Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 2, épisode 17/17 : QUESTIONS DES TÉLÉSPECTATEURS – 2ème PARTIE

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Vidéo sous-titrée en français disponible sur Gaia.com (https://www.gaia.com/series/cosmic-disclosure


DW : Très bien. Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock. J’accueille Corey Goode. Nous répondons à vos questions pour amener plus d’interactivité à l’émission.

Nous lisons les commentaires que vous laissez à chaque épisode. Nous commençons à trouver que vos questions valent la peine d’être incluses. J’espère que vous apprécierez ces épisodes. C’est un peu différent. Au lieu de se concentrer sur une question, nous couvrons tous les sujets que vous nous soumettez. C’est Corey qui répondra aux chanceux dont les questions sont sélectionnées. Cette fois-ci, nous abordons des sujets très intéressants. Corey, bienvenue.

CG : Merci.

DW : Evidemment vous êtes une figure très controversée. C’était une question. Je paraphrase ce que dit albacore. Vous avez commencé très jeune. Plaçons d’abord le tableau. Vous avez brièvement mentionné avoir suivi un programme Explorer dans votre scolarité. Pourriez-vous nous le décrire ?

CG : Dans les années 70 et 80, ils créaient des programmes pour enfants doués ou avec des besoins spéciaux. Il y avait plusieurs types de programmes qui étaient en dehors des normes pour certains enfants. Si les tests révélaient que vous étiez un enfant qui pourrait bénéficier de ces programmes, il y avait d’autres tests, on demandait l’autorisation parentale et vous entriez dans ces différents programmes.

DW : Y avait-il un élément du programme Explorer qui avait lieu à l’école ? Y avait-il des classes spéciales ?

CG : Oui. J’étais à l’école la plupart du temps. Je ne quittais pas l’école tous les jours, ça venait par vagues, deux ou trois jours par semaine. Ensuite, j’étais à l’école.

DW : D’accord. Avez-vous suivi d’autres cours que les autres enfants ?

CG : Je suivais des cours complètement différents.

DW : Toute la journée ?

CG : Oui. Après l’école élémentaire. A l’école élémentaire, je suivais les mêmes cours, mais on me faisait sortir. Je suivais les mêmes cours. On me faisait suivre quelques cours différents. Certains jours, avec d’autres enfants, il y avait des sorties de terrain.

DW : Que se passait-il pendant ces cours, qui les rendait si différents des programmes scolaires normaux ?

CG : Certains, pour les enfants doués, se concentraient sur un programme scolaire avec une année d’avance. Ça dépendait du programme. J’ai été envoyé dans différents programmes. A un moment, avec mon ami John, on s’est posé des questions. « Que se passe-t-il ? » Pendant un semestre, j’tais avec des enfants qui portaient encore des couches.

DW : Problèmes de développement ?

CG : Oui. Et j’étais là. On ne me donnait aucun travail. C’était très bizarre.

DW : Que s’est-il passé pour causer ça ?

CG : On m’y avait envoyé.

DW : Souffriez-vous de choc post-traumatique suite à ce qui s’était passé en vous retirant de l’école ?

CG : Non. On a testé ma compréhension. J’avais quatre ans d’avance. J’étais en avance. J’avais eu des problèmes comportementaux. Je me battais, ce genre de choses.

DW : Votre surnom était Kicking Ass Corey. [rire]

CG : [rire] C’est ça. C’était mon surnom. Mais ce semestre n’avait ni rime ni raison. Lors de ce semestre, on m’a pas mal fait sortir du campus. Mais j’avais un ami, John. On avait suivi plus ou moins les mêmes cours l’année précédente. Il me demandait : « Que fais-tu dans ce cours ? Je ne te vois jamais. » C’était bizarre.

DW : Vos parents savaient-ils qu’on vous sortait du campus ?

CG : S’ils savaient qu’il se passait quelque chose, je ne pense pas qu’ils se l’étaient avoué. J’ai posé des questions très pointues. Ils ne devaient pas savoir exactement ce qui se passait.

DW : D’accord. Approfondissons un peu. Est-ce qu’il y avait un film avec vos souvenirs écrans ? Si on vous retire de l’école et qu’ils doivent insérer des souvenirs dans votre esprit, peuvent-ils utiliser le même enregistrement ? Ou est-ce très laborieux de générer des souvenirs écrans ? Vous montrent-ils des films ? Vous disent-ils quelque chose à l’oreille ? « Voici ce que tu as fait à l’école aujourd’hui. Voilà ce dont tu te souviendras. » Comment ça marche ?

CG : Si on est censé aller au Muséum d’histoire naturelle ce jour-là, on implante un souvenir écran sur le Muséum d’histoire naturelle. Pour la plupart des enfants, le souvenir reste intact. Les enfants les plus empathiques intuitifs résistaient mieux aux souvenirs écrans, et à la remise à jour [« blank slating of memories », l’ardoise vierge, c’est-à-dire l’effacement des vrais souvenirs]. Ils nécessitaient une gestion plus étroite. Il y avait des enfants qui ne terminaient pas le programme, à qui ça ne convenait pas, pour ainsi dire. On leur faisait subir une remise à jour, et on ne les sélectionnait plus. Beaucoup ont souffert d’un syndrome d’abandon qu’ils n’ont pas compris. Ils se sentaient rejetés. Mais consciemment, il n’y avait aucune raison pour ça. Les groupes veillaient sur eux pour s’assurer que les souvenirs ne revenaient pas.

DW : Comment ont-ils inséré des souvenirs dans votre esprit ? Avec un film ? En vous parlant à l’oreille, sous l’influence de drogues ? Qu’en est-il ?

CG : Il y avait plusieurs façons. On vous injectait d’abord de la scopolamine synthétique.

DW : Vraiment ?

CG : Oui. Avec d’autres substances. Dans certaines situations, ils vous parlent sur un ton hypnotisant.

DW : Après l’injection ?

CG : Après l’injection. Ils vous débriefent en même temps qu’ils font la remise à jour et implantent les souvenirs écrans.

DW : Qu’est-ce que ça signifie, vous débriefer ? En quoi ça consiste ?

CG : C’est un débriefing de ce que vous avez fait dans la journée. Ils vous débriefent. Ils prennent des notes ou filment.

DW : En discutant de ce que vous avez fait, et on partage…

CG : Ce qu’on a fait, l’entraînement. Les expériences.

DW : C’est ça.

CG : Ensuite, ils vous disent : « Tu vas tout oublier, tu vas tout oublier. » Et ils insèrent des mots clés ou déclencheurs qui verrouillent ou déverrouillent des informations. Ensuite, ils passent à un processus où ils utilisent différents moyens, film, vidéo, casque audio… Ils montrent parfois des lunettes avec des images. Parfois, avec les plus jeunes, ils lisent un livre pour tenter de leur donner un scénario de rêve. En leur montrant les images sur vidéo. Il y a plein de techniques différentes. Ils utilisent aussi parfois un élément de réalité virtuelle quand les gens sont dans un état altéré, pour donner des souvenirs superposés de réalité virtuelle.

DW : Vous ont-ils montré des films avec des éléments de vos souvenirs écrans de la journée ?

CG : Oui.

DW : Faisaient-ils des films dans ce but ?

CG : Oui.

DW : Est-ce que les substances qu’on vous donnait agissaient sur le plan psychédélique, comme si c’était la réalité ?

CG : Oui. Il y a un documentaire très intéressant sur une expérience avec la scopolamine. Ça s’appelle « La Fleur du diable », quelque chose comme ça. Je vous encourage à le voir. C’est sous forme brute. Les gens perdent leur libre arbitre et font ce qu’on leur dit de faire.

DW : On peut la souffler au visage de quelqu’un ?

CG : Je crois, oui. Normalement, c’est dans une boisson.

DW : Je vois.

CG : Ils deviennent complètement ouverts à la suggestion hypnotique.

DW : J’ai vu ce documentaire. Il y a une femme qui dit : « Je l’ai laissé entrer chez moi. Je lui ai donné tous mes meubles et mes biens, avec bonheur. En souriant. »

CG : Oui.

DW : Elle les a même aidés à tout porter.

CG : C’est ça. Ils utilisaient déjà d’autres drogues synthétiques avec des effets similaires. Ils ont créé une scopolamine synthétique et fait un cocktail. Mais la scopolamine synthétique en faisait partie. Ils ont trouvé qu’une utilisation importante causait des crises psychotiques chez certains. Que la méthode chimique était nocive. Donc ils ont découvert une méthode technologique pour affecter les souvenirs chimiques et magnétiques dans le cerveau, sans invasion chimique.

DW : La prochaine question vient de noahward. Y a-t-il une échéance (une time line) pour les grandes révélations ?

CG : On m’a dit que les révélations auraient lieu après un événement catalyste qui arriverait ici, en surface. Ça ne sera pas forcément le cas. Mais on m’a dit que ça pourrait être comme une débâcle économique mondiale, où il deviendrait clair aux yeux de tous que tout n’était qu’une combine de Ponzi. Que tous ceux qu’ils ont élus ne sont que des criminels. Et le public, qui dormait et refusait d’écouter ce qu’on appelle la théorie du complot, deviendra ouvert aux informations. Après, les informations seront divulguées au public par différents médias dont Internet.

DW : Une des choses que j’ai évoquées à propos de l’alliance terrestre, c’est le bombardement d’Oklahoma City. Un événement très étrange. Comment ce van avait suffisamment de puissance explosive pour détruire la façade du bâtiment ? C’est insensé. On dirait un essai pour le 11 Septembre. Ce que beaucoup ne réalisent pas, et il y a des articles à ce sujet, c’est que quelques jours avant l’attentat, un avion de ligne plein d’officiers de haut niveau s’est écrasé. Et ils sont tous morts.

CG : Je m’en souviens.

DW : Sherman Skolnick a des infos qui disent que ces gens se rendaient à Washington avec des preuves que des prisonniers de guerre étaient encore en vie et torturés au Viet-Nam, que tout avait été dissimulé car ils avaient des informations compromettantes sur l’Etat, et il y avait parmi eux un homme censé être mort, déclaré mort, prisonnier depuis tout ce temps, qui avait cette information et qu’ils allaient poursuivre pour trahison le président de l’époque, William Jefferson Clinton. Bien sûr, ils ont été éliminés. Avez-vous entendu parler de cet événement ?

CG : Oh que oui !

DW : Ah bon ? Avez-vous d’autres détails ?

CG : Non. Mais c’est connu. Il y a eu plusieurs tentatives de juguler les autorités. Et ça finit toujours comme ça. Un crash aérien, une crise cardiaque, une maladie… Ils ont toujours un coup d’avance et savent ce qui va arriver.

DW : Si vous aviez la réponse à cette question pour les révélations, est-ce que ce ne serait pas compromettant pour la sécurité nationale ? Si on savait comment ça va se passer, si vous aviez cette information, vous ne pourriez pas le dire, car la Cabale prendrait des mesures défensives.

CG : Oui. Je doute qu’ils me donneraient cette info.

DW : Vous avez su par Gonzales qu’ils vous dissimulaient beaucoup de choses sur les mesures et les plans de l’alliance parce que vous dévoilez publiquement ce qui se passe.

CG : C’est vrai.

DW : Il est donc possible qu’il y ait un plan bien plus spécifique auquel je n’ai pas accès, et peut-être même que ce qu’on nous dit est là pour faire diversion pour que la Cabale n’anticipe pas ce qui va arriver.

CG : C’est ça. La Cabale utilise cette intelligence artificielle qui leur donne des scénarios futurs probables, ce qui les aide à toujours garder une longueur d’avance.
Ils [l’Alliance du programme spatial secret] ont trouvé des solutions. Ils sont sûrs de pouvoir faire les divulgations si l’Alliance terrestre coopère.

DW : J’aimerais conseiller de voir l’épisode de « Enseignements de la sagesse » (« Wisdom Teachings ») où je parle de l’annonce officielle dans la « Pravda », le média russe, que Poutine a du métrage vidéo et audio, des preuves que l’administration Bush a causé le 11/9 à l’aide de mini-bombes. Ils ont tracé les bombes. Ils diffuseront ces infos au bon moment. C’était annoncé publiquement par le média russe. Ça pourrait être un autre exemple. Quelque chose d’énorme sur le 11/9 pourrait tout bousculer. Il y a beaucoup de choses qui pourraient tout bousculer.

CG : Exact. Mais si les révélations ont lieu trop tôt, la Cabale pourrait les atténuer, parler de théorie du complot, et tout anéantir.

DW : Vous dites que certains membres de l’Alliance terrestre ont dévoilé le contenu des révélations à la Cabale.

CG : Ils leur ont montré.

DW : Ce qui leur donne l’opportunité de préparer des alibis et des contre-arguments.

CG : C’est ça. Et aussi créer un scénario de 3ème guerre mondiale. Ce genre de chose.

DW : J’ignore ce que vous pouvez répondre à ça, mais nous allons essayer. Ça nous vient de KD. C’est une question simple et courte. « Combien y a-t-il de mondes parallèles ? »

CG : Je n’en ai entendu parler que d’un. Mais il serait logique qu’il y en ait un nombre infini.

DW : D’accord.

CG : Je me rappelle qu’il y avait quelque chose… Il y a une réalité parallèle. Et une autre, dans l’autre sens. Et elles vont en cercle, ou dans une certaine direction. Il y en aurait beaucoup. On se déplace entre ces réalités. Entre celle dont j’ai discuté avec la salle Xerox où ils envoient des gens par ce portail désagréable.

DW : Revenons à ce que vous savez. Un monde parallèle pourrait exister sous forme de voyage dans le temps. Disons que vous revenez sur Terre. Vous revenez dans le temps. Mais vous êtes sur Terre. Y a-t-il deux exemplaires de vous ? Vous êtes-vous cloné ? Comment ça marche ?

CG : Eh bien, sachant que le temps est une illusion et que tout arrive au même moment, il n’apparaît comme linéaire que dans notre conscience. Pour vous répondre, la conscience, quand on voyage dans le temps, crée une nouvelle ligne de temps. Mais c’est quelque chose que vous créez avec votre conscience. Si vous faites quelque chose qui affecte cette ligne de temps puis vous rendez dans le futur, votre conscience va affecter… Si vous tuez votre arrière-grand-père, que vous revenez dans le futur, si vous vous attendez à ce que votre lignée familiale soit morte, ce ne sera pas forcément le cas. Ça a pu se passer sur une ligne de temps parallèle. Pour qu’il y ait un changement massif, beaucoup de gens doivent avoir une évolution de conscience sur la perception du changement du temps.

DW : Pouvez-vous aller vous voir vous-même ? Pouvez-vous aller voir Corey à 10 ans, et vous regarder dans les yeux ? Est-ce possible, théoriquement ?

CG : Théoriquement, oui. C’est possible.

DW : Est-ce que ça crée un paradoxe temporel, où si on s’est vu soi-même, on sait qu’on existe dans le futur et ça altère l’avenir ?

CG : Peut-être sur une ligne de temps ou une réalité parallèle. Pas nécessairement sur la ligne de temps. Quand on revient, ça n’affecte pas la ligne de temps native.

DW : En fait, on a vraiment envie d’avoir une ligne de temps, un narratif linéaire consistant et du coup, si on change le passé, tout change. Mais en réalité, la ligne de temps existe là où on se trouve. Et on avance. Mais elle existe aussi quand on recule. Les couches s’accumulent. Et sont en sandwich.

CG : C’est ça.

DW : Qu’arrive-t-il si on le fait trop souvent ? Si les gens voyageaient dans le passé, est-ce que ça ne causerait pas de gros problèmes ? Vous avez parlé des tampons sur les vaisseaux qui servent à empêcher le voyage dans le temps. Pourquoi est-ce si inquiétant ?

CG : Oui. La technologie temporelle, les trajets temporels, ce genre de chose. Ils ne voulaient pas de gens qui débarquent par hasard dans différentes lignes de temps. Ou exprès.

DW : Qu’est-ce que ça causerait comme problème ?

CG : Utilisez votre imagination. Si un vaisseau récent arrive dans une ligne de temps plus ancienne et y reste, ce vaisseau pourrait altérer cette ligne en apportant une technologie très avancée par rapport à ce qu’ils connaissent. On m’a aussi dit que les gens essayaient de corriger les lignes de temps qu’ils avaient abîmées. Ils faisaient des aller-retours pour corriger les lignes. Une autre race a fini par nous dire d’arrêter de mettre le bazar, que le temps est plus élastique que ça, que les choses se remettent en place comme elles sont censées être, selon la conscience de masse cocréative de la ligne de temps d’origine. Il y a un élément dont on m’a parlé qui a à voir avec le voyage dans le temps, où on n’est pas censés parler de ce qui se passe avec un certain groupe. On ne peut pas vraiment les appeler les seigneurs du temps. Mais il y a un groupe qui saute dans le temps et surveille les groupes qui ont une technologie temporelle.

DW : Intéressant.
Une question de cukos. « Comment la sonde Voyager a-t-elle passé la barrière de l’héliosphère, si elle existe ? »

CG : Il n’y avait pas de barrière à l’époque où Voyager est passé.

DW : C’est vrai. De quand date-t-elle ? Quelle en a été la cause ? Pour rappel, nous en avons déjà parlé.

CG : Ça date de décembre de l’an dernier.

DW : 2014.

CG : C’est ça. C’était probablement planifié. Mais c’est arrivé après que les groupes de la Cabale ont tiré avec une arme énergétique sur une des sphères dans l’orbite lointaine de la Terre. La sphère s’est allumée, et selon le principe de l’aïkido, a retourné l’énergie à sa source, et détruit la base. Tout a escaladé très vite après ça.

DW : Normal.

DW : Question : « Y a-t-il un protocole de méditation que les gens pourraient suivre, qui les aiderait à contacter les extraterrestres ? »

CG : N’importe qui peut les contacter par l’esprit. Il y a plein de façons de méditer comme on l’a déjà dit. Méditer, rêvasser, prier, tous les types de méditations mettent votre esprit en condition. Ensuite, on émane sa conscience vers l’extérieur. Tout le monde peut le faire.
Mais la question, c’est doit-on le faire ?

Il y a beaucoup d’êtres différents qui attendent que les gens les connectent par l’esprit pour établir le contact. La plupart sont trompeurs. Ils peuvent vous donner l’impression d’être dans la béatitude, dans l’amour et la lumière. Ils peuvent manipuler votre corps pour vous faire ressentir tout ce qu’ils veulent. Ils peuvent télécharger toute sorte d’informations complexes qui ne sont pas forcément exactes.

DW : Jacob, l’autre initié du programme spatial, m’a dit qu’il y avait un groupe d’extraterrestres d’Alpha Centauri, qu’ils appellent les Centauriens, et qu’il y avait une sorte de traité selon lequel ces Centauriens… qui ont un air hispanique, mais albinos avec des cheveux clairs et une peau très pâle, ont été autorisés à se mêler à notre société.

[ Plus d’informations ici : https://drive.google.com/file/d/1JMnbbZYqWGt1cG1moCOtyQtOH3kOs7Zu/view?usp=drivesdk ]

Mais si un Centaurien sait que vous avez vu qu’il était un extraterrestre, c’est très dangereux, parce qu’il peut vous suivre télépathiquement. Et ça peut très mal finir.

CG : Tous ces groupes peuvent faire la même chose. Beaucoup de personnes suivent des cours en ligne pour apprendre à voir à distance, et tentent de voir différentes bases et zones. Il y a des influenceurs à distance, avec une aide technologique, qui travaillent en groupe pour protéger ces lieux. Ils peuvent vous suivre jusqu’à chez vous. Jusqu’à dans votre lit. Ils peuvent vous causer beaucoup d’ennuis.

DW : Y a-t-il des pièges de la Cabale en ligne, pour trouver des gens qui commencent à s’éveiller et les attirer ?

CG : Oui.

DW : Comment ça marche ?

CG : Certains lieux où on passe des tests de personnalité vous attirent vers des tests qui en disent plus long sur vous. Certains sites de rencontre posent beaucoup de questions sur vous. C’est du profilage. Même les sites où on étudie sa généalogie…

DW : Ou le supposé « test QI ».

CG : Oui. Tous ces types de tests. Il y a plein de petits pots de miel [piégeurs] partout. Ils étudient aussi le trafic sur Internet.

DW : Est-ce qu’ils font les trolls dans les forums style « Above Top Secret » et « UFO », pour repérer les personnes ?

CG : Absolument. Nous pourrons parler de la période où j’ai aidé à établir un centre de données avec des ordinateurs virtualisés dans le monde entier, avec des gens derrière six écrans, qui font semblant d’être douze personnes dans les forums et les sites, à se disputer avec eux-mêmes avec des adresses IP de différentes parties du monde, à soulever des problèmes, repérer les gens qui diffusaient des informations qui ne leur plaisent pas, les attaquer et les discréditer. Ce genre de chose.

DW : Finissons sur une note positive.

Pensez-vous que nous avons un moi supérieur ?

CG : Oui.

DW : Comment le contacter ? Quel est le moyen approprié pour rechercher des informations spirituelles ?

CG : Il faut se tourner vers l’intérieur. Regarder à l’intérieur. On monte de plus en plus haut. On commence à plus méditer, à regarder les choses négatives à l’intérieur de soi. On essaie de se pardonner pour ces choses, de les changer, et de pardonner aux autres. Ça libère de l’énergie. On commence son expansion.

Puis on travaille de plus en plus haut, jusqu’au moi supérieur, jusqu’à ce que le moi tombe de l’équation pour aller encore plus haut. Je crois que c’est comme ça qu’on revient à ce qu’on appelle « la Source ».

DW : Très cool !

Le temps s’est écoulé pour cet épisode. On se reverra pour les futurs épisodes de « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock. Merci de nous suivre.


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