Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 2, épisode 12/17 : LA SCIENCE DES PROGRAMMES SPATIAUX SECRETS
Vidéo sous-titrée en français disponible sur : Gaia.com
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DW : Voici « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock. J’accueille Corey Goode, qui dit avoir travaillé dans le programme spatial secret. Bienvenue.
CG : Merci.
DW : Une des choses que j’ai trouvées fascinantes a été de rencontrer Daniel, un initié.
Il appelle ce projet Phoenix III. Il dit avoir travaillé pour Brookhaven National Labs à Montauk Point, Long Island. On l’appelle le Projet Montauk, normalement. Il s’agissait d’un siège d’un OVNI, arrimé à un jeu de transformateurs très puissants qui amplifie la capacité psychique de la personne assise, qui pouvait matérialiser des objets dans la pièce ou créer un portail pour amener quelqu’un à travers l’espace et le temps. Au cours de la longue conversation avec Daniel sur ce sujet, il a souvent décrit des anomalies qui arrivaient dans le corps humain après l’utilisation de ces portails. Je vais commencer notre discussion en disant que selon la vision conventionnelle, si on a 30 ans, biologiquement, et qu’on vous envoie dans le futur, que votre corps est envoyé dans le futur, on pense qu’il restera à 30 ans à l’époque future. Est-ce la réalité ? Se passe-t-il autre chose ?
CG : Dans mon cas, j’ai été impliqué dans le programme « 20 ans et Retour ». On m’avait expliqué que je servirais 20 ans, et puis, qu’on ferait régresser mon âge, qu’on me ramènerait au point d’origine, qu’on me redéposerait…
DW : Redéposer ?
CG : … dans ma vie, à quelques minutes près du moment de départ.
DW : Mais le problème, c’est que vous avez vieilli de 20 ans dans l’espace.
CG : Voilà. En fait, au bout de ces 20 ans, dans mon cas, plutôt 21, du reste, on vous emmène au LOC (le Centre d’Opérations Lunaires), où on vous fait un débriefing massif, signer des papiers, puis on vous place sur une table, on vous endort, on paralyse votre corps pour éviter tout mouvement. Il faut être complètement immobile pour ce processus. Ils mettent des planches en espèce de carton, très minces. On est attaché sur un support en mousse, et ils mettent ces planches qui ont l’air lourdes, à leur façon de les manier, autour de la forme du corps. Ça prend environ deux semaines, et ils font technologiquement régresser votre corps de 20 ans, au moment où on a rejoint le programme. Pendant ce temps, certains avaient des tatouages, des cicatrices, des blessures qui disparaissent. On vous fait régresser. Les gens qui ont subi ça, une fois redéposés dans leur vie précédente, subissent une hypnose, une régression de mémoire, et des cicatrices apparaissent sur le corps pendant le processus, puis disparaissent. Des tatouages, des contours de cicatrices rouges qui apparaissent un temps, puis disparaissent. Une sorte de mémoire cellulaire.
DW : Vous ne le saviez pas en venant ici, mais il y a des années, vers 2000, j’avais lu un livre étrange intitulé « The Mars Records ». A l’époque, je n’avais aucune autre information dans ce sens, mais il n’avait pas l’air de mentir. Intuitivement, ça paraissait sincère. Il décrit exactement ce dont vous parlez, le programme spatial. Il lui restait de vagues souvenirs d’être sur Mars, d’avoir été capable de tuer psychiquement, une technique de mort psychique impliquant la télékinésie, à laquelle il excellait. Il grillait les synapses des gens. Il rapporte qu’à la fin de sa mission, dans les années 70, il a subi une régression de 20 ans et qu’ils l’ont ramené à l’époque qu’il avait quittée. Il avait travaillé 20 ans, et ils ont fait régresser son âge. Exactement ce que vous décrivez.
Savez-vous si les gens avaient une formation psychique leur permettant de griller les synapses ?
CG : Absolument. Il y a des postes où on peut s’asseoir ou se tenir qui renforcent les aptitudes. C’est un des systèmes d’armement pour ceux qui sont formés à la vue et à l’influence à distance, c’est comme une anode-cathode. Une est en cuivre, l’autre en acier inoxydable ou un autre métal. Ils placent leurs mains dessus, puis se concentrent sur une cible, et peuvent tuer les cibles de plusieurs façons. Et plusieurs cibles, aussi. Comme pour ceux qui utilisent des drones et tuent des gens aujourd’hui, on leur ment à propos des cibles qu’ils éliminent. C’est difficile à croire, mais c’est une technologie, un système d’armement qui existe. Certains sont formés à protéger les installations d’autres qui voient à distance. Les gens formés pour voir à distance ne parviennent pas à voir les installations à distance. On les appelle « ceux qui éparpillent ». Ils éparpillent les pensées de ceux qui voient à distance. C’est aussi grâce aux améliorations technologiques. C’est très compatible avec ce qu’il faisait.
DW : Êtes-vous un super soldat ?
CG : Non. [rires de Corey Goode et David Wilcock] Absolument pas. Certains sont dans cette catégorie. J’ai travaillé à leurs côtés, mais j’étais dans une section complètement différente, sous la même direction. Tout le monde pense que si on travaille pour MILAB, on est un super soldat. Quand on m’associe avec ça, je me sens frustré. Ce n’était pas ma mission. Pas ce que je faisais.
DW : J’ai lu un livre, il y a longtemps, sur un super soldat, je ne savais pas du tout si c’était crédible. C’était au début des années 2000. Le type rapportait des choses étranges. Une des choses qu’il disait, c’est qu’il était formé à atterrir sans parachute d’une certaine hauteur et que ses jambes étaient comme des ressorts, qu’il rebondissait sans être anéanti par l’impact. Ça ne paraissait pas crédible.
CG : Les super soldats avec qui j’ai travaillé font des choses extraordinaires. Mais je n’ai jamais vu… Je ne sais pas.
DW : On ne peut pas y consacrer un épisode entier, mais j’aimerais savoir de quoi ils sont capables, au-delà des capacités humaines ordinaires.
CG : Parlons-en un peu. Ils sont clairement capables d’entrer dans l’esprit de leurs cibles. Ils travaillent psychiquement en groupe, avec leur équipe. Ils ne peuvent pas complètement se déplacer dans « Matrix » mais leurs muscles sont renforcés et ils sont très rapides, mortels. Mais pas surhumains. C’est de l’humain amélioré.
DW : Pete Peterson m’a dit qu’il était impliqué dans une sorte d’entraînement qui a été développé dans l’Est, où les gens pouvaient retirer toute pensée de leur esprit, et laisser leur corps fonctionner instinctivement, et attraper une balle qui les vise avec un gant, même s’ils ont besoin de commencer à bouger leur bras avant que la gâchette ne soit activée.
CG : J’ai déjà vu faire ça.
DW : Vraiment ?
CG : Oui.
DW : Quel est le processus impliqué ?
CG : Quand on vide son esprit, on atteint la partie instinctive de son cerveau dont on a déjà parlé, et si un caillou arrive sur votre tête, ils ont mesuré neurologiquement que le cerveau réagit un dixième de seconde avant qu’il ne vous atteigne. Ces gens sont entraînés à contacter et travailler avec leurs capacités pentales à un point où ils arrivent presque à éviter les balles et ils se déplacent d’une manière étonnante. Mais ce que vous avez décrit n’est pas en dehors des capacités de ces personnes. Il y a beaucoup de femmes, aussi.
DW : Certains super soldats disent être des ninjas, et avoir reçu une formation de ninjutsu. Est-ce vrai ?
CG : Une formation dans plusieurs arts martiaux.
DW : Avez-vous entendu parler de samouraïs formés au combat d’épée, les yeux bandés, sans possibilité d’y voir ?
CG : Oui. [sourire] Ça ressemble beaucoup au Jedi Luke Skywalker avec le sabre laser et le petit robot volant qui lui tire dessus au laser. Ce type de formation est très impliqué. J’en ai juste entendu parler, mais tous décrivent ce genre de choses.
DW : Est-ce qu’on est un super soldat à cause de l’augmentation du corps physique ? Sont-ils en partie titane, en partie cyborg ?
CG : Non. Ils ont des injections. Ils sont améliorés. Mentalement entraînés et améliorés. Mais la partie super soldat, c’est juste l’élite de l’élite de l’élite de l’élite. Mais ils en paient le prix plus tard. Ils n’ont pas une espérance de vie très longue.
DW : Peuvent-ils retenir leur respiration plus longtemps que la plupart d’entre nous ?
CG : Oui.
DW : Peuvent-ils plonger plus profondément dans l’eau sans problème ?
CG : Ils peuvent respirer un air plus raréfié. Oui, ils peuvent faire tout ça.
DW : Ces injections, sont-elles basées sur une technologie extraterrestre avancée qui booste le corps de façon inhabituelle ?
CG : C’est une combinaison. Il y a une partie chimique, une partie nanotechnologique.
DW : Ah oui ? Si on utilise des nanites, est-ce qu’ils sont vulnérables aux infections liées à l’intelligence artificielle ?
CG : Ils sont vulnérables.
DW : Pour revenir à ce problème de temps… Daniel m’a dit qu’au début du projet Montauk, ils ont découvert qu’en projetant quelqu’un dans l’avenir, s’ils avaient 70 ans, disons, à cette époque dans l’avenir, qu’on les faisait voyager jusqu’à ce point, leur corps physique vieillissait très rapidement, en quelques jours, ou quelques heures, jusqu’à avoir 70 ans. Avez-vous des informations dans ce sens ?
CG : J’ai eu des informations dans ce sens et beaucoup d’informations sur des gens qui souffrent de ce que j’ai mentionné auparavant, une démence temporelle. Ils ont trouvé des solutions, avec des injections d’une sorte de thérapie à base de télomères génétiques, qui empêchait ou ralentissait ce phénomène.
DW : Revenons à la progression de l’âge.
CG : La régression ?
DW : Non, la progression. Une personne va dans l’avenir, elle devrait avoir 70 ans, et son corps vieillit d’un coup.
CG : D’accord.
DW : J’ai eu des informations spécifiques de Daniel qui expliqueraient ce qui se passe. Avez-vous entendu une théorie qui explique les raisons de ce phénomène ? Y a-t-il des raisons ? Pourquoi le corps ne reste-t-il pas le même si on va dans l’avenir ? Si on passe d’une époque à une autre, pourquoi le corps n’a pas le même âge qu’au point de départ ?
CG : C’est encore un grand mystère pour beaucoup de gens qui ne prennent pas en compte la conscience. Quand on sait consciemment d’où on vient et où on va, votre conscience est connectée à votre corps. Vous avez parlé de la référence de temps zéro, mais je ne sais pas grand-chose à ce sujet.
DW : Qu’avez-vous entendu dire à propos de la référence de temps zéro ? Par curiosité.
CG : Que la physiologie, le corps et la conscience, le complexe esprit, corps, âme, comme on dit, tous les trois doivent être en harmonie. Quand on commence à tout perturber avec les technologies temporelles, qu’on prend le corps et qu’on le fait avancer ou reculer dans ce temps illusoire, le complexe corps, ^$esprit et âme est déséquilibré et tout va de travers.
DW : Je vais partager ce que Daniel m’a dit sur la référence zéro, car il semblerait que c’est un sujet sur lequel vous n’avez pas toutes les informations. Le moment de la conception est le seul point où l’âme et le corps physique sont joints dans un cône de temps en expansion. Il dit aussi, et c’était très important dans sa formation psychique, que pour se rendre à ce point par soi-même, il faut revenir en arrière au moment où l’âme et le corps habitent les mêmes quanta, le même endroit. L’âge du corps physique n’est pas basé biologiquement autant que sur la largeur du cône. C’est là qu’on est conçu, et en vieillissant naturellement, c’est comme si l’âge de l’âme avançait et l’âge biologique aussi, et l’état du corps physique dépend de la distance entre ces deux points. [David joint ses deux index puis les écarte en les déplaçant ensemble vers la droite, l’un vers le haut, l’autre vers le bas, créant une amplitude croissante]
Si on se rend plus loin dans l’avenir, la nature a un mécanisme autocorrectif pour qu’on ne crée pas de paradoxe en devenant capable de vivre plus longtemps qu’on le ferait dans sa vie naturelle. Un mécanisme qui répare les erreurs et qui est intégré dans la nature de l’univers, car ces portails existent.
CG : Ça paraît bien plus complexe que ce que je disais sur la connexion esprit, corps, âme qui doit être synchronisée.
DW : Il a aussi dit qu’il y avait des moyens technologiques, développés avec une aide extraterrestre, pour changer la référence zéro pour voyager dans le temps sans ce souci de vieillissement ou de rajeunissement. Savez-vous si c’est possible, d’être transporté au-delà du temps de notre mort naturelle et d’y survivre ?
CG : Oui, ils ont trouvé des solutions. Mais je suis sûr qu’ils n’ont pas fait appel qu’à la technologie humaine. On collabore avec tant d’extraterrestres, il est facile d’imaginer qu’ils nous aient aidés à trouver des solutions.
DW : Ils ont placé des tampons sur les vaisseaux qui peuvent déformer le temps ?
CG : Une technologie temporelle.
DW : Y a-t-il eu des cas où les gens sont allés observer dans le passé des événements historiques notables ?
CG : En général, c’était non intentionnel, quand les gens partaient loin dans le temps et revenaient sur Terre à la mauvaise époque. Ils ont dû réparer ça. Remonter le temps pour observer le passé faisait partie de programmes temporels qui ont été clôturés.
DW : Daniel a dit que certains voulaient voir si Jésus avait vraiment été crucifié. Savez-vous si certains ont essayé ça, ou pour d’autres événements ?
CG : Vous parlez de Looking Glass ?
DW : C’était un saut Montauk, en fait. Quelqu’un qui était passé par un portail de Montauk pour voir la crucifixion et intervenir.
CG : Je n’en ai pas connaissance.
DW : Et Looking Glass ? Est-ce que certains ont essayé de voir ce genre de choses dans Looking Glass ?
CG : Oui. Dans Looking Glass, on m’a dit que certains ont essayé d’observer tous les événements historiques imaginables, surtout ceux qui font appel à la foi, dont on peut se demander s’ils ont vraiment existé, pour vérifier.
[Note : sur ces sujets, voir plus d’informations en provenance de Daniel, ici : http://www.erenouvelle.fr/archives/2013/07/01/27457795.html ]DW : Tout le monde ronge son frein, quelles sont les réponses ? Varient-elles selon les croyances des personnes ?
CG : Oui.
DW : Vraiment ?
CG : Le temps est très basé sur la conscience. Si on regarde dans le futur et le passé, on voit souvent une ligne de temps basée dans la conscience et le système de croyances de l’observateur. Je n’ai pas vu de rapports sur Jésus, mais il y avait d’autres éléments. L’assassinat de Lincoln a été mentionné. J’ai vu différents rapports, je ne me rappelle pas bien, et quelques autres incidents plus éloignés dans le passé. Ils ont fini par comprendre que ça dépendait de l’observateur et que ses idées et croyances avaient beaucoup à faire avec ce qu’il voyait, surtout pour tout ce qui est en rapport avec la théologie.
DW : Quelqu’un est allé voir la Vallée Forge ou la signature de la Déclaration d’indépendance, ce genre de choses ?
CG : La Déclaration d’indépendance. Il y avait une liste d’événements. Un tas de choses listées qui avaient été vues, sur lesquelles on pouvait s’étendre. Je ne m’y suis pas penché en profondeur.
DW : Ça rappelle « Doctor Who », la série des années 2000 la plus longue de la télévision britannique, qui a duré 20 ou 24 ans. Ils la refont aujourd’hui, et mélangent « Doctor Who » et « Games of Thrones », ainsi que les personnages. Doctor Who voyage dans une cabine téléphonique qui est une sorte de portail appelé TARDIS. Daniel dit qu’il y a beaucoup de vrai dans « Doctor Who ».
CG : Oui. Il y a des vaisseaux extraterrestres plus grands à l’intérieur qu’à l’extérieur.
DW : Exactement comme dans TARDIS. Il entre dans sa petite cabine et c’est une pièce immense.
CG : Oui.
DW : Vous pensez que les producteurs de ces émissions nous préparent pour des révélations à venir ?
CG : C’est en partie pour semer des graines dans notre subconscient pour nous préparer aux révélations, et en partie pour discréditer ceux qui se dévoilent en public. Je voudrais mentionner que beaucoup de personnes ont subi la régression d’âge du programme « 20 et Retour » et le processus d’effacement des souvenirs. Chez 3% à 5% des gens, l’effacement ne marche pas. Mais pour ceux sur qui ça a fonctionné, ça se voit tout de même. Normalement, on fait plus jeune. Si on a 45 ans, les gens pensent que vous avez 35 ou 38 ans. On vieillit bien jusqu’à un certain âge, puis on vieillit très vite. Il y a des problèmes neurologiques qui se développent entre 30 et 40 ans en général. On a des soucis de canal carpien, par exemple. Des problèmes nerveux aux extrémités. Les attaques sont fréquentes. Des problèmes aux yeux. Certains ont des problèmes bizarres quand les organes internes commencent à ne plus bien fonctionner. Il semble y avoir beaucoup de problèmes biologiques et neurologiques, plus tard.
DW : Jacob, du programme spatial secret, m’a dit récemment que la technologie de santé du programme est si avancée que même si on est paralysé à partir du cou, ils peuvent reconstruire les fibres nerveuses qui repoussent à partir du point d’origine et reconstruisent un circuit dans le corps. Avez-vous des infos dans ce sens ? Est-ce vrai ?
CG : [soupir] Oui. Et c’est très frustrant, surtout lorsque je me rends au LOC, de savoir que, probablement, trois étages au-dessus se trouvent des technologies qui pourraient soigner certains de mes problèmes.
Mais ça m’a été refusé. Ils ont mal pris que je leur ai demandé cette technologie pour moi et des membres de ma famille qui viennent d’être diagnostiqués. On m’a dit : « Vous ne travaillez pas pour nous ».
DW : Jacob a parlé de bras et de jambes de remplacement, et si on perd un bras en service on vous en greffe un nouveau, qui adopte votre signature ADN et devient le vôtre. Vous êtes au courant ?
CG : Oui. Je connais des gens qui ont perdu des membres et on a greffé holographiquement des moules de gélatine sur leur corps. Tout ce que j’ai vu et ce qui est utilisé au LOC, et aussi dans des vaisseaux hôpitaux, c’est un champ holographique qui fait repousser les nerfs et reconstruit le membre manquant. [Informations complémentaires ICI et ICI]
DW : Pourquoi ne diffusent-ils pas cette technologie si elle est si bénéfique ?
CG : Pour la même raison qu’ils empoisonnent nos aliments.
DW : Ils veulent diminuer l’humanité.
CG : Ils veulent moins d’humains.
DW : Je suis sûr que sur la durée… et je dis ça avec amour, il y aura de plus en plus de gens à dire qu’ils sont « canal », qu’ils canalisent l’alliance, ou les êtres qui travaillent avec l’alliance, les Aviens bleus ou les êtres des Sphères bleues, les êtres à tête triangulaire dorée, les êtres des sphères, peu importe.
CG : Ou les deux qui n’ont pas encore apparu. Ça arrive déjà.
DW : D’accord… Il y a des gens, des ufologues, qui portent de superbes lunettes roses, et tout ce qu’ils voient est génial. [ton ironique]
Tout est beau. Oh, c’est l’alliance, super. Votre expérience… Il faut que ça soit public, parce que les êtres des sphères semblent venir d’un niveau bien plus élevé. Ils n’ont pas entériné l’alliance, n’est-ce pas ? Au départ, ils ne voulaient pas leur parler, même par votre intermédiaire.
CG : Et celui de Gonzales.
DW : En effet. Pourquoi ces êtres ne voulaient pas leur parler directement si les gens de l’alliance sont des héros qui veulent sauver la Terre ?
CG : Ces gens travaillaient au départ pour ce qu’on appelle la Cabale. Ils travaillaient pour le gouvernement terrestres secret et les syndicats.
DW : Certains parlent des Illuminati.
CG : Oui, les Illuminati.
DW : Un mot effrayant.
CG : Ces gens n’étaient pas, ne sont pas des anges, à aucun niveau. Ils ont tourné la page. Ils ont été assez opprimés comme ça. Ils ont subi assez d’oppression et ont décidé de se retourner contre leurs anciens maîtres et veulent ouvrir une nouvelle ère pour l’humanité. Mais ces gens ont été très abîmés, et beaucoup… L’alliance n’est pas qu’un groupe. Il y a plein de transfuges de différents programmes spatiaux qui ont formé l’alliance du programme spatial secret. Beaucoup viennent de groupes mauvais, pires, et encore pires. Leurs tactiques, leurs objectifs ne sont pas entièrement tournés vers le service à autrui. Ils travaillent d’abord pour eux. Et l’alliance des êtres des sphères ainsi que d’autres extraterrestres ont dit que ces groupes, même s’ils travaillent pour le bien commun, ont encore un certain pourcentage d’objectifs orientés vers eux-mêmes, et qu’ils ne voulaient pas traiter avec eux directement.
DW : On aurait dit à la faction militaire du programme spatial que ce qui est dans le ciel est à nous. [les vaisseaux qu’ils aperçoivent parfois]
CG : C’est ça.
DW : Que leur a-t-on dit sur les extraterrestres ?
CG : A certains, que l’accident de Roswell était réel. A d’autres, que quatre groupes extraterrestres venaient nous voir. Certains pensent qu’il y a 56 ou 58 groupes qui viennent nous voir. Tout dépend du programme.
DW : Je suis en contact avec le premier initié de Richard Hoagland. Il m’a contacté il y a longtemps, en 2008, quand j’ai donné une conférence à Joshua Tree. Il jure que les seuls extraterrestres sont les anciens bâtisseurs, que tout ce qui est dans le ciel est à nous. Ce qui est drôle, c’est que vous m’avez dit la même chose d’une partie de la faction militaire.
CG : Certaines factions militaires inférieures, surtout les groupes du commandement spatial, comme l’Air Force, pensent que tout ce qu’ils suivent dans l’espace a été fait par l’homme. Ils croient être au plus haut niveau et sont prêts à en découdre si vous les contredisez. Ils se croient sincèrement en haut de l’échelle, qu’ils ont le niveau de sécurité maximum, et qu’il n’y a rien au-dessus d’eux qui leur soit inconnu.
DW : Qu’est-ce que le NRO, sur Terre ?
CG : C’est l’équivalent du commandement spatial de l’Air Force.
DW : Donc le NRO, le bureau national de reconnaissance, est une organisation navale d’informations ?
CG : Oui. Ils sont impliqués dans l’ingénierie géo-spatiale, le pistage de ce qui approche l’orbite terrestre, et ils ont des vaisseaux spatiaux qu’ils croient être les plus avancés. Il y a des stations spatiales près de l’orbite terrestre, qui sont un peu plus avancées que la station spatiale internationale. Ils pensent qu’il n’y a rien au-dessus.
DW : Certains initiés semblent penser que le NRO est le top, le plus gros organisme de la communauté du renseignement concernant le domaine spatial. Apparemment, ce n’est pas vrai.
CG : Non. Certains individus dans le NRO en savent bien plus.
DW : Si nous voyions une de ces plateformes spatiales dans l’orbite de la Terre, qui appartiennent au NRO, et qu’elle était démasquée, est-ce qu’elle paraîtrait futuriste ou bizarre ?
CG : Oui, s’ils nous disaient pour nous tromper : « Voici notre programme spatial secret », et s’ils nous montraient ces vaisseaux et ces stations spatiales, on les trouverait avancées. Mais ces stations sont seulement plus avancées de 50 ans que celle de la station spatiale internationale.
DW : Vous connaissez sûrement cette rumeur connue des personnes attentives… et ignorée du grand public, selon laquelle le NRO aurait donné trois télescopes à la NASA bien plus avancés que le télescope Hubble. En disant qu’ils étaient obsolètes, qu’ils n’en avaient pas besoin. Pensez-vous qu’ils voulaient faire passer un message en faisant ça ? Et si oui, quel type de message ?
CG : J’ignore si c’était leur intention, mais ça a eu cet effet. La NASA les a stockés en disant : « Nous n’avons pas le budget pour financer le personnel qui utiliserait ces satellites… » Incroyable ! Pourquoi ne pas prendre le personnel de Hubble et les déplacer sur quelque chose de plus 10 fois plus puissant que le Hubble ? C’est insensé.
DW : La question est : s’ils ont des outils 10 fois plus puissants que le Hubble, ils regardent les étoiles ? Ils comptent les étoiles et les galaxies ?
CG : Pourquoi les militaires compteraient les étoiles ?
DW : Ça impliquerait qu’il y a quelque chose dans l’espace qui les intéresse beaucoup.
CG : A un moment, les gens ont posé des questions sur les armes SBI qui étaient placées dans l’espace, sur la raison pour laquelle deux tiers de ces armes censées ne pas exister étaient pointées vers l’extérieur, plutôt que vers la Terre.
DW : Exact. Jacob m’a dit autre chose que je n’ai jamais partagé. J’accepte le fait que ça va paraître délirant. Il a dit que le programme spatial a une technologie de télescope si puissante qu’on peut détecter des bâtiments et des éléments à la surface de planètes très éloignées de la Terre. Avez-vous des informations dans ce sens ?
CG : Il ne s’agit pas d’imagerie télescopique optique, mais de systèmes d’imagerie capables de ce type de reconnaissance.
DW : Donc nous pouvons observer autour de nous et voir ce qui se passe dans l’espace ?
CG : C’est ça.
DW : Revenons à la Grèce antique un moment, parlons des sociétés secrètes… J’ai lu dans « New World Order, the ancient plan of secret societies” de William Still que dans ces ordres secrets, ils faisaient sortir des hommes la nuit pour retirer les pénis sur les statues de dieux grecs. Au réveil, le lendemain, ils étaient horrifiés de ce qu’ils avaient fait. La société secrète disait : « Si l’un de vous parle, on vous dénoncera. » C’est la criminalité commune. Est-ce utilisé dans le programme spatial ? Tous sont-ils touchés à un certain degré par ce qu’ils ont dû faire ?
CG : C’est un point commun de tous les syndicats, tous les groupes. On vous fait faire des choses épouvantables au point que si vous parlez, ça se retourne contre vous.
DW : Est-ce une des façons grâce auxquelles les syndicats étatiques secrets terrestres s’assurent que le programme spatial reste secret, parce que personne n’est irréprochable ? Ils sont tous souillés. Ils ont tous été obligés de faire des choses horribles.
CG : Absolument. Chaque individu impliqué dans l’alliance du programme spatial a fait des choses épouvantables qu’ils essaient de réparer.
DW : Vous avez tout entendu. C’est tout pour cet épisode. Nous avons bien d’autres choses à dire pour le prochain épisode de « Divulgation cosmique », car il vous faut la vérité. Je suis David Wilcock, je suis avec Corey Goode, merci de nous suivre.
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