Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 2, épisode 9/17 : LA COLONISATION DE MARS

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Vidéo sous-titrée en français disponible sur : Gaia.com
https://www.gaia.com/series/cosmic-disclosure )


DW : Bienvenue à « Divulgation cosmique ». Je suis David Wilcock, et dans cet épisode, nous poursuivons une discussion fascinante sur la soi-disant colonisation de Mars par notre complexe militaire industriel, en commençant par les Allemands. J’interroge Corey Goode. Bienvenue à vous.

CG : Merci.

DW : Nous avons parlé de l’arrivée des Allemands sur Mars. Une des choses intéressantes dont nous avons parlé est l’exploitation du système de portails en forme de bulle. Vous dites qu’au tout début, il s’agissait d’un phénomène tout à fait naturel. Qu’il pouvait avoir lieu dans l’atmosphère, à la surface de la Terre, ou sous terre. Les Allemands ont eu un soutien extraterrestre pour savoir quand ces portes apparaissaient. S’il s’agit d’un phénomène naturel, pourquoi est-ce si peu connu ? Pourquoi d’autres n’ont pas trouvé comment les utiliser ?

CG : Des civilisations passées ont trouvé comment les utiliser. Notre civilisation contrôlée est manipulée pour croire certaines choses et pas d’autres, et ce qui est ou n’est pas possible. Si les médias et les Etats vous disent que ce n’est pas possible, qu’on vous martèle avec ça dans l’éducation, tous les jours, aux actualités, dans la société, votre entourage, c’est votre réalité. Ce n’est pas possible.

DW : Il y a ces cas bizarres dans la physique des tornades. Les tornades balaient une région, et il se passe toute sorte de choses étranges, une vache incrustée dans le mur d’une grange, une femme qui trouve le coffre de sa voiture et y trouve une malle verrouillée contenant des articles de sa salle de bain, savon et shampooing, ou un coq dans une jarre. Pensez-vous que les tornades présentent des phénomènes de portail ? Est-ce une sorte de manifestation de portail ?

CG : Tout est basé sur la physique des champs de torsion. Ça explique une grande partie de ces phénomènes.

DW : La rotation de l’air, vous voulez dire ?

CG : Oui, la torsion des molécules dans l’air et dans l’espace est transformée en champ de torsion.

DW : Donc, ces portails ne sont pas simplement à un endroit à un moment donné. Il y a un facteur de temps.

CG : Oui, pour les portails naturels.

DW : D’accord.

CG : Après les Allemands et l’opération Paperclip, et l’opération Highjump, les séparatistes allemands sont venus et ont signé des traités avec Eisenhower et Truman et ont formé une union avec le complexe militaire industriel américain. Toutes ces corporations ont été infiltrées par des scientifiques allemands de haut rang et des ingénieurs. Toutes ces entreprises aérospatiales et d’ingénierie ont commencé à construire des technologies spatiales secrètes. L’armée et le gouvernement ne pouvaient pas le faire. Ils n’en avaient pas la capacité. Ni l’infrastructure. Mais les Allemands convoitaient cette infrastructure parce qu’ils étaient déjà sur place, et avaient besoin qu’elle se développe. Ils avaient des plans pour ce qu’ils avaient déjà… Ils avaient déjà un pied sur Mars et voulaient aller plus loin. Ils prévoyaient large. Quand ils ont apporté des informations à certaines entreprises aérospatiales, qu’ils étaient allés voir la ceinture d’astéroïdes et avaient trouvé des astéroïdes entièrement constitués de métaux précieux qu’ils avaient commencé à exploiter, ils ont vu apparaître des dollars dans les yeux des capitalistes américains. Qui ont donc soutenu le plan des Allemands de bâtir une immense infrastructure dans l’espace. Ces groupes ont formé leur programme spatial secret plus tard, après avoir aidé les Etats-Unis et d’autres pays à former le premier programme spatial, comme Solar Warden. Ils en ont formé un, appelé le Conglomérat Interplanétaire des Entreprises.

[Remarque : l’abréviation française devrait donc être CIE ; cependant, l’abréviation en français de ce programme spatial secret est le plus souvent « CCI » ; c’est en fait une reprise directe des lettres formant l’acronyme anglais d’origine qui est « ICC » (Interplanetary Corporate Conglomerate). C’est donc sous la forme CCI – ou ICC – que l’on retrouvera le plus souvent désigné ce programme spatial secret dans les transcriptions de cette intégrale de l’émission]

C’est un conglomérat de corporations du monde entier qui construisent des technologies aérospatiales. Depuis les années 50, ils ont suivi les traces des Allemands depuis la Lune et vers Mars et développé leur petite infrastructure à l’aide de notre puissance industrielle et transformé de toutes petites bases en bases immenses, comme sur la Lune.

Le Centre d’Opérations Lunaires [« LOC » en anglais], au départ, était une petite base, en partie enterrée, en forme de swastika.

DW : Combien de personnes pouvaient y travailler ?

CG : Je n’en suis pas sûr. Quelques dizaines de personnes. Pour de petites opérations.

DW : C’était très petit.

CG : Oui. Mais le CCI, le Conglomérat interplanétaire des entreprises, s’est vraiment impliqué. Ils étaient à 100% derrière le plan allemand.

DW : Ont-ils agi dès la signature du contrat avec Eisenhower ? Ou s’est-il écoulé du temps ?

CG : Il s’est écoulé du temps pour développer les technologies nécessaires. Mais au début, ils développaient les technologies pour l’Etat, pour ce qui allait devenir Solar Warden, le précurseur de Solar Warden. Les premiers vaisseaux n’étaient pas aussi avancés. Il y a tout un parcours.

DW : Les Allemands ont-ils donné ce qu’ils avaient au complexe militaire industriel une fois le contrat signé ? Ou ont-ils retenu certaines choses ?

CG : Ils n’ont rien donné.

DW : Vraiment ?

CG : Ils ont donné trois vaisseaux de tailles différentes. Les ARV, les véhicules extraterrestres reproduits, qui n’avaient rien d’extraterrestre. Nous en avons déjà parlé. C’était des versions actuelles d’anciens vimanas. Ils avaient un problème avec le vortex de mercure. En ajoutant une forte puissance électrique, le mercure se transformait en or couleur corail. Il n’y avait pas de bouclier. Ils émettaient des champs électromagnétiques très nuisibles pour les pilotes. Ils avaient beaucoup de problèmes. Ils ont donné ça à l’armée américaine… genre : « tenez, réglez ces détails. Voilà quelques jouets pour vous. » Et ils [les Allemands] développaient de plus beaux jouets. L’ICC a toujours gardé les jouets les plus avancés.

DW : Une note de Truman a fait l’objet d’une fuite, dont j’ai parlé dans « Enseignements de la sagesse » [Wisdom Teachings], au début de la 2ème guerre mondiale, où il parle de véhicules interplanétaires qu’ils espéraient exploiter. Des années avant Roswell. Où en étaient les Etats-Unis avec ces projets d’ingénierie ?

CG : La plupart des technologies récupérées sur des vaisseaux aliens écrasés étaient si avancées que c’était littéralement comme si un sous-marin nucléaire avait été lâché pendant la guerre civile, et qu’ils aient dû le reconstruire. Cette technologie était plus proche de leur compréhension actuelle sur les plans physique et technologique.

DW : Ça a inspiré certaines choses, dont parle le colonel Philip Corso concernant l’ingénierie du Teflon, du Kevlar, et du Velcro…

CG : C’est une science plus matérielle.

DW : Et donc ce genre de choses, les puces informatiques, les LED, les circuits intégrés. Mais ils n’ont pas eu de vaisseau fonctionnel.

CG : Ils pouvaient réparer, et il y a eu quelques vaisseaux moins avancés, qui fonctionnaient.

DW : Oh, ils ont réussi à faire voler les vaisseaux écrasés ?

CG : Ils les ont réparés. Ils en reproduisaient certains. Ils s’écrasaient souvent. Ils avaient leur propre programme et faisaient des progrès. Mais ils étaient si loin derrière les Allemands que c’en était gênant.

DW : Pourquoi les Allemands refusaient de partager ce qu’ils avaient avec le complexe militaire industriel ? En avaient-ils peur ? Craignaient-ils qu’ils perdent le contrôle ?

CG : En 1947, l’armée avait envoyé une flotte entière en Antarctique pour les décimer. Les conclusions sont vite tirées. Leur but était de forcer les USA à signer ces traités pour mettre la main sur la puissance industrielle qui avait vaincu l’Axe dans la 2ème guerre mondiale. Ils voulaient exploiter la puissance industrielle du complexe militaire industriel et l’infiltrer pour le coopter, pour étendre cette infrastructure sur la Lune et sur Mars.

DW : Combien de colonies les allemands avaient-ils sur la Lune et sur Mars, quand ce marché a été implémenté ?

CG : A l’époque, ils avaient juste cette base sur la Lune. Bien plus tard, ils en ont construit une autre sur la Lune, avec leurs alliés dracos.

DW : Celle sur la Lune était petite.

CG : Oui. Elle était utilisée comme des pierres pour traverser une mare.

DW : Ont-ils dégagé une grande zone de parking autour de la base où faire alunir leur appareils ou garer leurs véhicules ?

CG : Tout était souterrain. Pour Mars, ils avaient tout cartographié, travaillé dur, perdu des vies, trouvé les meilleures zones pour y établir des colonies, sauf qu’ils ne pouvaient en établir que deux dans un endroit réduit. Il y avait d’autres êtres qui les empêchaient d’étendre leur empire. Une fois qu’ils ont eu le soutien de l’ICC, ils ont pu commencer à s’y implanter et à construire leur… Tout comme avant une guerre, on construit plus de tanks, plus d’avions. Ils ont renforcé leur puissance militaire du côté du programme spatial secret.

DW : Etait-ce une sorte de cheval de Troie, où ils construisaient tout sur Terre et une fois qu’ils avaient tout un bataillon, le transportaient par portail d’un seul coup ?

CG : On pourrait dire ça. Ils ont construit tout ce qu’ils avaient décidé de faire pour s’emparer d’une région et y implanter un certain nombre de colonies. Ça devait devenir une présence très forte. Ça faisait même partie du nom du programme.

DW : Ah oui ?

CG : Je pense, oui. Une fois qu’ils ont commencé à arriver, les combats ont repoussé les différents groupes qui avaient mis la main sur certains territoires, ils se sont sentis en sécurité, et ont envoyé leurs ingénieurs. Ils ont commencé à arriver. Puis ils ont construit des zones de bases, comme les DUMB, les bases militaires souterraines. Une partie était au-dessus du sol, mais la plupart était sous terre ou dans des grottes. Beaucoup étaient autour de canyons.

DW : Ont-ils eu des expériences comme ce qui est arrivé sur Terre, où ils ont creusé et sont tombés sur quelque chose d’existant ?

CG : Oui, ils ont connu ça, et dégagé des « nids » d’êtres qui vivaient là, comme les Etats-Unis sont arrivés à Plymouth Rock, ont dégagé les indigènes, planté leurs drapeaux et établi des colonies.

DW : Oui, « Prenez ces couvertures. Elles sont chaudes. » [allusion aux couvertures imprégnées de germes pathogènes données par les colons américains aux Indiens d’Amérique pour les décimer]

CG : C’est ça. Elles sont pleines de vérole. Leur mode de pensée était programmé. Ils se sont souvenu que les 13 premières colonies avaient déclaré l’indépendance et brisé le lien avec les Britanniques et formé l’Amérique. Il était clair dans la documentation que ça n’arriverait pas cette fois. Nous n’aurons pas cette histoire avec 13 colonies sur Mars. Ils ont construit beaucoup de colonies, et les ont prévues pour plus de personnes qu’il n’y avait à l’époque. Ils prévoyaient d’amener des gens depuis la Terre. C’est en lien avec la fuite des cerveaux qui a eu lieu dans les années… 50 et 60. Il se trouve que dans les années 50 ils ont commencé à construire ces bases sérieusement.

DW : Précédemment, vous avez dit qu’une civilisation humaine ancienne, des blonds aux yeux bleus, qu’on appelle les Agarthiens, ont migré sous la terre. Etaient-ils heureux d’être dans la Terre creuse ? Etaient-ils impliqués dans ce programme d’industrialisation ? Voulaient-ils plus de territoire ?

CG : Ils n’en faisaient pas partie.

DW : D’accord. Des groupes extraterrestres ont-ils fourni un soutien matériel et logistique pour cette expansion sur Mars ?

CG : L’alliance draco était très impliquée.

DW : Leur propre armement et leurs capacités techniques ont participé au démantèlement des « nids », comme vous dites, d’êtres indigènes ?

CG : C’est plutôt nous qui l’avons fait. Ils nous ont aidé sur le plan technologique. Comme d’habitude, on nous a envoyés faire le sale boulot. Ce que nous avons fait sans sourciller.

DW : Quelle est l’ampleur des atrocités commises ? Y a-t-il eu des milliers d’êtres intelligents tués en un temps court ?

CG : Oui. Des situations de type Hiroshima et Nagasaki ont été nombreuses.

DW : Ils ont utilisé les armes nucléaires ?

CG : Absolument.

DW : Vraiment ? Sur des êtres vivants ? Est-ce que ça n’a pas entraîné de radioactivité ?

CG : J’ignore si vous avez entendu parler d’une arme qui est arrivée après l’armement nucléaire. C’est une arme nucléaire qui cause une énorme explosion et puis un vide.

DW : Une bombe cinquième génération ? C’est ce qu’on m’a dit.

CG : Oui.

DW : Il y a une explosion d’une picoseconde qui est une sphère. une sphère parfaite. On dirait un découpage. Il ne reste rien à l’intérieur après l’explosion, et pas de radioactivité.

CG : On donne un coup de jet. Il n’y a pas de radioactivité mais juste une petite zone au centre.

DW : Oui, c’est ce qu’on appelle la 5ème génération.

CG : D’accord. Je ne le savais pas. Ils utilisaient ce type d’arme pour créer des cavernes souterraines et aussi dégager des zones pleines d’êtres dotés de conscience.

DW : C’est terrible.

CG : C’est leur façon de fonctionner.

DW : C’est le gouvernement [rires].

CG : Ils ont déclaré qu’il n’y aurait plus de situation comme avec les 13 colonies, que ces colonies seraient « draconiennes » [de par leurs conditions de vie], avec des configurations tyranniques où il n’y aurait pas la moindre chance que quiconque forme une rébellion, déclare l’indépendance, et que Mars soit indépendante.

DW : Quand ils disent ne plus vouloir de situation à 13 colonies, il faut se rappeler que même si on parle des Allemands, le groupe le plus puissant dans ces sociétés secrètes formait une sorte de cabale, « illuminatis », à savoir la structure de pouvoir de l’empire monarchique britannique, c’est ça ?

CG : C’est la perspective de l’ICC contemporain. Il y a les gros bonnets de la banque et de l’aérospatiale. C’est d’eux que ça vient.

DW : Je vois. Plus les Allemands. C’est la fusion entre les Allemands et l’ICC.

CG : Les Allemands y ont beaucoup participé. A ce stade, on ne les sépare plus. C’est une seule entité. Ils se mettent à approcher des milliers de gens très éduqués en leur disant : « Ecoutez, la Terre va passer par des changements dramatiques et vous, votre famille… » Ils approchaient des gens du genre physicien, géologue, avec des diplômes, une femme infirmière ou médecin, si possible, et trois enfants à qui ils avaient fait passer des tests génétiques en secret. Ils faisaient leurs recherches avant d’approcher les gens. Ils leur faisaient une proposition. Leurs montraient des photos de bases souterraines sur Terre, très avancées, réservées pour l’élite, et disaient : « C’est là que vous irez. » C’est comme dans un film de science-fiction. C’est comme dans les années 50 où on promettait aux gens qu’il allait y avoir des voitures volantes. Les gens trouvaient ça cool. Puis ils ont dit : « On va vous emmener sur Mars. Vous y vivrez et sauverez le genre humain parce que vous êtes spéciaux, avec des gènes spéciaux, vous sauverez le genre humain puis vous reviendrez sur Terre… ». Il y avait plusieurs scénarios qui circulaient. Ces gens faisaient leur sac… Ils ne pouvaient pas emmener grand-chose, juste ce qu’ils pouvaient porter. Ils n’avaient pas le droit de dire quoi que ce soit à leur famille. Soudain, ils disparaissaient.

DW : D’autres personnes impliquées m’ont dit, que s’ils vivaient dans un pays étranger, on disait juste : « Je quitte le pays, je déménage, j’ai une super opportunité professionnelle. » Ils leur faisaient écrire des cartes postales.

CG : Tout un tas, entouré d’un élastique.

DW : C’est ça. On les envoyait un certain temps, puis de moins en moins. Quelqu’un s’en chargeait pendant votre absence. Ils étaient emmenés sur Mars, ils arrivaient, et la réalité leur tombait dessus. Soudain, des gars armés arrivaient, disaient : « Suivez-nous », et les emmenaient dans une petite pièce : « Voilà votre logement. Voilà votre planning. Voilà ce que vous avez à faire. Vos enfants, à 12, 14 ans, seront mariés selon les calculs génétiques, et selon ce que les tests génétiques indiquent comme points forts, nous les éduquerons au mieux pour contribuer à la colonie. Bienvenue sur Mars. »
Et c’était ça leur nouvelle vie, une vie de tyrannie, d’esclavage.

DW : Y avait-il des romans d’Hemingway et des livres historiques importés de Terre vers ces colonies pour qu’ils puissent s’occuper dans leur temps libre ?

CG : J’imagine que oui. Je n’en suis pas sûr.

DW : Parmi les commentaires négatifs que nous avons reçus, quand vous en avez parlé en ligne, était l’idée que ces gens allaient perdre toute connexion avec leur héritage terrestre, une fois partis. Mais la transmission orale serait préservée, même sans documents.

CG : Dans l’éducation de ces enfants, on leur inculquait des idées de type… Vous savez, les vainqueurs écrivent l’histoire. On leur apprenait une histoire distordue. Onleur parlait des deux guerres mondiales selon le point de vue de l’ICC, sur les différents pays européens, les différents Etats des Etats-Unis, l’Amérique du Sud. Tous ces gens sont un mélange d’origines de tous ces pays. Ils sont partis depuis pusieurs générations. Mon arrière-arrière-grand-pèere… je ne sais plus combien de générations auparavant, était d’Abilene, Texas, ou de Chicago, de Bangalore, d’Inde, etc. Penser qu’ils n’ont plus aucune idée de la géographie et de l’histoire terrestre est ridicule.

DW : Je vous ai interrogé sur le Centre d’Opérations Lunaires [LOC], je veux y revenir. Si vous entrez dans un de ces bâtiments, que vous filmez le moment où les gens arrivent pour y être des esclaves, y a-t-il des choses remarquables et différentes d’un bâtiment sur Terre ?

CG : Vous parlez du LOC ?

DW : Non, des installations sur Mars.

CG : Sur les installations sur Mars, oui. Dans ces installations, on pourrait penser qu’on se trouve dans une sorte de structure navale. Les unités d’habitation sont identifiées de façon alphanumérique. Ça ressemble beaucoup à une installation militaire. Il y avait un endroit où nous sommes allés réparer une pièce endommagée essentielle, où l’ICC ne pouvait pas envoyer leur personnel dans un délai raisonnable. On était escortés, on nous a dit de ne regarder personne, de ne parler à personne. Il y avait un mur où il y avait des œuvres artistiques. C’était comme s’ils avaient fait des efforts pour la santé mentale des gens, pour les empêcher d’être suicidaires et déprimés. Mais les gens avaient l’air hagard, étaient pâles, comme des drônes qui faisaient leur travail mécaniquement.

DW : Le résultat d’une vie d’esclavage. Nous n’avons plus de temps. Mais cette discussion est époustouflante. J’en apprends plus à chaque fois. La prochaine fois, nous avancerons sur ces sujets intéressants, poursuivrons le narratif en particulier concernant le programme spatial et ce qui se déroule en secret. C’était « Divulgation cosmique ». Je suis David Wilcock. Merci de nous suivre.


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