et j’ai vu des flashs sortir de la grande salle où j’étais apparu au départ.
DW : Comme s’ils se téléportaient.
CG : Oui. Je marchais et j’ai senti qu’on me tapotait le bras gauche. Après un ou deux pas, je me suis retourné, et Gonzales se tenait comme ça [mains jointes vers le bas] avec deux femmes du groupe qui nous accueillait.
Je me suis approché de lui et j’ai découvert qu’ils avaient une requête spéciale pour moi. La femme qui nous avait accueillis, celle dont j’ai déjà parlé, avec des cheveux blancs, avait appris mon expérience dans le programme du MILAB quand j’étais petit.
Ça avait un rapport avec cette faveur. J’ai demandé qu’elle m’explique. Elle m’a dit de l’accompagner et elle s’est mise à marcher. Gonzales et l’autre dame marchaient quelques pas derrière nous. J’attendais qu’elle me parle. Elle ne disait rien. On a traversé cette gigantesque salle de téléportation, jusque dans le tunnel, le couloir suivant. Il y avait des entrées tout du long avec une barrière lumineuse en travers, des entrées barrées par une lumière blanche.
DW : Et… on voyait à travers ?
CG : Non. On a continué, puis elle a touché son amulette, la lumière s’est éteinte et j’ai pu voir à l’intérieur. Ça ressemblait à un salon ordinaire, je ne crois pas que c’était une chambre, c’était juste un salon. Elle est entrée et m’a dit de la suivre. J’ai regardé Gonzales qui ne savait rien. Il faisait un peu cette tête [décontenancé]. Elle a fermé la barrière. J’étais très anxieux. Je suis déjà introverti, alors dans une pièce avec une inconnue, je ne savais pas à quoi m’attendre. Puis elle m’a communiqué mentalement de me détendre.
DW : Les autres avaient parlé par la bouche, en général ?
DW : Oui. Ils communiquent mentalement en face à face, mais si plus de deux personnes participent à la conversation, ils parlent. Pour résumer, elle m’a dit qu’elle connaissait un endroit où on m’a conduit, adolescent, une grotte de cristal.
DW : Oui.
CG : On nous avait conduits dans une grotte. De beaux cristaux auxquels on devait essayer de se connecter mentalement, sans les toucher pour ne pas les abîmer et pour qu’ils ne nous blessent pas. Ces cristaux étaient vivants.
DW : Vous disiez qu’ils luisaient ?
CG : Quand on essayait, pas avant qu’on essaie de communiquer avec eux. J’y suis d’ailleurs arrivé. Il y avait d’autres enfants dans la grotte qui étaient entourés d’une aura rose, violette. Ils avaient différentes auras. Je lui en ai envoyé une brève image mentale. Elle a rayonné de joie et a fondu en larmes.
DW : Pourquoi auriez-vous eu accès à cet endroit où elle et son peuple ne pouvaient pas aller ?
CG : Elle m’a expliqué qu’un groupe avait conquis cette zone des siècles auparavant. Le mot, dans sa langue, je ne sais plus lequel, signifie serpent à plumes. Elle m’a envoyé des images mentales et c’était ce groupe de raptors.
DW : D’accord.
CG : Donc j’ai mieux vu comment ils se déplacent, contrairement à ce que j’avais vu sur tablette.
DW : Ces espèces d’oiseaux reptiliens effrayants qui mangent des humains.
CG : Oui.
DW : Sales bêtes !
CG : Ils contrôlaient cette zone. Pour résumer, ils réclament un sacrifice de chair à leurs alliés de la surface pour accéder à certaines zones là-dessous.
DW : Ce que la Cabale n’a sûrement aucun mal à fournir…
CG : Oui. Donc, elle m’a demandé si je voulais bien lui faire partager toute l’expérience. J’ignorais ce que ça voulait dire. Je lui ai demandé. Elle m’a expliqué le processus. On se tient les mains et elle ouvre mon esprit. Je lui ai dit que ça ne me plaisait pas pour plusieurs raisons, des raisons de sécurité, d’intimité personnelle. Elle a insisté. C’était important. Elle a dit qu’on n’avait pas vraiment grand-chose à leur offrir, que c’était vraiment important pour son peuple. Je ne savais plus comment m’en tirer.
DW : Que croyaient-ils trouver dans le cristal ? Qu’avait ce cristal de si important ?
CG : Je l’ignorais, à ce stade. J’ai demandé à parler à Gonzales. J’abrège. Tout est dans le rapport.
Elle est allée rapidement vers la porte, l’a éteinte, est sortie. Il est entré. Il se demandait ce qui se passait. Je lui ai expliqué. Il comprenait mes inquiétudes, mais à moins que des informations m’aient été confiées par Raw-Tear-Eir et qu’on ne veuille pas les lui divulguer, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter car le conseil du SSP, le conseil de l’alliance, comme il n’avait fondamentalement pas confiance en moi, ne m’avait confié, en gros, aucune information concrète ni aucune donnée sensible. Il a ajouté que je ne bossais pas pour lui et qu’il ne pouvait pas me forcer. Mais ça pouvait être un échange réciproque d’informations.
DW : Comme vous étiez déjà en froid avec eux, vous aviez crié, vous aviez été agressif, vous craigniez, en acceptant son offre, de divulguer des renseignements et de vous attirer plus d’ennuis ou d’être viré de l’alliance.
CG : Ou ils ne m’auraient plus du tout renseigné dans le futur. Me priver de renseignements, ils l’avaient déjà un peu fait. J’étais inquiet pour mon intimité personnelle aussi, j’ignorais ce qui pouvait se passer.
DW : Exactement.
CG : Donc…
DW : Donc il vous a donné le feu vert ?
CG : Oui. Oui. J’ai dit : « D’accord. Dis-lui de revenir. » Elle est revenue et s’est approchée et m’a regardé droit dans les yeux. Comme ça. [regard fixe et insistant]
DW : Elle n’y tenait plus.
CG : Oui. Je lui ai dit que j’acceptais, alors elle s’est affairée. Elle est allée vers le mur. Il n’y avait rien d’autre qu’un mur. Quand elle s’est retournée, elle tenait un verre en cristal, sorti de nulle part. Le verre contenait un liquide ambré.
DW : Oh oh ! [David rit]
CG : Oui. Elle s’est approchée et me l’a tendu. Je l’ai regardé. J’ai demandé ce que c’était et elle a dit : “L’élixir d’Isis”. Elle m’a expliqué que c’était du vin fait avec une fleur rare qui pousse sous terre. Je lui ai dit…
DW : Ça aurait pu vous vriller le cerveau, ce truc. [rire]
CG : Peut-être. J’ai dit : « Je n’ai pas très envie d’en boire. Est-ce une étape nécessaire ? » Elle a dit non, seulement coutumière. Alors je n’en ai pas bu. Elle en a bu plusieurs gorgées. Et elle a immédiatement changé. J’ignore si c’est l’ivresse qui l’a aussitôt changée et détendue. Elle a posé son verre. Elle m’a fait asseoir dans un fauteuil qui ressemblait à un œuf coupé. Elle m’a fait asseoir dans ce fauteuil flottant au-dessus du sol.
DW : Il flottait ?
CG : Oui. Il n’était pas posé. Avec deux doigts, elle a déplacé un autre fauteuil juste en face de moi. Elle s’est assise face à moi.
DW : Plus près que nous deux ?
CG : Oui. Elle s’est mise tout près et m’a demandé mes mains.
Je les ai tendues. Elle a dressé mes mains et a posé les siennes comme ça. [geste où les mains de Corey et de la prêtresse s’entrecroisent complètement]
DW : Un peu comme ça ?
CG : Oui. Comme ça.
DW : Posées sur ses genoux ?
CG : Posées sur nos genoux, comme ça.
DW : OK.
CG : On était penchés comme ça. Elle avait des mains osseuses et la peau très chaude. Sa température corporelle était différente. Elle m’a regardé dans les yeux et a dit que je devais me détendre et ouvrir mon esprit.
J’ai utilisé une de mes techniques pour baisser la garde un peu, me détendre. Et ce qui est arrivé après est indescriptible.
J’ai senti mon corps astral ou corps de lumière attiré vers le sien, et ils se sont mêlés. Elle était clairement beaucoup plus évoluée que moi, mentalement. Elle s’est dirigée vers des périodes de ma vie. Et je recevais des flashs aléatoires de ce qui m’a paru 130 ans de sa vie. J’ai eu des flashs de son enfance, comme apprentie prêtresse, en réunion avec diverses personnes de la surface, avec des sociétés secrètes, des militaires et des groupes de plusieurs systèmes politiques d’Europe, et des Etats-Unis.
DW : Elle prétendait être extraterrestre ?
CG : Oui. Elle prétendait être extraterrestre, elle et d’autres gens de son groupe.
DW : Wahou !
CG : J’ai pu voir à quelles époques, d’après les tenues des gens. A plein d’époques différentes, elle les a rencontrés.
DW : C’est comme revoir sa vie défiler devant ses yeux, mais sa vie à elle.
CG : Oui. C’était très aléatoire. Je ne pouvais rien contrôler. Mais quand elle s’est arrêtée sur mon souvenir de la grotte, j’ai vu des souvenirs d’elle au même âge. Le souvenir d’avoir perdu quelqu’un lors d’une agression par un genre d’insectoïde. Puis j’ai été replongé dans l’expérience de la grotte de cristal. C’était très net. On l’a revécue. Une fois que c’était fini, on s’est redressés et je tremblais, je frissonnais et mon cerveau relâchait des endorphines si agréables.
Rien de sexuel ou de bizarre mais j’étais submergé. Et depuis, je ne suis plus le même. Je suis souvent dans mes pensées, je réfléchis à plein de trucs. Ça m’a rendu beaucoup plus intuitif sur les choses. C’est très bizarre. On a repris nos esprits et…
DW : Elle a eu la même réaction ?
CG : Oui. Pareil. On avait les larmes qui coulaient.
DW : Tous les deux.
CG : Oui. C’était très émouvant. Je n’ai jamais eu de connexion semblable avec personne.
DW : Tous les gens de son peuple peuvent le faire ? Ou était-ce dans sa formation de prêtresse ?
CG : Je crois que tout son peuple peut le faire car quand on a fini, elle a dit que certains n’approuveraient pas qu’elle ait fait ça avec un métisse de la surface mais que beaucoup d’autres seront enchantés par les informations qu’elle avait pu tirer des cristaux avec lesquels je communiquais. J’ignore de quelles informations elle parlait.
DW : On vous avait effacé ce souvenir après que vous ayez extrait des données du cristal.
CG : Oui. Mais…
DW : Mais elle l’a retrouvé.
CG : Oui. Vous savez, les souvenirs sont sur le disque dur physique mais aussi sur celui du corps de lumière.
DW : C’est comme la fusion mentale vulcaine.
CG : J’ai employé ce terme. Je lui ai dit : « J’accepte votre fusion mentale vulcaine », pour rire. Mais ça ne l’a pas fait rire.
Ensuite, on a repris nos esprits et on est ressortis dans le couloir où Gonzales et son hôtesse attendaient. Elle était très contente. Alors, elle nous a proposé, si on avait le temps, de nous faire visiter les lieux. Et Gonzales voulait toujours visiter les lieux où il se rendait, donc il a sauté sur l’occasion et a accepté. Et je suis sûr qu’on pourra parler en détail de cette intéressante visite.
DW : D’accord. On en apprendra encore beaucoup dans le prochain épisode en poursuivant ce récit fascinant, ici, dans « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock, merci de nous regarder.
Source de la transcription en français : http://www.gaia.com
Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.
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